Ikoya mission 1
Publié le 30/03/2014
Extrait du document
«
j u me lé à u ne mod i f ica t ion du système f iscale pou r ra i t êt re la clé qu’a besoin
l’Eu rope pou r s’ouv r i r.
L’u t i l isa t ion d’un log icie l l ib re est g ra t u i te, on ne par le donc p l us de cl ien t
ma is bien d’u t i l isa teur.
L’u t i l isa teu r a le choix de son envi ronnemen t de t rava i l
et des app l ica t ions à u t i l iser.
Le p l us souven t avec les logiciels
d i ts p rop r ié ta i res le cl ien t se t rouve sous u n amas de fonct ionna l i tés qu i l u i son t
t rès ra remen t u t i le.
Les socié tés basées su r le modèle économ ique du logiciel l ib re
se voien t alo rs off r i r à l a ven te des modu les g ra t u i ts ou payan ts en fonct ion des
besoins de l’u t i l isa teur.
Le l ib re est m is à « d isposi t ion g ra t u i temen t et est
faci lemen t té lécha rgeable » ma is tou te cet te g ra t u i té à u n coû t.
E t cer ta i ne SSL L
l’on t bien comp r is et p ropose des solu t ions d’i n tég ra t ion de ces logiciels l ib res.
L’ i n tég ra t ion du logiciel l ib re dans les sociétés se fa i t d’ai l leu rs pa r la « pet i te
po r te ».
Le g rand pub l ic n’étan t pas suf f isammen t conf ian t en tou t ce qu i peu t
êt re g ra t u i t et pas forcémen t doué pou r tou t ce qu i touche aux nouvel les
technologies.
Le manque de moyens des sociétés de logicie ls l ib res on t souven t
pou r résu l ta t des i n te r faces d’u t i l isa t ion peu al léchan t pou r les u t i l isa teu rs.
Dans les deux cas i l y a u ne assis tance, les sociétés basées su r le modèle
p rop r ié ta i re off ren t souven t l’assistance l a p rem iè re année, ou pendan t deux ans
max i mu m.
L’accès au con tenu en ayan t payé les d ro i ts d’accès au logicie l f i dél ise
le cl ien t.
Les logiciels p rop r ié ta i re se son t i mposés dans not re v ie cou ran te,
lo rsque l’on achè te u n ord i na teur, on achète pa r la même occasion u ne l icence
W i ndows, l’avan tage c’est que cela rend l’ u t i l isa t ion faci le ma is l’ i nconvén ien t
c’est que le cl ien t n’a alors pas le choix, on par le a lo rs de ven te fo rcé ou de ven te
l iée, même si le cl ien t peux alo rs fa i re to u te les déma rches nécessai res pou r s’en
p r i ve r et se fa i re rembou rser, au jou rd’hu i t rès peu de gens sau ron t i ns ta l le r su r
leu r mach i ne u n système l ib re de d roi t.
Le modèle l i b re est au jou rd’hu i en voix de
développemen t même si i l est encore obscu re a u ne g rande pa r t ie de la
popu la t ion..
»
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