Jusqu'à quel point peut-on dire que les inégalités se sont réduites en France ?
Publié le 27/03/2011
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Définition : Les inégalités sont les différences entre individus et groupe sociaux, elles se traduisent en termes d'avantages ou de désavantages et fondent une hiérarchie entre individus ou groupes d'individus. Lorsque les différences entre individus ou groupes d'individus, aboutissent à des différences de traitement entre ces mêmes individus ou groupes d'individus, et que cela entrainent une hiérarchie entre ces groupes, on parle d'inégalités sociales. Afin de calculer si ces inégalités tendent a réduire ou augmenter on prend le haut et le bas de la hiérarchie sociale et on observe si le nombre et l'ampleur des inégalités entre ces deux groupes augmentent ou diminuent. Ici nous étudierons la société française et on se posera la question suivante: jusqu'à quel point les inégalités la composant se sont réduites ? On peut dégager deux grandes formes d'inégalités dans les quels sont imbriquées un grand nombre de petites inégalités, les inégalités économiques et les inégalités sociales. Dans une première partie nous verrons en quoi ces inégalités ont diminués puis dans une seconde en quoi cela n'est pas suffisant pour parler d'une société égalitaire. Ne pouvant pas faire une liste exhaustive des inégalités composant notre société, nous nous concentrerons plus particulièrement sur les inégalités de revenu ainsi que les inégalités à l'école.
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plus faibles et les plus stables des inégalités économiques.
Or l'écart entre revenus est toujours plus fort que celuientre les salaires qui sont protégés par un smic assez élevé et aussi par des grilles salariales qui encadrentl'évolution des salaires et empêchent l'apparition de trop grandes inégalités.Les véritables inégalités économiques se situent donc au niveau du revenu et du patrimoine.
Or on observe qu'enFrance 20% de la population ne possède aucun patrimoine.
Par ailleurs on sait que pour disposer d'un patrimoine ilfaut tout d'abords avoir les moyens d'épargner pour se le procurer.
Or les inégalités de salaires ont beau s'êtreréduite un ouvrier gagnant 1000 euros par mois en consommera 950 pour vivre (entre le loyer, les provisions,l'électricité, etc…) il pourra donc au maximum économiser 50 euros, or un employé touchant 2000 euros parmoi en consommera peut être 1000 mais il aura toujours économisé 1000 euros, ce qui lui permettra d'acquérir unpatrimoine plus important.
Or on a put constater a travers des études qu'un enfant vivant dans un lieu où il y auraitrop de personne, un ménage avec 4 enfant dans un 2pièces par exemple, aurait plus de difficultés a grimperl'échelle social.
Pourquoi donc ? Car le premier échelon de la société, c'est l'école.
b) Ecole lieu d'inégalitésOn a parlé précédemment de l'impact que pouvait avoir les inégalités de patrimoine sur l'éducation.
Et ce n'est pasle seul, l'école a pour vocation de nous enseigner de nombreuses choses diverses et varier dont une assez flouqu'est la culture.
Mais pas n'importe laquelle, la culture que veut nous inculquer l'éducation national est la même quecelle du haut de l'échelle social.
Pourquoi s'étonner que les fils de cadres réussissent mieux leurs études que les filsd'ouvrier ? C'est tout simplement parce que ce que veux nous enseigner l'école et ce qui est valorisé par celle-ci,fait parti de l'éducation des classes supérieurs qui, comme le dit Bourdieu, ont un capital culturel supérieur ou plusvalorisé et valorisant que celui des classes moyennes et inferieurs.
Notre origine sociale a donc comme au temps delouis XIV un impact direct sur notre réussite social.
Et ce n'est pas le seul problème.
Nous pouvons remercier nosprédécesseur de nous avoir permis d'aller au collège et au lycée, seulement, ce qu'il n'avait peut être pas prévuc'est que les inégalités de départ se sont simplement déplacé vers le niveau superieur.
Ainsi on constatera lasurreprésentation des fils de cadres dans les grandes écoles et l'absence quasi-total de fils d'ouvrier oud'agriculteur.
L'éducation même de certain enseignants s'en trouve changer, a Paris dans le XVIème arrondissementles professeurs parlent a leurs élèves de prépa, de sciences-po,d'HEC,etc… alors que dans la banlieue onnous apprend dans quelle branche l'on pourrait trouver un BTS(nous ne dénigrons pas le BTS mais celui-ci a tout demême moins de valeur).
Ici nous ne pouvons étudier qu'une faible part des inégalités en France car on ne peut toute les recenser, entre lesinégalités homme/ femme, les inégalités entre immigrés et non-immigrés en passant par les inégalités géographique(deux personne de niveaux d'études égal n'auront pas les mêmes débouchés selon que la région où ils habitent esten pleine expansion ou en déclin économique).
Mais nous pouvons tout de même affirmer que certaines inégalités duXXème siècle se sont réduite et cela de manière significative.
D'un point de vue économique et sociologique on a puconstater de nettes améliorations.
Cependant on observe de nos jours un retour de ces inégalités.
Sujet désiré en échange :
est il légitime de s'opposer a la loi ?.
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