Pourquoi existe-t-il toujours des inégalités entre les hommes et les femmes en France actuellement

« EMC : Devoir maison Pourquoi existe-t-il toujours des inégalités entre les hommes et les femmes en France actuellement : Depuis longtemps la femme lutte pour avoir les mêmes droits que les hommes.

Ces inégalités ont été créés avec le droit à l'appartenance qui a ensuite mener au patriarcat, divisant encore plus les femmes et les hommes dans la société qu'elle soit d'hier où d'aujourd'hui.

Nous commencerons par voir les premières luttes des femmes pour ensuite continuer dans les luttes plus actuelles, en France. Alors que de nombreux pays ont accordé le droit de vote aux femmes au début du XXe siècle, la France a pris du retard et s'est efforcée de légitimer les femmes dans la sphère politique.

Qu'en est-il du pays des droits de l'homme ? En France, les opérations se multiplient entre la fin du XIXe et le début du XXe siècle.

Marguerite Durand (1864-1936), comédienne française, est devenue l'une des premières figures du mouvement féministe français.

Au fil du temps, elle devient reporter au Figaro et s'implique progressivement dans des causes féministes. En 1897, elle fonde le journal La Fronde, un journal composé à 100% de femmes, prouvant qu'elles pouvaient diriger le journal comme des hommes et le faire.

La Fronde est un journal généraliste aux rubriques variées.

Cela aura un impact majeur sur la position des femmes en politique, car elles pourront accéder à la bourse en tant que journalistes. Par la suite après un long combat mené par les femmes pour obtenir le droit de vote, l'article 17 du décret du 21 avril 1944 portant organisation des pouvoirs publics permet enfin aux Françaises de devenir électrices et d'obtenir le droit de vote dans les mêmes conditions que les hommes, ainsi la république donne enfin femmes le droit de vote.

Devenez un citoyen à part entière après la libération. Le décret du 21 avril 1944 permet aux Françaises de voter pour la première fois aux élections municipales de 1945 et permet à 16 femmes d'être représentées lors des consultations provisoires tenues à Alger et à Paris en 1944.

Jusqu'aux élections législatives du 21 octobre 1945 élu les 33 premiers représentants de l'histoire de la république. Depuis 1965, les femmes peuvent posséder des chéquiers et dépenser l'argent de la famille sans l'autorisation de leur mari.

Cette autonomie financière désormais indiscutable n'a que...

50 ans. Retour sur une avancée importante de la condition féminine. Il peut sembler impensable aujourd'hui de devoir demander l'autorisation de son mari pour ouvrir un compte bancaire ou travailler, mais cela n'a pas toujours été le cas.

Jusqu'en 1965, les femmes étaient totalement dépendantes financièrement de leur mari et devaient lui demander la permission de dépenser l'argent de la famille. La loi du 13 juillet 1965 a rompu cet ordre établi.

Grâce au texte voté par le Parlement, les femmes au foyer peuvent avoir leurs propres chéquiers et exercer des activités professionnelles sans l'approbation de leurs maris. Thérèse Clerc, mère de quatre enfants et fondatrice de l'association féministe "Les Babayagas", a traversé cette période de transition.

Interrogée par les médias, elle a rappelé comment les choses fonctionnaient avant que la loi ne soit votée.

Devant la caméra de France 2, elle déclara : "C'est incroyable ce qu'on était bêtes.

On nous maintenait dans la bêtise familiale.

On était faites que pour avoir des enfants et faire la cuisine." Sur France 3, elle explique que son mari donne lui verser une mensualité spécifique pour qu'elle puisse garder la maison.

Manquant de liberté, dont elle souffrait "quand même un peu". Cette loi de juillet 1965, suivie de bien d'autres lois, notamment en matière de contraception et de droit à l'avortement, constitue un véritable tournant pour les femmes, tant sur le plan moral que juridique. Aujourd'hui, l'essence du féminisme a tendance à être dénaturée : pour certains, il se réduit à une guerre entre les femmes et les hommes.

Le féminisme n'a pas pour objectif de rabaisser les hommes, de les réduire à néant ou de les priver de leurs droits pour que les.... »