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Cours economie sur l'information

Publié le 21/04/2023

Extrait du document

« Le procès des génériques, 1998, qui oppose Big Farma à l’Afrique du Sud représenté par Nelson Mandela est un événement clé dans l’histoire de la propriété intellectuelle.

Big ferma est un terme pour designer les gros groupes du secteur pharmaceutique.

Pour lutter contre la pandémie de VIH qui a infecté plus de 10% des Sud Africain, le gouvernement de Nelson Mandela avait fait voté une loi en 1997 modi ant la législation sur les médicaments permettant la production ou l’achat de médicament génériques beaucoup moins onéreux que ceux fournit par les laboratoires pharmaceutiques.

En opposition à cette loi, 39 grandes entreprises ont attaqués le gouvernement Sud Africain.

De grandes manifestations et oppositions ont eu lieu et l’OMS a annoncé son soutien au gouvernement.

Le vice président des USA Al Gore a d’abord soutenu l’industrie jusqu’à ce que le gouvernement américain annonce qu’il n’imposerait pas de sanctions aux pays décimés par le VIH. Les géants pharmaceutiques ont persévéré en prenant des armées d’avocats en fermant des usines et annulant des investissements prévues.

3 ans plus tard, après les millions de dollars dépenser en contentieux, les entreprises pharmaceutiques cédèrent et durent remboursé les frais de justice.

Ce fut un vrai désastre pour les entreprises.

Cependant, les choses ne sont pas aussi simple.

Il existe une exigence de rentabilité pour ces entreprises.

Les entreprises ne peuvent pas vendre à un prix inférieur à leurs couts de fabrication de plus un faible nombre de projets de cette industrie entreront ou mèneront a des produits qui pourront être commercialisé sur les marchés. Les taux de succès des entreprises pharmaceutiques sont de 4%.

Les ventes d’un produit réussi doivent donc couvrir le coût de production de recherche et développement de ces produits, mais aussi des échecs précédent. Dans notre exemple les entreprises ont organisées des actions de justices pour protéger leurs brevets.

Les brevets donnent un monopole de 20 ans a l’entreprise innovante qui lui permet de xer un cout bien plus élevée que les couts de fabrication.

La perspective de pro ts élevés donnes une incitation d’investir dans des activités de R et D couteuses et risquées. On voit bien ici que la protection des brevets rentre en con it avec l’objectif tout aussi important de fabriquer des biens et services.

Le prix élevé assez enlevé pour couvrir les couts de R et D, y compris ceux des investissements ayant échoués signi e que beaucoup de ceux qui pourraient béné cier d’un accès à un médicament ne pourront pas l’obtenir.

Il y a donc un con it entre la production d’une nouvelle connaissance et sa di usion rapide.

Ce con it ne peut malheureusement pas être complètement éviter.

La circulation de l’information est un veritable enjeux au sein de l’économie et contrairement à l’hypothèse de concurrence pure et parfaite est loin d’être totalement transparente.

A la base de l’innovation se trouve une nouvelle information. L’information permet doublement l’innovation, elle nous apprend à la produire et à l’utiliser.

Les théories néoclassiques de l’information.

Walras, c’est le commissure priseur qui va la recueillir.

Il evite de se poser la question des asymétries d’information puisque ces dernières risquent de nuire à l’équilibre générale.

Le cadre néoclassique évite de se poser la question de l’information. NEC (nouvelle école classique) NEK (nouvelle école keynésienne) on va étudier cette théorie dans ce cours. I- Etude des asymétries d’information avec la NEK II- Nouvelle économie de l’information avec la révolution numérique opéré Pour comprendre l’innovation, il nous faut oublier cette image pourtant bien plaisante de l’inventeur excentrique mal coi ée, mais qui est devenu riche avec son invention.

L’innovation est un processus est un système.

Invention = prouesse technique.

L’innovation est l’intégration de la prouesse dans une logique économique et sociale.

Si j’invente un respirateur dernier cris Certaines invention dans l’histoire mettent du temps à devenir des innovation.

Le cinéma parlant a été inventé et n’est di usé qu’a partir de la seconde guerre mondiale alors que les techniques existait du fait de la culture (bonimenteurs).

Pour qu’une invention devienne une innovation, il faut que le système tout autour soit près a integrer cette information.

Le progrès médicale a la n du XIX.

L’essentiel des propres médicaux viennent de Pasteur et Robert Koch (tuberculose) a la n du XIXeme.

L’innovation dépend du contexte culturel, économique et politique. fi fi fl fi fl fl fi ff ff ff fi I- Les modèles fondamentaux de la concurrence imparfaite et les asymétries d’information Il y a asymétrie d’information lorsque certaine partie sont mieux informés que d’autres Cette situation a lieu dans de nombreuses fi fi L’information 1.

Sur les marchés des biens et services.

Un vendeur connaît mieux la qualité de son produit que l’acheteur.

2.

Le marché du travail.

Les employés connaissent mieux leurs capacités de travail que leurs employeurs 3.

Dans une entreprise, les manageurs connaissent mieux les fonctionnements internes de l’entreprise que les actionneurs. A/ La sélection adverses The Market for Lemons, Akarlov Il s’intéresse au marché des voitures d’occasion.

Les voitrures d’occasion se vendent moins chers car asymétrie d’information sur les raisons qui poussent le vendeur a vendre.

Le propriétaire connait mieux son bien que l’acheteur.

De plus, le fait que la voiture soit mise en vente indique qu’il peut s’agir d’un mauvais produit Plus de chance de vouloir vendre une mauvaise voiture que une bonne.

Akarlov part de l’hypothèse très raisonnable qu’il va exister des voitures de bonnes et de mauvaises qualités.

Il va exister sur ce marché un phénomène d’anti-selection.

Cette sélection a lieu lorsque des produits de qualités di érentes sont vendus sur un même marché à un prix unique parce que les acheteurs ne sont pas su samment informés pour déterminer la qualité veritable du produit au moment de l’achat.

En asymétrie d’information, les biens de mauvaises qualités peuvent chasser les biens de bonnes qualités.

La sélection adverses est une cause importante de baisse du surplus collectif. L’etat elimine le problème de la sélection adverse Il ne resterait dans l’assurance que les personnes en mauvaise santé.

Les compagnies d’assurance privés vont tenter de réduire le problème de la sélection adverse en o rant des polices d’assurance groupés et obligatoires sur le lieu de travail.

Sur le marché du crédit, les mauvais emprunteurs vont vraisemblablement empruntés plus de crédit que les bons emprunteurs.

La proportion de mauvais emprunteurs augmente et le taux d’intérêt augmente a son tour. Dans tous ces cas, un groupe d’agents à plus d’information qu’un autre.

Il faut donc pour échapper a la A défaut de pouvoir rendre obligatoire le produit comme pour l’assurance maladie, les Market signi cation Spence Spence a outré qu dans certains marchés, les acheteurs envoient aux vendeurs des signaux sur la qualités d’un produit, pour être fort, un signal doit être plus facilement émis pour un produit de qualités que pour un produit de mauvaise qualité.

Spence s’intéresse au marché du travail.

Un signal est fort si il est produit par un individu a fort potentiel productif que mauvais. Il faut en e et faire preuve de discipline, d’assiduité.

Le signal ne s’arrête pas une fois l’embauche, les employés peuvent continuer de signaler leur productivité. On ne fait des études que pour envoyer des signaux. Il ne faut pas penser que les chefs d’entreprises travaillent plus que les autres. ff ff ffi ff ff ff fi ff ffi Un des moyens Un e et pervers Le médecin est agent et le patient este principal.

Si il y a beaucoup Les critiques qu’adresse Keynes au marché du travail Piqueti lordon Innovation est un processus et un système Donnant lieu a une innovation qui sera rentabilisé.

Ce qui pose la question de la dépense a perte en première période.

Quand va se produire le passage.

En e et, une invention réussi d’une entreprise a des e ets.

Il existe des innovations complémentaires , et d’autres substituantes Il est rare d’innover.

On est jamais porteur de toute les innovations.

On a toujours besoin d’innovations complémentaires.

Or, innover est long, incertain et coûteux et il est donc impossible qu’un même agent, une entreprise génère toutes ces innovations complémentaires.

Ce sont des agences séparés qui porteront ces informations complémentaires.

Les innovations subtituables sont ine caces car on a pas besoin de dépenser a plusieurs endroits pour des choses similaire. Innovation substituable.

Deuxième défaillance de marché.

Par des règles, par des brevets, transformer la nature de ces biens par la connaissance.

L’information est caractérisé par de forts rendements d’échelles.

A la fois du coté de l’o re, et a la fois du cote de la demande.

E ets de réseaux.

Ces trois défaillances de marchés représente un dé pour les états qui veulent susciter de l’innovation sur leurs territoires.

L’innovation est un système Peu d’innovation avant ka première guerre : Le système de la silicone vallée.

Des pays di érents o rent des système di érents.

L’innovation incrémentale est plus présente en Allemagne.

Même au sein des USA, la silicone vallée.

Pendant les années 60 petites par rapport a la route 128 qui béné ciait de.... »

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