Devoir de Philosophie

Territoire de la Capitale australienne

Publié le 22/02/2012

Extrait du document

1 PRÉSENTATION Territoire de la Capitale australienne, en anglais Australian Capital Territory (ACT), district fédéral du sud-est de l’Australie, abritant la capitale du pays, Canberra. Situé à 320 km au sud-ouest de Sydney, le district est enclavé dans l’État de Nouvelle-Galles-du-Sud, à l’exception de Jervis Bay, port de la côte orientale de l’Australie, séparé puis rattaché au Territoire de la Capitale australienne au début du XXe siècle. Le district est gouverné par une assemblée législative élue au suffrage universel, toutefois l’autorité fédérale peut avoir un droit de veto sur certaines lois. 2 GÉOGRAPHIE Entouré par les Alpes australiennes, le Territoire de la Capitale australienne est une région de plaines ondulantes et de forêts irriguées par la Murrumbidgee River et ses affluents. Hors de Canberra, les grands espaces naturels sont protégés, notamment les 105 000 ha du parc national de Namadgi ; les activités agricoles et les pâturages sont donc concentrés sur de petites surfaces, contrairement au reste du pays. 3 HISTOIRE La région qui constitue aujourd’hui le Territoire de la Capitale australienne a été découverte par les Européens en 1820 ; à l’instar des autres régions du pays, celle-ci était alors déjà habitée par les Aborigènes. Les premières colonies — à vocation agricole pour la plupart — ont été fondées à partir de 1824. Lorsque l’ensemble des colonies du pays se sont regroupées pour former une fédération en 1901, Canberra en est devenue la capitale, profitant d’une rivalité entre Sydney et Melbourne. Le Territoire de la Capitale australienne a été officiellement créé le 1er janvier 1911 ; préférant l’autorité du gouvernement fédéral, ses habitants ont toujours rejeté les propositions d’un gouvernement autonome. Un tel gouvernement a pourtant été mis en place le 11 mai 1989. Superficie : 2 400 km2 ; population (2004) : 324 021 habitants.

« économique et social en corltrôlant des magasins , cantines et groupes d'approvisionnement ainsi que de nombreuses activités de culture et de loisir .

Ne pas être syndiqué équivaut à se priver de beaucoup d'avantages.

4 Le Xl" congrès, qui se tient en 1954 après la mort de Staline , décide d'élargir le rôle des syndicats.

Au niveau des entreprises, ils seront appelés à discuter les contrats, à émettre des suggestions et: surtout, à ratifier conven· tlons, normes de rendement et plans de production.

Ils forment aussi des «tribunaux de camarades ., pour juger les affaires internes à l'entreprise et participent à la formation professionnelle.

Au niveau national, la coopé­ ration des syndicats avec les agences d'Ëtat porte sur l 'établissement des plans généraux de production et de l 'échelle des rémunérations.

Le conseil central des synd i­ cats conserve son droit à l'initiative sur les problèmes du travail et se subst itue à I' Ëtat pour certaines fonctions (assurances sociales, inspection du travail, etc.).

5 Les effectifs , qui sont allés croissant , dépassent le chiffre de 100 millions, selon les dirigeants .

90% des tra­ vailleurs et étudiants sont syndiqués.

Mais il ne faut pas compter dans ce nombre les membres des fermes collec­ tives, à l' intention desquels il n'existe pas de syndicat.

S Aujourd 'hui dirigées par Alexel Shlbayev, les 25 bran­ ches syndicales occupant 25 secteurs différents de l'éco­ nomie nationale sont rassemblées au sein du Conseil central des Syndicats soviétiques, dont les responsables sont tous haut placés dans la hiérarchie du Parti.

Dans les différentes républiques, régions ou villes, le travail syndical est assumé par des conseils régionaux.

Au début de 1978 , un ouvrier ukrainien, Klebanov, a été interné dans un asile psychiatrique pour avoir créé un syndicat dissident.. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles