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texte de Thomas More

Publié le 29/01/2014

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Texte de Thomas More Intro : Thomas More a créé le nom utopie qui signifie ville de nulle-part. L'île d'Utopia est un lieu coupé du monde, pour bien marquer qu'un tel univers, une telle sociétée, ne pouvait exister avec le monde telle qu'il est. Thomas More se sert de l'utopie, non pas pour rever d'un projet d'une sociétée réelle, mais pour mieux critiquer la sociétée de sont temps qui était une sociétée féodal. Une sociétée féodal : hiérarchisé celon 3 ordre : Oratoires (ceux qui prient = clergé) Bellatores (guerriers = nobles ) Labolatores (travail = peuple ) Pour dénoncer les abuts aristrocates, ils créaient un contre modèle : l'utopie. Ici, nous sommes devant une argumentation indirecte qui s'appuie sur une fiction pour faire passer ses idées. Nous verrons tout d'abord, les caractéristique de cette sociétée idéale. Une société idéale Le temps dominant est le présent d'habitude. L'organisation du temps livre sont les études ( activitées intemectuels ) ou bien consacrer à son travail. Les utopiens ont le désir de se perfectionner et de s'améliorer. On interdit les jeux de hasard et d'argent. On met en avant le libre arbitre. On note qu'aux 20ème siècles, l'Homme fait naturellement le bien et que c'est la sociétée qui le rend mauvais. Critique sur la sociétée réelle On a un changement dans la stratégie argumentative. Jusqu'ici, Thomas More fait une description objective de la vie des utopiens et soudain, prend le contact, la relation, avec le lecteur On trouve, à l'étude de l'énonciation, une anaphore avec « Ajoutez « apparut 3 fois. Elle construit un raisonnement dont on propose une adition au lecteur pour aboutir à une conséquence, une conclusion, «  et vous trouverez «Présentation : Raisonnement en syllogisme ( raisonnement déductif ) avec une proposition majeure, proposition mineur « or « et une conclusion déductif « donc «.Thomas More met en valeur le travail en presentant ses argumentsainsi : si j'ajoutetous ceux qui trvaille pas, les uns aux autres, je constate que ceux qui travail pour l'ensemble sont très peu nombreux et doit, par conséquent, travailler longtemps. Donc, si chacun travaille que 6h, la pénurie sera facilement évitée.L'idée sous-entendu ( sous-jacente) est que le travaille procure la richesse. Ce raisonnement peux se résumer ainsi : proposition majeure -> le travail procure la richesse or chez les «  autres peuples « une importante fraction de la population reste inactive donc la richesse produite l'ai par un petit nombre. L'expression «  chez un autre peuple « est un trai d'humourde Thomas More puisqu'il invite son lecteur a regarder chez les autres alors qu'il va d'écrire et critiquer la situation de la sociétée apparait comme l'opposé de l'utopia. En Utopie, ona des pieds d'égalités entre l'homme et la femme et ont un traitement égal, or, dans le texte, soit les hommes travaillent et pas les femmes et inversements. Dans l'utopie, tout le monde participe à la vie commune, cependant, mes clergés et les nobles ( les privilégiés ) mais aussi ceux qui sont à leur services ne travaillent pas et détourne l'argent de ce qui travaille. Thomas More ne vise pas des personnes en particuliers, mais s'attaque à un système dans lequel de nombreux d'individus oisifs vient au dépend des autres. «  Et vous trouverez, bien moins nombreux, quz vous l'avez cru, ce dont le travail procure ce dont les hommes ont besoin. «A la fin de son texte, Thomas More nous rappelle un fondemment humanisme qui rejoins l'épicurisme : il faut vivre selon ces besoins. Cette idée suppose que les hommes se contente de satisfaire leur besoin en excluant tout ceux qui est luxe et superflue. A nouveau, nous voyons le pré-supposer d'une bonne nature humaine capable de se limiter Conclusion : Dans son texte Utopie de 1516, Thomas More parle d'une pile ou tout est planifiée et dont tout le monde est sur le même pied d'égalitée. En réalitée, dans la sociétée réelle, l'auteur montre qu'il y a une inégalitée entre les hommes et els femmes mais aussi sur le tempsd e travail.Tout comme Rabelais, il pense que la nature humaine est naturellment bonne

« richesse or chez les « autres peuples » une importante fraction de la population reste inactive donc la richesse produite l’ai par un petit nombre.

L’expression « chez un autre peuple » est un trai d’humourde Thomas More puisqu’il invite son lecteur a regarder chez les autres alors qu’il va d’écrire et critiquer la situation de la sociétée apparait comme l’opposé de l’utopia.

En Utopie, ona des pieds d’égalités entre l’homme et la femme et ont un traitement égal, or, dans le texte, soit les hommes travaillent et pas les femmes et inversements.

Dans l’utopie, tout le monde participe à la vie commune, cependant, mes clergés et les nobles ( les privilégiés ) mais aussi ceux qui sont à leur services ne travaillent pas et détourne l’argent de ce qui travaille.

Thomas More ne vise pas des personnes en particuliers, mais s’attaque à un système dans lequel de nombreux d’individus oisifs vient au dépend des autres.

« Et vous trouverez, bien moins nombreux, quz vous l’avez cru, ce dont le travail procure ce dont les hommes ont b esoin.

» A la fin de son texte, Thomas More nous rappelle un fondemment humanisme qui rejoins l’épicurisme : il faut vivre selon ces besoins.

Cette idée suppose que les hommes se contente de satisfaire leur besoin en excluant tout ceux qui est luxe et supe rflue.

A nouveau, nous voyons le pré -supposer d’une bonne nature humaine capable de se limiter Conclusion : Dans son texte Utopie de 1516, Thomas More parle d’une pile ou tout est planifiée et dont tout le monde est sur le même pied d’égalitée.

En réal itée, dans la sociétée réelle, l’auteur montre qu’il y a une inégalitée entre les hommes et els femmes mais aussi sur le tempsd e travail.

Tout comme Rabelais, il pense que la nature humaine est naturellment bonne. »

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