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Comment s'organise l'actionnariat salarié en France

Publié le 23/01/2013

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5 – Comment analyser théoriquement la position de l’actionnariat salarié ?

En économie, le salarié actionnaire peut être considéré comme un passager clandestin, en effet, il profite

d’un avantage sans à en avoir les inconvénients.

Le salarié possédant des actions par le biais de l’actionnariat salarié, n’a pas à se tracasser sur les cours

de la bourse, les conséquences sur une chute des cours puisque des moyens de protection existe pour

les salariés.

Pour les managers, les salariés actionnaires ne représentent rien dans le pouvoir de décision de la

société en assemblée générale.

En effet, leur nombre de part étant tellement infime, ils n’ont aucune possibilité de prise de décision.

6 – Comment analysez-vous personnellement un tel phénomène ?

L’actionnariat salarié est de plus en plus présent dans le système économique français.

L’intégration des salariés au capital de l’entreprise pour laquelle ils travaillent leur permettent de se sentir

investi.

« modèle américain) véritable garantie de revenue, ces stocks options garantissent un bénéficiaire, une rémunération certaine et assez importante. 4 – Existe-t-il un lien entre performance des entreprises et actionnariat salarié ? En intégrant les salariés en tant qu’actionnaire, celui-ci va plus se préoccuper des résultats de l’entreprise. En effet, l’actionnariat salarié, permet de se sentir investi et positive l’image de l’entreprise. Cependant, un salarié détenant un nombre infime d’action peut se dire que son action au sein de la société n’aura aucune conséquence sur les performances de celle-ci. Une étude menée par Rutgers a montré que l’actionnariat salarié augmente de 2.4 % par an la productivité de l’entreprise. Il existe donc un vrai lien et les entreprises favorisant l’actionnariat voient leurs chiffres progressés.

Cela permet aux salariés de se sentir mieux et investi dans l’entreprise. Ainsi, les effets pervers sont atténués comme l’absentéisme. 5 – Comment analyser théoriquement la position de l’actionnariat salarié ? En économie, le salarié actionnaire peut être considéré comme un passager clandestin, en effet, il profite d’un avantage sans à en avoir les inconvénients. Le salarié possédant des actions par le biais de l’actionnariat salarié, n’a pas à se tracasser sur les cours de la bourse, les conséquences sur une chute des cours puisque des moyens de protection existe pour les salariés. Pour les managers, les salariés actionnaires ne représentent rien dans le pouvoir de décision de la société en assemblée générale. En effet, leur nombre de part étant tellement infime, ils n’ont aucune possibilité de prise de décision. 6 – Comment analysez -vous personnellement un tel phénomène ? L’actionnariat salarié est de plus en plus présent dans le système économique français. L’intégration des salariés au capital de l’entreprise pour laquelle ils travaillent leur permettent de se sentir investi. Ceci est d’autant plus vrai pour les cadres dirigeants et les grands patrons puisque leur part d’action est beaucoup plus importante. Avec l’arrivée de la crise financière en 2008, nous avons beaucoup entendu parlé des stocks options, c’est un capital distribué aux grands cadres des sociétés cotées en bourse qui leur permet tous les ans d’avoir un revenu supplémentaire au salaire d’une très grande importance. Depuis son apparition en 1959, ce système n’a cessé de prendre de l’ampleur.

Je pense que ce système est un bon moyen de donner aux salariés un revenu supplémentaire surtout que les revenus étant bloqués pendant 5 ans et selon les modalités défini par le législateur les sommes une fois débloqué sont net d’impôt, donc au vu de certain plan d’une grande importance, cela permet aux salariés de ne pas se retrouver l’année suivant le paiement avec une somme d’impôt importante à payer. Toutes les différentes formes prévu donne aux entreprises une obligation de partage aux bénéfices mais a bien y regarder, elles ne sont pas totalement désintéresser à cette forme d’épargne.

En effet, certaines d’entre elle y gagnent en image et donc les retombées sur le chiffre d’affaire sont directes A faire participer le salarié aux résultats lui donne l’envie de faire beaucoup plus car plus les bénéfices sont importants plus le salarié touche en rémunération. Ainsi le salarié peut estimer que plus il travaille et plus il y gagnera. REFERENCES. »

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