Dans quels domaines les inégalités entres hommes et femmes ont-elles tendance disparaître ?

« et l’éligibilité en 1944 leur a permis de s’intégrer un peu plus dans la société, il en ai de même pour la loi de la parité vote en 2000 qui a permis aux femmes une entrée dans le monde politique et l’accès aux fonctions politiques.

Elles ont également obtenu le droit à l’avortement en 1975 ainsi que la suppression de la tutelle maritale en 1965.

Ces droits obtenus par les femmes a permis le changement de la place des femmes est fortement lié aux mutations de la famille française.

En effet auparavant les femmes entaient celle qui était chargé d’effectuer les taches ménagères à partir de 1970 la femme obtient la même autorité à l’égard des enfants que le père et aujourd’hui on a même tendance à voir l’autorité parentale se substitué par l’autorité maternel. Les hommes sont donc amener à effectuer certaines taches ménagères.

Les femmes intégrant le marché du travail, les hommes doivent effectuer certaine tache telle que le bricolage.

Ceci est du en parti à l’entré des femmes sur le marché du travail grâce aux diplômes et aux formations. Des progrès immenses ont été accomplis puisque les femmes se considèrent tout à fait égal par rapport aux hommes.

On a atteint l’égalité, formellement, mais de nombreux écarts demeurent en termes de salaires, de responsabilité, de rôles politiques, par rapport a la sexualité notamment. II) L’antique monopolisation par les hommes de l’espace public s’est pour l’essentiel maintenue jusqu’à présent.

Pour s’en tenir à deux chiffres, le conseil général élu en 2000 comptait à peine 7% de femmes, et au Sénat, il y avait moins de 6% de femmes à la même époque.

Le Parlement français au seuil du XXI° siècle fait ainsi à peine mieux que celui de l ’Iran.

L’essentiel se jouera à l’avenir dans la mise en œuvre effective de la parité désormais encouragée par la Constitution.

Mais cette domination masculine se vérifie plus largement dans la monopolisation du pouvoir dans d’autres lieux : au sommet des grandes entreprises, dans les organisations syndicales ou les administrations publiques, dont les fonctions de responsabilité restent accaparées, dans leur immense majorité, par des hommes.

En outre, l’espace public ne se réduit pas à la seule scène du pouvoir.

Il comprend aussi ce qu’on pourrait appeler la scène mondaine : cet espace où les corps des hommes et des femmes se donnent à voir les uns aux autres.

Or l’analyse des discours publicitaires, de la mode, des magazines masculins et féminins, de certaines pratiques montre que cette scène mondaine demeure dominée par les hommes : le corps féminin y reste pour l’essentiel un objet de contemplation et de convoitise, pour l’ œil masculin. En dépit des évolutions indiquées ci-dessus, notamment la poursuite des études et la montée de l’activité professionnelle, les femmes assurent toujours l’essentiel du travail domestique.

Celui-ci inclut diverses activités : tâches ménagères proprement dites, gestion des revenus et du patrimoine de la famille, éducation des enfants ou organisation de l’espace-temps familial.

Elle cumule ainsi le temps de travail rémunéré et le travail domestique.

Ces activités représentent une somme de travail énorme, qui dépasse en importance celle qui est mesurée annuellement par le P.I.B.

Elle est pourtant longtemps restée invisible et devient on obstacle important à l’activité professionnelle des femmes Si le taux d’activité des femmes à augmenter considérablement ces dernières années l’écart des salaires est aujourd’hui devenu d’actualité.

Des recherches ont portés notamment sur l’examen. »