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Je suis à la tête d'un Etat qui est en situation de faillite sur le plan financier, je suis à la tête d'un Etat qui est depuis 15 ans en déficit chronique, je suis à la tête d'un Etat qui n'a jamais voté un budget en équilibre depuis 25 ans. Ça ne peut pas durer. François Fillon, 2007, peu après sa nomination à Matignon

Publié le 11/11/2012

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L’objectif d’un plan de rigueur est à long terme et passe par la restauration des comptes publics et un

l’équilibre social et économique. Tout d’abord, à long terme, la baisse des dépenses publiques permettent

une baisse de l’inflation avec une stabilité du taux de change et un retour de confiance dans l’économie

du pays permettant un effet radicalement inverse qu’à court terme la compétitivité économique permet la

création d’emploi et donc une hausse des salaires due à une reprise de la croissance et de

l’investissement. La Banque Centrale augmentant actuellement son taux d’intérêt directeur, cela

permettrai à d’éviter le surinvestissement et donc les bulles spéculatives. La baisse du déficit public

permettrai à la France de plus amples moyens d’actions (tel que garder son triple A), ce qui permettrai à

terme une politique plus de relance, de creuser cette fois-ci les dépenses publiques pour relancer

complètement une croissance économique, la consommation et surtout raugmenter le budget de plan

sociaux qui furent baisser à court

« marché (nous citeront la Suède et le Canada), ont porté à prêt de 80% la baisse des dépenses publiques. Le plan social prend le dessus sur le plan d’austérité à cause de la politique électoraliste ce qui risque d’aggraver les perspectives économiques en repoussant le problème.

De plus, on peut voir que les prévisions portent justement à baisser tout ce qui est social, on pourra parler en premier lieu de l’âge légal de la retraite à 62 ans qui était prévu pour 2018 a été avancé à 2017 voir 2016.

On pourra aussi parler du débat sur la désindexation des prestations sociales sur le l’inflation prévisionnelle et donc une baisse certaine de ce dernier car on voudra que son évolution n’aille plus vite que celle du PIB associé à une augmentation de la participation de la sécurité sociale et autres mutuelles.

On a pu voir dernièrement l’UNEF faire signer une pétition pour empêcher l’augmentation de la taxation des mutuelles de 7 points (de 6% à 13%). On a pu voir qu’entre la théorie et les faits actuellement, la conciliation de ces deux plans parait impossible car chacune prend le pas sur l’autre.

A Long terme pourtant la tendance pourrait s’inverser L’objectif d’un plan de rigueur est à long terme et passe par la restauration des comptes publics et un l’équilibre social et économique.

Tout d’abord, à long terme, la baisse des dépenses publiques permettent une baisse de l’inflation avec une stabilité du taux de change et un retour de confiance dans l’économie du pays permettant un effet radicalement inverse qu’à court terme la compétitivité économique permet la création d’emploi et donc une hausse des salaires due à une reprise de la croissance et de l’investissement.

La Banque Centrale augmentant actuellement son taux d’intérêt directeur, cela permettrai à d’éviter le surinvestissement et donc les bulles spéculatives.

La baisse du déficit public permettrai à la France de plus amples moyens d’actions (tel que garder son triple A), ce qui permettrai à terme une politique plus de relance, de creuser cette fois-ci les dépenses publiques pour relancer complètement une croissance économique, la consommation et surtout raugmenter le budget de plan sociaux qui furent baisser à court terme.

Ainsi on peut donc voir à long terme que les politiques fiscales de désendettement peuvent être conciliées, du moins dans la théorie.

Comme on l’a vu dans l’actualité le gouvernement peine à parler de plan de rigueur et à aller complètement dans cette voie, on peut donc se demander si même en jouant « sur les deux tableaux » l’effet peut -être bénéfique à long terme sachant qu’il a été atténué à court terme.

De plus, la politique électoraliste est un autre facteur à prendre en compte car il faut du temps pour mettre en place cette politique de rigueur, or ce temps devient une baisse de la confiance des électeurs dans le gouvernement en question car les plans sociaux sont baissés. Finalement on peut se demander si la politique n’est pas justement un élément qui entravera la conciliation entre une politique de désendettement et une politique sociale car elle ne permettra pas le temps de sa mise en place. Pour conclure, on pourra dire qu’actuellement, dans un premier temps la politique de rigueur et la politique sociale ont des méthodes et objectifs différent s sur court terme mais qu’à long terme, l’amélioration de la finance française permettrai de plus se focaliser sur le social.

Mais est-ce que la politique électoraliste n’est-elle pas justement pas assez prise en compte.. »

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