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Question de synthèse : Croissance, Capital et Progrès Technique

Publié le 02/11/2011

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question

Travail Préparatoire :

 

1.      D’après l’office Fédérale de la Statistique Suisse, en France de 1993 à 2003, le facteur capital contribue à la croissance économique de 0.6 points de pourcentage.

 

2.      Le facteur résiduel représente la contribution du progrès technique à la croissance, soit les gains de productivité.

 

3.      Entre 1993 et 2003, d’après l’Office Fédérale de la Statistique, pour le Royaume-Uni, on observe que le facteur travail a peu contribué à la croissance durant cette période soit de seulement 0.1 points de pourcentage, de même pour le facteur capital qui apporte une contribution de 0.9 points de pourcentage. On conclue donc que le facteur résiduel, soit le progrès technique apporte les 60% de la croissance du PIB soit 1.7 points de pourcentage pour un taux de croissance annuel moyen du PIB de 2.7%.

L’Espagne, a un taux de croissance annuel moyen du PIB de 2.8%, avec une contribution de seulement 0.5 points de pourcentage du facteur résiduel soit 20% de la croissance. Et les deux facteurs, travail et capital, apporte tous les deux une contribution similaire 1.1, facteur travail, et 1.2, facteur capital, points de pourcentage soit à eux deux les 80% de la croissance. 

question

« Cela entraine donc pour la Chine une capacité de compétitivité extérieure plus importante et une réponse plus diversifiée et compétitive à la demande. 6. Une externalité positive est un effet positif de l’action d’un agent économique sur le bien être d’un autre agent sans compensation financière.

Ainsi, les entreprises imitatrices s’inspirent des innovations sans avoir à prendre en compte les coûts et la prise de risque du nouveau produit. 7. L’Etat peut favoriser la recherche et le développement de plusieurs façons : - Il peut mettre en place des brevets, permettant à l’entreprise innovatrice d’avoir le monopôle - L’Etat a la capacité de prêter de l’argent aux entreprises voulant favoriser la rechercher et le développement. - Pour finir, l’Etat peut lui-même faire des dépenses pour la recherche et le développement. Question de Synthèse : La croissance économique est l’augmentation durable de la production de biens et de services globale de l’économie d’un pays.

Il ne faut pas oublier que cette croissance est variable en fonction du temps et de l’espace. On peut donc s’interroger sur la nature de la croissance et sur ce qu’il lui permet d’augmenter.

Nous verrons en première partie la contribution des facteurs de travail et de capital sur la croissance économique et dans une deuxième partie, que ces deux facteurs n’expliquent pas totalement la croissance économique. Tout d’abord, la croissance est due aux facteurs de travail et de capital.

Le facteur travail rassemble toutes les activités humaines permettant la production de biens et de services.

La contribution du facteur travail dépend premièrement de sa quantité mais aussi de sa qualité. La quantité de travail disponible dans un pays dépend de la population active, c’est-à-dire de l’ensemble des individus exerçant, soit la population active occupée, ou cherchant à exercer, soit la population active inoccupée (les chômeurs), une activité rémunérée.

L’aspect quantitatif de ce facteur peut se calculer en fonction du nombre de salarié ou de la durée du travail.

La durée du travail est une réglementation dictée par une loi, tandis que le nombre de travailleurs dépend de la population active. Depuis peu cette population active vieillie car l’arrivée des 15-24 ans sur le marché est plus tardive. Pour certains pays, la quantité de contribution du facteur travail est très importante, comme l’Espagne, soit 40% de son PIB annuel. L’aspect qualitatif du facteur travail est une donnée hétérogène, c'est-à-dire qu’elle diffère en fonction de chaque individu car désormais il est nécessaire d’avoir des qualifications pour exercer un travail.

La qualification des travailleurs peut être étudiée par la répartition de la population active en catégories socioprofessionnelles (CSP), puisque cette nomenclature repose en grande partie sur la qualification des individus.

L’analyse de cette répartition de la population, sur les 50 dernières années, montre un. »

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