Pourquoi l'économie de marché a-t-elle triomphé de l'économie planifiée ?

« III/Lutter contre cette fatalité 1/ Les politiques de l’emplois Contrairement à la France l’Allemagne a su dynamiser l’activité des anciens par une politique sociale.

Conscients de la difficulté devant laquelle allait se trouver le pays pour financer les retraites, une série de mesures ont été prise comme la suppression des préretraites et la mise en place de systèmes incitatifs pour les entreprises : un crédit d’impôts est accordé aux entreprises qui emploient des salariés de plus de 54 ans.

Dans le même temps, les entreprises qui licencient un employé de plus de 58 ans qui ne retrouvent pas d’emploi dans les deux ans, sont contraintes de financer 50% de ses indemnités de chômage.

Enfin, un changement radical s’est opéré concernant l’âge légal de départ à la retraite avec un système flexible (63 et 68 ans) ou à partir de 65 ans la retraite devient bonifiée. Mais aussi, dans les entreprises par des formations pour adapter la main d’œuvre, par une amélioration des contions de travailles. 2/ Une évolution des mentalités Les seniors doivent être aujourd’hui considérées comme des personnes aptes a travaillé.

Les seniors ne sont pas seulement des consommateurs, mais aussi des travailleurs. Conclusion Ainsi, le chômage des seniors ne doit pas être considéré comme une fatalité.

Grace au politiques de l’emplois misent en place par l’Etat et par les entreprises mais aussi par un changement radical des mentalités les seniors doivent retrouver leur place sur le marché du travail se qui permettra de résoudre partiellement le problème du financement des retraites mais aussi d’ouvrir un nouveau marché.

Le taux de chômage des seniors est nettement plus faible que celui des plus jeunes.. »