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economie - loi de rendement

Publié le 23/06/2023

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« Eco matu : 1.

Fonction de production et loi des rendements non proportionnels en courte et longue période ->Faire varier niveau de production en jouant sur quantité des facteurs de production -> produire + = augmente tout facteurs de production ou un seul A court terme : on augmente un facteur de production : travail = variable Facteur capital = constant / fixe Production augmente rapidement puis moins vite puis diminution Règle = loi des rendements non proportionnels ou décroissant Produit total : production à court terme P = f(L) car capital constant Produit marginal : delta PT divisé par delta L Produit moyen : PT divisé par L Combiner 2 facteurs de productions (travail et capital) ! Garder proportion harmonieuse entre c’est 2 facteurs ! peut pas augmenter indéfiniment nombre de travailleurs par capital fixe 1.

La demande : élasticité des demandeurs au prix et aux autres facteurs sociaux économiques -> mesure sensibilité de réaction de la demande qui s’exprime pour un bien à la variation du prix de ce bien : Ed / p = variation quantité demande % divisé par la variation prix % -> normalement négative sauf bien de luxe -> le signe = quantité demandée d’un produit varie dans sens inverse du prix de ce produit : elle diminue quand il augmente ed/p Selon condition de production (rendement décroissant), l’offre réagit aux delta P -> = mesure sensibilité de réaction de l’offre qui s’exprime pour un bien à la variation du prix de ce bien Eo/p = delta quantité offerte % divisé par delta prix % -> normalement positive = Q offerte d’un produit varié dans sens du prix de ce produit ( grand quand grand / petit quand petit ) Eo/p > 1 = forte Entreprise très sensible au delta P Ajustent production -> condition de production = flexible (réserve de matière 1ere, facteur travail) Eo/p = [0, 1] = faible Eo/p = 0 = inélastique 1.

Les caractéristiques des marchés de concurrence parfaite et leurs limites Hypothèse : atomicité de l’offre et de la demande -> beaucoup de petit vendeur / acheteur -> 1 peut pas tout influencé / acheter Transparence du marché -> participant disposent de toutes les informations existantes fluidité d’un marché ou absence de barrière à l’entrée et sortie -> l’offre s’adapte aisément à la demande ou la demande à l’offre Homogénéités des produit -> tous produits identique et interchangeable Absence d’intervention de l’état (prix max ou min et différence manipulation du prix du marché) -> pas exactement comme ça dans la réalité 1.

Les mécanismes du marché concurrentiel : loi de l’offre et de la demande appliquée aux différents marchés réels Demande agrégée : Q de produit que les agents économique sont disposés à acheter, compte tenu du prix du marché à de nombre déterminant : gout, revenu, prix bien substituable, prix du bien Dans majorité des cas : = décroisante prix rapport au prix du marché Offre agrégé : Q de produit que entreprise dont disposé à vendre, compte tenu du prix du marché offre = fonction croissante du prix Offre dépend de : coût de production, facteur climatique, prix du bien Loi de l’offre et de la demande : Si l’offre > demande -> son prix baisse et le nombre d’offreur diminue Conséquence -> marchés = à l’équilibre et nombre produits offerts = nombre produit demandés Prix sera unique 1.

Le calcul du producteur en concurrence parfaite 2.

Cout fixe total -> facteur de production et ressources fixe 3.

Coût variable -> facteur de production et ressources pas fixe 4.

Coût total -> somme de tout les coûts 5.

coût fixe ou unitaire = CFT divisé par Q 6.

Coût variable unitaire = CVT divisé par Q 7.

Coût moyen ou unitaire : CT divisé par Q 8.

Recette totale : RT = P • Q 9.

Recette moyenne : RM = RT divisé par Q 10.

Recette marginale : RM = Delta RT divisé par delta Q 11.

Optimum : 1.

Le calcul du monopole en concurrence parfaite (solution graphique et mathématique) 1.

Le calcul du producteur en monopole Monopole : forme de marché ou l’offre du bien / services et entièrement concentré dans 1 seul vendeur monopole de fait -> nature ou emplacement -> eau valser, champagne Monopole privé -> brevet d’une entreprise Monopole public -> crée par l’état en sa faveur (émission billet de banque) Le pouvoir du monopoleur se traduit par le fait qu’il fixe les prix et quantité pour maximiser son profit -> Rm = Cm Image : …. 1.

Les échecs du marché : externalités, biens collectifs/biens communs et asymétries de l’information Si le marché ne parvient pas à une allocation optimale de ces ressources, on parle alors de défaillances de marché.

Les défaillances de marchés peuvent se manifester de différentes manières : l’apparition de monopole qui domine le marché, la non production de bien collectif, les externalités négatives, l’asymétrie d’information, … Les bien collectif (police) non rival : la consommation du bien ou l’utilisation d’un service par un agent économique ne prive pas les autres agents d’en bénéficier (lampadaire) Non exclusif : consommation du bien ne peut pas être limitée à celui ou ceux qui paient pour en bénéficier. Les entreprises privée n’ont pas d’intérêt à produire et à vendre ce type de biens ou services.

L’état obligera les bénéficiaires à en payer le coût grâce aux imposes Les biens communs (bibliothèque) Rival : la consommation du bien par un agent économique prive les autres agents d’en bénéficier Non exclusif : on ne dois pas payer pour l’utiliser Les externalités négatives : C’est lorsqu’un agent économique agit de telle manière qu’au moins un autre agent en subit aussi les conséquences sans recevoir de compensation, ou en tire des bénéfices sans payer le prix. Exemple : une industrie qui pollue et affecte les commerces d’à coter. Externalités positives : Lorsque deux agents économiques engendrent des externalités positives dont ils profitent l’un et l’autre. Exemple : apiculteur qui dispose de ses ruches à proximité du champ de fleur d’un horticulteur. L’état peut intervenir pour limiter les externalités négatives : Interdire la fumée dans des lieux publics Cibler ceux qui sont toucher et leur donner des compensation Prélever des taxes L’asymétrie de l’information : Il arrive souvent que l’un et l’autre dispose d’informations que l’autre partie ignore. Exemple : un vendeur de voiture d’occasion et veut se débarrasser de celle ci en ne racontant pas les défauts de la voiture à l’acheteur. Ou un homme qui ne dit pas à son médecin qu’il fume trois paquets de cigarettes par jours. L’état peut intervenir de manière à réduire cette asymétrie en obligeant par exemple des étiquettes sur l’origine des aliments. 1.

Les marchés imparfaits : monopole, oligopole, cartel et concurrence monopolistique Monopole : lorsqu’il n’y a qu’un seul vendeur en face d’une multitude d’acheteurs.

Ce type de marché est caractérisé par des barrières à l’entrée qui sont souvent infranchissables pour les entreprises qui aimeraient entrer sur ce marché.

Ces barrières peuvent être ; Un brevet qui protège l’entreprise pendant plusieurs années Le contrôle des ressources clés Le droit exclusif accordé par l’état à une entreprise afin d’exploiter une activité Tout de moins, on peut y voir une discrimination des prix.

Car plus la demande est inélastique m, plus le prix de monopole est élevée et inversement.

Les monopoles privées résultent de l’obtention d’un brevet et les prix peuvent donc être abusée avec des profits exagérés.

Contre les monopoles publics qui existent pour sauvegarder l’intérêt général et les prix ne sont donc pas abusif. L’oligopole : L’oligopole suppose un nombre suffisamment restreint de vendeurs d’un même produit, face à une multitude d’acheteurs, pour que l’action de chacun d’eux modifie les conditions du marché.

Comme le produit est supposé homogène, tout les vendeurs doivent appliquer le même prix : si un vend plus chère, il perdrait sa clientèle.

Le prix n’est alors objectivement déterminé.

Selon latitude que les différents vendeurs adoptent les uns envers les autres, différentes situations peuvent se présenter : l’entente : les producteurs s’entendent plus ou moins ouvertement sur un prix et chacun y adapte sa production : il s’agit de cartel. Le price-leadership : un producteur important fixe son prix et les autres vendeurs l’adoptent et règlent leur productions en conséquence. La guerre des prix : lorsqu’il y a une guerre des prix entre les grand distributeur (Migros et coop qui doivent baisser leur prix à cause de Lidl et aldi). Si on considère que les oligopoleurs vendent un produit homogène, en réalité les vendeurs cherchent à différencier leurs produits ou services au yeux des consommateurs. Le cartel est un où les quelques producteurs ou vendeurs obtiennent le contrôle d'un marché par entente formelle.

C’est une forme de concentration horizontale (regroupement d'entreprises ayant une activité semblable) où de grandes entreprises juridiquement et financièrement indépendantes ayant des activités comparables sur un même marché, s'entendent en vue de contrôler et parfois partager ce marché, dans le but de rendre plus difficile l'entrée de nouveaux.... »

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