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De l'Union Monétaire Européenne à la BCE

Publié le 02/07/2012

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La hausse de l’euro par rapport au dollar ces dernières années ont été moyennement apprécié surtout en France où le président Nicolas Sarkozy a émis de vive critique. Les problèmes de la France au niveau des exportations et importations y sont liés selon l’intéressé qui pense que la hausse de l’euro accroît la perte de compétivité de l’europe. Chez nos voisins allemands les données ne sont pas les mêmes et il profite d’une balance commerciale exédentaire pour encourager un niveau élevé de l’euro. Pour les économistes, une dévaluation de l’euro n’a que des effets au cours termes en boostant les exportations mais limitant les importations. La perte de valeur suivi de l’inflation augmente les coûts et au final fait perdre de la compétivité au pays. Cette pratique ne peut servir que lors de période électorale pour montrer des tendances illusoires et provisoires.

« - Promouvoir le bon fonctionnement des systèmes de paiement : Lancé au même moment que l’euro en 1999, TARGET 1 (systèmes de transfert express automatisé transeuropéen à règlement brut en temps réel) devait permettrel’égalisation des taux du marché monétaire ainsi que la sécurité des gros paiement en temps réel à travers les frontières.Depuis le lancementde la plate frome TARGET 2 en 2008 ; les états n’ont désormais plus besoin de transiter par la BCE.

Ce système traite chaque jour près de 380000 opérations représentant autour de 3 000 milliards d'euros. Les autres misisons de la BCE :- Stabilité du système financier et surveillance bancaire- L’émission de billet de banque est exclusivement réservée à la BCE- En collaboration avec les BCN, la BCE récolte les données statistiques nécessaires à la SEBC auprès des différents agents économiques- La BCE gère les coopérations européennes et internationales Les critiques de la BCE Indépendance : Comme la majorité des banques centrales, l’indépendance de la BCE a été établie dans le traité de Rome article 108.

Celui indique qu’aucune institutions, organescommunautaire, gouvernements des états membres ou tout autre organisme ne peut influencer les décisions des dirigeants.Même si cette règle est acceptée par la majorité des acteurs européens, il existe en France une certaine critique à cet égard notamment de la part des politiquesfrançais.

Ces critiques sont plus vives lorsque l’on s’approche d’échéances électorales.

Ceci est dû au fait que les politiques n’ont plus la main sur la politiquemonétaire.

En effet on a pu remarquer que des politiques de rigueur monétaire étaient pratiquées en début de mandat ainsi que des politiques de relance en fin demandat.

De telle sorte que les électeurs perçoivent un semblant de reprise économique, une baisse de chômage que les politiques s’empressent d’annoncer.

Cependantces pratiques ne sont visibles qu’au court terme et amène au long terme un endettement du pays et une perte de confiance des électeurs dans les personnagespolitiques.Haut de pageEn dépit de ces critiques, la BCE justifie cette indépendance pour une meilleure stabilité des prix au long terme.Inflation dans la ligne de mire : Une autre grande critique relevé d’abord par les altermondialiste puis par les deux principaux mouvement politique français concerne la focalisation de la BCE surl’inflation.

Leur revendications portent sur l’absence de prise en compte de certains problèmes comme le taux de chômage et la croissance qui semble-t-il sontnégligés.

Les défenseurs de la BCE répondent que la mission principale de la BCe reste la lutte contre l’inflation estimant être le meilleur d’atteindre la maximisationde la croissance économique, la minimisation du chômage ainsi que la stabilité du taux de change effectifs. Il est vrai que la BCE s’occupe principalement d’un seul objectifs, a noté quand même qu’elle ne dispose que de quelques outils dont les taux directeursprincipalement. Ces taux justement assez bas, profiteraient à des investissements à risque (bulle immobilière ou boursière) selon les mouvements altermondialistes et l’OCDE. Un euro fort une faiblesse ? La hausse de l’euro par rapport au dollar ces dernières années ont été moyennement apprécié surtout en France où le président Nicolas Sarkozy a émis de vivecritique.

Les problèmes de la France au niveau des exportations et importations y sont liés selon l’intéressé qui pense que la hausse de l’euro accroît la perte decompétivité de l’europe.

Chez nos voisins allemands les données ne sont pas les mêmes et il profite d’une balance commerciale exédentaire pour encourager unniveau élevé de l’euro.

Pour les économistes, une dévaluation de l’euro n’a que des effets au cours termes en boostant les exportations mais limitant les importations.La perte de valeur suivi de l’inflation augmente les coûts et au final fait perdre de la compétivité au pays.

Cette pratique ne peut servir que lors de période électoralepour montrer des tendances illusoires et provisoires. Bibliographie www.perso.enstimac.fr www.ecb.int www.cnrs.fr http://www.ecb.europa.eu Intervention de M.

Christian Noyer Vice-président de la Banque centrale européenne, au Forum Économique 2000 du Fonds Pareto, àOslo, le 23 mars 2000 www.ofce.science-po.fr LA POLITIQUE DE CHANGE DE LA ZONE EURO OU LE HOLD-UP TRANQUILLE DE LA BCE http://www.banque-france.eu/archipel/publications/bdf_bm/etudes_bdf_bm/bdf_bm_148_etu_2.pdf. »

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