Managment
Publié le 21/06/2014
Extrait du document
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La société met en place des outils de démarche qualité totale TQM qui représentent un changement
radical des modes de compréhension de l'entreprise, des attitudes, des méthodes de travail
collectives ainsi que de ses structures et de ses systèmes de management.
– La TPM (Total Productive Maintenance) : Elle permet de préserver et d'améliorer le
rendement des équipements afin de satisfaire les clients dans les meilleurs délais.
Elle
permet de sensibiliser l'ensemble du personnel à la maintenance de la capacité de production
des ateliers.
La TPM est une opportunité pour élever le niveau de compétence des opérateurs
et enrichir leurs tâches en leur confiant la maintenance de premier niveau.
– Le 5S : a pour objectif d'obtenir un environnement de travail propre, d'améliorer l'efficacité
du travail et la sécurité des individus, afin de les rendre plus efficaces.
– Le SMED (Single Minute Exchange Of Die) : Il permet de fabriquer des produits différents
à partir de la même machine en modifiant certains outils, d'accroître la productivité, de
fonctionner par lots de petites séries et de rendre l'atelier plus flexible.
C'est une réponse aux
demandes des clients qui s'orientent de plus en plus vers des produits personnalisés.
– Les GAQ (groupes d'amélioration de la qualité) : Ils sont justifiés par le fait que les
processus à améliorer impliquent plusieurs postes de travail appartenant parfois à des
services différents.
Les opérateurs de ces processus sont les plus capables d'identifier les
causes des dysfonctionnements et d'imaginer des solutions pour y remédier.
Utilisé dans un
but de prévention plutôt que de correction.
➢ Mettez en évidence l'influence des parties prenantes externes sur le management
d'Efcan.
:
Le développement de la responsabilité sociétale de l'entreprise a permis de considérer que
l'entreprise doit aussi écouter et rendre des comptes à tous les acteurs concernés par l'activité de
l'entreprise.
Les parties prenantes externes sont :
– Les clients: Enjeux de qualité de produits et de services, d'information sur la composition
des produits, de respect de normes de sécurité, de recherche et développement pour des
produits plus respectueux de l'environnement..
– Les fournisseurs et sous-traitants : respect des délais de paiement, mise en place de politique
d'achat..
– Les banques : S'assurent d'être remboursées des emprunts réalisés par l'entreprise.
– Les pouvoirs publics : Respecter les lois, payer ses impôts..
– Les ONG : Meilleure transparence et dialogue pour assurer le respect de l'environnement..
– Les concurrents : Eviter la concurrence déloyale, appliquer les normes environnementales..
Cyert & March rejettent totalement l'idée selon laquelle on peut se représenter la firme comme une
unité de production dont le but se limite uniquement à la maximisation du profit.
Au contraire, il
faut selon eux voir l'entreprise comme un ensemble de coalitions aux intérêts contradictoires et se
livrant à des luttes d'influence et de relations de pouvoir.
Selon Cyert & March, les conflits issus de
ces relations sont essentiellement réglés au travers de routines organisationnelles.
Pour ces auteurs, seuls les individus ont des objectifs, les organisations n'en n'ont pas et les
individus cherchent à réaliser leurs objectifs en s'alliant avec les autres.
S elon Crozier l ' analyse stratégique , elle part du constat suivant : étant donné qu'on ne peut
considérer que le jeu des acteurs soit déterminé par la cohérence du système dans lequel ils
s'insèrent, ou par les contraintes environnementales, on doit chercher en priorité à comprendre
comment se construisent les actions collectives à partir de comportements et d'intérêts individuels
parfois contradictoires.
Au lieu de relier la structure organisationnelle à un ensemble de facteurs externes cette théorie.
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