Uttar Pradesh

« défaut, avec une presse à main .

L'utilisation de la carte constitue un gain de temps pour le pharmacien et un moyen d'éviter les erreurs.

A la fin du premier semestre 1994, environ 3,5 millions de personnes, titulaires ou ayants droit d' une assurance maladie complémentaire, bénéficiaient de la carte Santé-pharma.

Soixante­ dix-huit départements avaient adopté ce système .

Les dix-huit départements restants n'étaient pas encore ouverts à cette procédure, le plus souvent parce qu'il n 'existait pas de conven­ tion avec les régimes obli­ gatoires .

Quelque 17 000 officines, soit 80 % des pharmacies, sont concernées par ce système .

Avec l'aide du CETIP (Centre d'exploita­ tion du titre interbancaire de paiement), une formule de règlement centralisé des factures pharmaceutiques LA LOI ET VOUS a été mise en place pour le compte de l'ensemble des assureurs maladie complémentaire .

Ce système fait appel à des techniques de lecture optique et de télétrans­ mission qui simplifient les tâches administratives des pharmaciens et des assu­ reurs, au bénéfice des usagers.

Chaque mois, un million de règlements s'effectuent grâce à ce procédé.

Cent quatre-vingts organismes environ sont habilités à émettre des cartes Santé­ pharma.

Ils' agit d'entreprises d'assurances régies par le Code des assurances, de caisses d'assurances mutuelles agricoles, d'institutions de prévoyance, de caisses mutualistes, de sociétés de courtage et d'associations de prévoyance.

A la fm du premier semestre 1994,lesdix-huit départements suivants n 'étaient pas encore ouverts à cene procédure : Alpes-de- Haute­ Provence, Hautes-Alpes , Ardèche, Haute-Corse et Corse-du-Sud, Landes , Lozère, Moselle, Nord, Pas-de-Calais, Pyrenées-Atlantiques,Pyré­ nées-Orientales, Bas-Rhin, Haut-Rhin, Rhône, Haute -Savoie, Tarn-et-Garonne, Vaucluse .. »