Note de Synthèse : Penser le Libéralisme Pierre Rosanvallon

Pour étoffer son argumentation, Pierre Rosanvallon renvoie aux théories d’auteurs classiques tels que celle de Montesquieu ou, plus radicale, celle de Paine pour opposer la brutalité des rapports hiérarchique d’une société contrôlée par le seul contrat sociale par opposition aux rapports dictés par le « doux commerce «. Nos sociétés auraient donc laissé le marché prendre de l’importance de par leur volonté de vivres des rapports pacifiés et sans hiérarchie directe. Pour Pierre Rosanvallon l’individu évoluant dans la société libérale acquière son autonomie en se plaçant entre l’Etat et le Marché (Nous pourrions faire un parallèle avec ce qu’il se passe aujourd’hui avec les marchés financiers qui se méfient des Etats et des Etats étant impuissant contre les marchés financiers. Une sorte de bras de fer s’étant engagés entre eux et nous sommes actuellement dans une période où ils se neutralisent. Or tout ceci ne s’accompagne-t-il pas d’une violente flambée de l’individualisme ?)