L'eau, entre abondance et rareté

« -Noria (grandes roues pour déposer l'eau dans les aqueducs).En Inde et en Indonésie, beaucoup d'eau pour la culture du riz et utilisation des eaux en culture de terrasses.

La technique d'irrigation la plus utilisée est la plusbasique, c'est celle qui consiste à laisser couler l'eau sur les champs, hors elle engendre 60 % de pertes d'eau.

Le maïs est le végétal ayant le plus besoin d'eau (40 %).Un hectare de maïs bien arrosé, même en temps de pluie rapporte 50 quintaux de maïs à la récolte.

Il faut trouver l'eau pour irriguer, on pompe dans les nappesphréatiques.

Pour arroser, on utilise la technique de l'aspersion qui consiste à asperger de l'eau en plein air, ce qui cause 50 % de pertes d'eau.

La technique du goutte-à-goutte consiste à enterrer un tuyau d'eau sous terre, hors son principal inconvénient est son coût (800 euros l'hectare) pour une perte minime de 10 % d'eau.L'Israël n'utilise quasiment que du goutte-à-goutte, la technique la plus chère et est celle qui gaspille la moins.

Cinq pays utilisent 50 % des prélèvements mondiauxpour l'agriculture :-n°1 : les Etats-Unis (société de gaspillage) 467 kilomètres cubes par an ;-n°2 : la Chine ;-n°3 : l'Inde ;-n°4 : la Russie ;-n°5 : le Pakistan.La France consomme 40 kilomètres cubes d'eau par an. D- Capter les eaux.1/Mobiliser les eaux :La captation dépend de la taille des bassins fluviaux : Amazone, Nil, Mississippi.

Les nappes phréatiques ne se renouvelle pas tout le temps.

On utilise également lesfleuves et des lacs gelés tels que le lac Baïkal en Russie qui représente à lui seul 25 % de l'alimentation en eau terrestre.

Il y est également des poches d'eau sous terreaux Etats-Unis, sous le Sahara, au Pakistan, etc.

Ces poches constituées d'une eau ayant plusieurs milliers d'années et étant très propre sont fermées.2/Enjeux et moyens technologiques : les barrages.Construction du barrage des trois gorges en Chine pour ne plus dépendre des autres pays : signe de puissance de la part de la Chine qui est un état communiste.

Lebarrage existait avant notre temps, avant J-C et il produit aujourd'hui de l'électricité.

Ceux qui ont le plus de barrages sont : le Canada, le Brésil, la Chine et les Etats-Unis.3/Dessaler : une technique coûteuse.L'Arabie Saoudite et le premier producteur de pétrole au monde.

À Ryad, la capitale, 90 % de l'eau est de l'eau de mer.

En plein désert, ils consomment deux fois plusd'eau qu'un français.

Beaucoup de verdure car signe de puissance. E- Les conséquences.1/ Les sols.L'irrigation abîme les sols.

La salinisation touche 20 % des terres irriguées dans le monde entier.

Les vapeurs sèment des sels minéraux sur le sol, ce qui apporte unemauvaise fertilisation car pas assez bien fait et trop irriguées.

1/3 des sols de la Beauce ont trop de nitrates.2/ exemple : la mer d'Aral.La mer est alimentée par des fleuves.

Culture du coton donc besoin de beaucoup d'eau.

Les ressources fluviales sont utilisées par des barrages.

Le débit de la merd'Aral en 1960 était bien plus conséquent qu'aujourd'hui.

Aujourd'hui, la mère s'est asséchée brutalement et elle est polluée.3/ Les effluents agricoles.En 1998, 3 % des fleuves français n'étaient pas pollués.

Eutrophisation provoquée par l'azote (c'est le manque d'oxygène dans un milieu).

53 % des rivièreseuropéennes subissent ce phénomène, ainsi que 48 % pour les États-Unis.. »