Progrès technique et emploi
Publié le 16/07/2012
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3) La thèse du déversement postule que le progrès technique, à travers les gains de productivité détruits des emplois mais se traduit par une élévation du niveau de vie. Or, au fur et à mesure que le niveau de vie d’élève, la structure de la consommation d’une nation ce modifie (la loi d’Engel). L’augmentation du pouvoir d’achat se déverse vers de nouvelles consommations (service individuelles ou collectif) créant ainsi des emplois nouveaux dans le secteur tertiaire (santé, éducation, loisir, tourisme…). Alors que ce même progrès technique, en avait supprimé initialement dans le secteur primaire ou secondaire. Il y a bien déversement des emplois d’un secteur à l’autre parallèlement au déversement du pouvoir d’achat vers de nouvelles consommations. Alfred Sauvy met bien en évidence l caractère indéterminé de la relation entre le progrès techniques et l’emploi.

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1) Si le nombre des emplois créer par la production de machine ou d’équipement industriel nouveau était équivalent à celui que les mêmes équipement ont permis desupprimer, il n’y aurait alors aucun gains de productivité.
L’existence du progrès technique suppose qui l’on produise d’avantage en moins de temps.
La théorie de lacompensation permet de relativiser les pertes d’emplois mais laisse la question du déclin de l’emploie reste largement ouverte.
2) Les gains de productivité permettent de réduire les coûts unitaires moyens.
Cette diminution si elle est affecté à la baisse des prix de ventes devrait logiquementsusciter un accroissement de la demande donc de la production et en retour de l’emploie.
Cependant tout va dépendre en partie de la réaction de la demande à cettebaisse des prix.
Si une faible baisse des prix fait fortement augmentée la demande (élasticité importante), alors la production et l’emploi seront également fortementstimulés et le progrès technique s’accompagnera de forte création d’emplois.
3) La thèse du déversement postule que le progrès technique, à travers les gains de productivité détruits des emplois mais se traduit par une élévation du niveau devie.
Or, au fur et à mesure que le niveau de vie d’élève, la structure de la consommation d’une nation ce modifie (la loi d’Engel).
L’augmentation du pouvoir d’achatse déverse vers de nouvelles consommations (service individuelles ou collectif) créant ainsi des emplois nouveaux dans le secteur tertiaire (santé, éducation, loisir,tourisme…).
Alors que ce même progrès technique, en avait supprimé initialement dans le secteur primaire ou secondaire.
Il y a bien déversement des emplois d’unsecteur à l’autre parallèlement au déversement du pouvoir d’achat vers de nouvelles consommations.
Alfred Sauvy met bien en évidence l caractère indéterminé de la relation entre le progrès techniques et l’emploi.
Le temps de travail doit ce réduireL’augmentation de la demande ne suffit pas pour qu’il y soit une augmentation nette d’emploi.
En effet, la hausse de la demande peut être inferieure au gain deproductivité ce qui entrainera une destruction d’emploi.
Pour éviter cette perspective, il faut réduire le temps de travail ce qui peut prendre 3 formes :-la réduction du temps de travail conventionnel : les entreprises ont passé des accords avec les syndicats pour réduire de près de moitié le temps de travail-la réduction de la durée légale (de 39h à 35h)-le développement du temps partiel proposé par les entreprises et encouragé par l’état 39h à 35h réduit le chômage de 2 alors qu’un temps plein ne le réduit que de 1En théorie la RTT (réduction du temps de travail) libère des heures de travail ce qui va obliger les chefs d’entreprises à embaucher l’équivalent des heures libérés.Ainsi mécaniquement en France le passage de 39 heures à 35 heures par semaine pour 10 millions de salarié devrait créer environ 1 millions d’emploiEn réalité les 35 heures n’ont créé que 350 mille emplois car la baisse du temps de travail s’est traduite par une réorganisation du travail et une hausse de laproductivité qui à réduit d’autant la production de travailCette RTT a fait l’objet de plusieurs critiques_ Elle risque d’augmenter les couts salariaux unitaires puisque les salariaux garde le même salaire alors que la durée du travail est réduite, diminution de lacompétitivité des firmes et leur faire perdre des parts de marchés ce qui va être défavorable à la création d’emploi.
On peut éviter cette hausse unitaire de 3 façons :* En augmentant la productivité des travailleurs (réorganisation du temps de travail, suppression des plages de repos etc.)
* En subventionnant les emplois crée l’Etat prend alors en charge une partie des cotisations social ce qui va diminuer le coup de travail mais va augmenter les déficitsdes administrations publique.
* En utilisant mieux les équipements pour accroitre leur productivité et réduire leur coup ce qui passe par le développement du travail posté (la durée du travailaugmente lorsqu’elle est forte et diminue lorsqu’elle est faible )
_ La RTT peut provoquer une pénurie de salarier dans certain secteur et une réduction de l’offre de bien et de service( effet Sauvy ) en effet les emplois libéré exigeun certain type de qualification que l’ensemble n’ont pas forcement en les entreprises ne vont pas trouver le personnel qu’elle souhaite et son obligé de réduire leurproduction
Le progrès technique est créateur n’être d’emploi que si certaine condition sont réunis :_ Il doit se traduire par une baisse des prix et une augmentation du pouvoir d’achat_ Cette hausse du pouvoir d’achat doit se traduire par une augmentation de la demande de bien et de services_ Cette augmentation de la demande doit être supérieur à celle de la productivité par cette sinon il faudra réduire le temps de travail pour que la création d’emploil’emporte sur les destructions_ Les emploi créé doivent corresponde aux qualifications des qualifier disponible et à leur localisation..
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