«Titre», Comme vous refusez de discuter avec moi, directement ou au téléphone, je me permets de vous écrire.
Publié le 15/02/2013
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«Titre«, Comme vous refusez de discuter avec moi, directement ou au téléphone, je me permets de vous écrire. Je sais bien que la rénovation d'un appartement exige beaucoup de travail et de temps et, pendant huit jours, je me suis efforcée de supporter le bruit. Désormais, ce n'est plus possible : chaque matin vers six heures, je suis réveillée par votre perceuse. Vous donnez des coups de marteau jusque tard dans la nuit, de sorte que je ne peux pas dormir plus de cinq heures, même le dimanche. Je vous demande expressément de ne pas effectuer de travaux en dehors des heures prévues dans le règlement de l'immeuble, auquel tous les locataires se conforment. J'ai essayé, jusqu'à présent, de régler ce différend à l'amiable ; cette fois, j'ai écrit au syndic en lui demandant de bien vouloir prendre les mesures nécessaires pour un retour au calme. Veuillez agréer, «Titre«, l'expression de mes salutations distinguées. Pierre Duval
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