Le commerce au Moyen-Age
Publié le 13/04/2013
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• Au début du Moyen Age, le commerce international utilise des monnaies non européennes : celles de Byzance (nomisma, puis hyperpère et besant) et du monde arabe (dinars). Sous Charlemagne, la monnaie d'argent est la plus importante : l'étalon est le denier. Ce n'est qu'au X11r siècle que reprend la frappe de la monnaie d'or : en 1252, les deniers d'or à Gênes et les florins à Florence; en 1266, les écus d'or en France; en 1284, les ducats à Venise. les commerçants enrichis deviennent...
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LA LlTTIE DE CHANGE LA MâlmDANh Cet ancêtre du dlèque bancaire permet le comme rce est tenu par les grandes une opération li la fois de change et de cités portuaires d1talie du Nord : aédit : le signataire autorise le Venise , Gênes , Pise .
Venise conserve ses bénéficiaire li lire mnbour5é plus tard, liens privilégiés avec Byzance .
Les en un autre lieu et en une aœe Vénitiens , pour avoir soutenu monnaie que celle en laquelle a été l'empereur byzantin dans sa lutte faite la transaction.
Exemple : •Vous contre les Normands (Robert Guiscard) paierez par œttr lettre Il messire X dans et les pirates arabes de l'Adriatique , son offiœ de Lyon la somme de obtiennent des privilèges considérables 4n livres de Paris, qui valent 900 éals.
(bulle d 'or d'Alexis I") : liberté de Signé : messire Y.• la lettre de change navigation , tarifs douaniers permet au ~ (messire Y) de ne préférentiels , droits d'olMir des pas avancer immédiatement l'argent; entrepôts.
etc.
e1e éWe au bénéficiaire (messire X) de • les croisades stimulent le commerce transporter de llf055'S sommes de Venise.
de ~es et de Pise : les cités d'argent liquide.
puisqu'il se fait payer italiennes mettent leur flotte au service directement chez lui (dans noire des croisés , en échange de privilèges exemple, li Lyon).
commerciaux.
Elles ont leurs quartiers.
-----------1 avec comptoirs.
entrepôts (fondacht) et Les nouvelles techniques financières se diffusent plus ou moins vite en Europe .
A Toulouse , le simple usage des chiffres arabes , infiniment plus commodes que les chiffres romains, n'est introduit dans la co.,tllllllld qu'au début du "lll'siède .
•Dans le commerce maritime, des contrats permettent aux associés de partager Il l'avanc e risques et profits : le contrat de commendo permet Il un commanditaire d'avancer l'argent nécessaire au marchand .
En cas de perte , le commanditaire perd tout En cas de gain, il est remboursé de son avance et reçoit sa part des bénéfices (en général 75 'lb).
Le contrat de sodetos {ou collegantia) permet au commanditaire d 'avancer les deux tiers des fonds nécessaires, le marchand fournissant le tiers restant S'Ii y a perte , elle est répartie dans les mêmes propoltions ; s'il y a bénéfice, chacun en perçoit la moitié .
En général, un contrat est valable pour un voyage aller-retour, guère au-.
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