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travail et bonheur

Publié le 05/01/2022

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travail
Philosophie 1 ère partie : le travail nous fait perdre notre liberté ! En effet, lorsqu'on considère les formes modernes de travail, c'est-à-dire le travail productif, parce qu'il est organisé par la division du travail, on doutera des vertus libératrices du travail. Le travail consiste essentiellement à s'affranchir de la nature et de sa fatalité, puis perd sa finalité originelle : il vise à satisfaire nos besoins ; sa finalité devient la production elle-même. Il fallait appeler les gens à se développer, cela coupait tous ses efforts et le rapport avec le résultat final de l'œuvre. Puisque le travail n'est plus pour nous un moyen de se débarrasser de la nature, mais l'inéluctabilité de notre retour à la nature, on peut dire qu'il nous fait perdre la liberté que nous avons acquise dans le travail manuel. Donc, si le travail nous fait perdre notre liberté, c'est qu'il s'aliène du libérateur : même s'il nous libère, il devient un outil de notre aliénation dans le cadre du travail productif. Le « vrai travail » décrit par Marx est loin de nous humaniser, mais de nous animaliser. Or, le moyen de survie dans lequel le travail devient un moyen de priver une personne de soi : privé de la relation avec le produit de son travail, l'ouvrier est donc aliéné parce qu'il a trahi son travail (il a produit un salaire pour une autre personne) et a été incapable de se ré-identifier avec les résultats de son travail. Alors on peut dire que si le travail nous fait perdre notre liberté, c'est parce qu'il devient le degré auquel les gens deviennent étranges à leurs propres yeux et se perdent. 2 ème partie : Le bonheur au travail Ce qui rend heureux au travail c’est d’être apprécié à sa juste valeur.C’est un endroit où vos compétences, vos connaissances, votre talent, votre expertise et votre personnalité seront des atouts qui seront considérés et valorisés régulièrement. La notion de sens au travail est un incontournable. Si ce que nous réalisons nous donne le sentiment d’être inutiles, de n’avoir aucune valeur et sert à «je ne sais quoi», c’est l’évidence même que nous serons malheureux. Pour moi, il faut osé donner une personnalité, une couleur à notre organisation. Osez une culture de «folie contrôlée» qui créerait cette effervescence tant recherchée dans les milieux de travail. Conclusion : En dernière analyse, on peut dire que si le travail nous fait perdre notre liberté, alors il fait partie de l'unique nécessité de la vie biologique. Étant rivé quand il le faut, le travail nous empêche d'accéder à la liberté car il constitue un obstacle à la réalisation de l'homme, que l'humanité de l'homme se définisse par son talent politique ou par sa créativité. En effet, si les ouvriers ou les esclaves modernes sont persécutés, on peut dire qu'ils ont été aliénés parce qu'ils ont abandonné leur humanité. Si le travail conduit à la perte de la liberté, alors à la fin les gens se perdent dans le travail.

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« Ce qui rend heureux au travail c'est d'être apprécié à sa juste valeur.C'est un endroit où vos compétences, vos connaissances, votre talent, votre expertise et votre personnalité seront des atouts qui seront considérés et valorisés régulièrement.

La notion de sens au travail est un incontournable.

Si ce que nous réalisons nous donne le sentiment d'être inutiles, de n'avoir aucune valeur et sert à «je ne sais quoi», c'est l'évidence même que nous serons malheureux. Pour moi, il faut osé donner une personnalité, une couleur à notre organisation.

Osez une culture de «folie contrôlée» qui créerait cette effervescence tant recherchée dans les milieux de travail.   Conclusion :   En dernière analyse, on peut dire que si le travail nous fait perdre notre liberté, alors il fait partie de l'unique nécessité de la vie biologique.

Étant rivé quand il le faut, le travail nous empêche d'accéder à la liberté car il constitue un obstacle à la réalisation de l'homme, que l'humanité de l'homme se définisse par son talent politique ou par sa créativité. En effet, si les ouvriers ou les esclaves modernes sont persécutés, on peut dire qu'ils ont été aliénés parce qu'ils ont abandonné leur humanité.

Si le travail conduit à la perte de la liberté, alors à la fin les gens se perdent dans le travail.. »

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