Dans quelle mesure assiste-t-on à une féminisation du monde au travail depuis 30 ans ?
Publié le 26/04/2012
Extrait du document
«
Synthèse
Cependant, la fin des inégalités professionnel, éducatif, familiale ou encore sociale restent loin
d’être atteint..
Tout d’abord professionnellement.
D’après l’INSEE, le taux d’activités professionnel est
plus élevé chez les hommes (74,5% chez les hommes contre 63,8% pour les femmes soit une
différence de 10,7%) Ceci nous montre bien qu’ils restent les plus présents sur le marché du
travail.
De plus de cela, les femmes sont les plus touchée par le chômage (1,8 point de plus que les
hommes) mais elles sont essentiellement touchée par le travail à temps partiel alors que les
hommes ont pour la plupart un travail à temps plein.
Les femmes sont alors victime d’inégalités au
niveau de l’emploi vis-à-vis des hommes mais également aux niveaux de la rémunération.
Nous
pouvons constater d’après le document 2 que les femmes percevaient des salaires nettement plus
bas que celui des hommes ce qui engendre alors une retraite plus basse aussi.
Cependant, les filles dispose plus de diplôme supérieur et ont un taux de réussite au bac
4,4% plus élevé que les garçons.
Mais pour autant, ceci n’empêche pas les inégalités aux niveaux
des recrutements d’élève dans les écoles type : scientifique, ingénieur...
Où plus des ¾ des élèves
sont des garçons.
Cette discrimination existante dès l’école se répercute alors dans le monde du
travail ou homme et femmes ne peuvent soit disant pas exercer les mêmes activités.
Ceci relance
alors constamment les inégalités professionnelles…
Aucun lieu n’est épargné, même le cadre familial et sociale… Depuis toujours, la femme a
eu pour rôle de s’occuper des enfants et de la maison pendant que le mari était au travail, celui de
mère au foyer.
Malgré que ce modèle féminin à était révolus, le fait que la femme fasse le
ménage ne l’a pas été.
En effet, l’après L’INSEE la femme consacre 5 heures de son temps au
tâche ménagère, soit 3 heures de plus que l’homme.
Lui préfère se consacrée au bricolage plutôt
qu’au ménages..
Socialement, les femmes et hommes n’ont pas réellement les mêmes intérêt, une
femmes sera plus tenter à lire (71%) plutôt que d’aller faire un football ( 12 %), ce qui sera le
contraire chez les hommes.
Nous pouvons donc dire que les inégalités persiste n’importe où dans la société.
Elle est victime d’inégalité dans le travail domestique, d’un taux d’emploi à temps partiel
très fort, de revenus bas, d’un taux d’activités faible… tous cela est dû au maintien du rôle
sociale traditionnel assigné aux femmes dans notre société.
En effet, nous pouvons voir que les femmes touchent un salaire inférieur de 27% par rapport à
celui des hommes ; Cette différence n’est pas toujours justifiée.
Pour les hommes, la femme
devait rester à la maison d’où le taux d’activité plus élevé chez les hommes.
Les employeurs
automatiquement vont favoriser l’embauche d’hommes que de femmes car un homme est plus
résistant.
De plus, ils ont été habitués à embaucher des hommes vue qu’ils ont toujours été dans
le monde du travail.
Pourquoi modifier les bonnes habitudes ? … Nous savons aussi que les femmes
ne devait pas travailler car elle n’avait pas les capacités physique demandé et que c’était à
l’homme de ramener un salaire tous les mois.
Le simple rôle qu’elle pouvait accomplir été de
s’occuper du foyer et des enfants etc..
C’est certainement pour ça que les femmes ont
essentiellement des travailles à temps partiel et des difficultés à trouver des emplois à temps
complet car ils faut qu’elles s’occupent à coter des enfants et de la maison comme il en était
avant...
»
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