Sujet : l'homme peut-il perdre son humanité ?
Publié le 06/12/2010
Extrait du document
Introduction :
Nous entendons souvent des choses tel que « actes inhumains « ou « l’humanité est le propre de l’homme « c’est deux expressions se contredise, les hommes peuvent être et commettre des actes inhumains d’un côté ou nous sommes les seuls hommes et le resterons de l’autre, mais on peut voir qu’ils traitent d’un même sujet : Es ce que l’humanité est définitivement acquise chez l’homme ?
I. Thèse
A. L’espèce humaine
L’humanité est le propre de l’homme. Nous somme les seuls humains, nous somme les seuls être à s’être créé des cultures, des traditions, des religions et de les perpétuer au fils des générations. La différence entre les animaux et nous est que nous nous perfectionnons. L’être humain a une conscience, c’est certainement l’essence de nôtre humanité, elle nous permet de nous prendre nous-mêmes pour objet de pensée, de réfléchir sur nos choix, nos actes, et elle nous permet de penser. Ce qui fait nôtre humanité c’est aussi que nous savons que nous allons mourir et nous devons vivre tout en le sachant. L'animal est, quant à lui, un être vivant où son existence est guidée par son instinct et ne sait pas qu'il existe, ni même qu'il vat mourir. Les animaux de la même espèce agissent de manière identique : ils ont généralement les mêmes besoins nutritionnels, se reproduisent aux mêmes périodes. Nous somme donc la seul espèce a agir avec une culture ce qui fait de nous des humains.
B. Les actes inhumain font nôtre humanité
Ont parle souvent d’actes inhumains mais ils n’existent que par contradiction à l’humanité, qui réside dans tout les hommes. Ces actes sont toujours justifier par des raisons humaines, amour, principes religieux, peur… Ces actes peuvent être inhumain seulement dans certaine culture alors qu’être des traditions dans d’autre ; comme l’excision qui est choquante dans les pays d’Europe mais traditionnel dans les pays d’Afrique. Et c’est par ce que nous somme humains que nous commettons des erreurs des mauvais choix et donc parfois des actes inhumains. Les actes inhumains sont comme ont peut le voir souvent fait en groupe, alors que les actes héroïques seul ; ils se font, comme avec les camps de concentrations, avec une grande organisation. Ont peut aussi penser que les personne enfermé dans les camps avait perdu leurs culture mais s’en était créé une nouvelle car l’humanité est la culture et nous ne pouvons vivre sans, sans ces règles qui nous régissent naturellement.
L’humanité c’est peut être pour certain d’aller à l’encontre de notre culture .Vouloir être inhumain est aussi une forme de rébellions, de nous humain qui n’avons pas le choix de l’être en faisant subir des choses inhumaine et en essayant de rendre des gens inhumains n’es ce pas une manière de rejeter l’humanité sans réel résultat car nous somme des humains, nous avons évolué comme çà.
C. Evolution de l’homme à l’humain
Nous avons évolué par rapport aux animaux de l’australopithèque à l’homme de Cro-Magnon en passant par l’homo erectus et l’homo sapiens ; et plus le temps à passé plus la nature nous a enlevé des atouts plus l’humanisation nous a comblé ces lacunes, la diminution de notre pilosité a été comblé par l’habillage qui aujourd’hui fait entièrement partie de notre quotidiens même si il diffère avec les cultures. Au fils des temps nous nous somment créé des Dieux, des civilisations, des religions… nous avons une émergence progressive de la moral, nous avons développé les instincts sociaux comme le dit Patrick Tort dans « introduction à l’anthropologie darwinienne « autant de chose qui poursuive notre évolution vers des être par nature devenu humain. Cette évolution est appelé par S. Weil la « modification « ou la « perfectibilité « par Rousseau. Nous étions les plus démunis des animaux alors pour survivre nous somme devenu des humains, comme l’explique brièvement Jean Itard dans « Mémoire sur Victor de l’Aveyron «.
Cette évolution nous à donc amené à être des humains, mais il est vrai que tout le monde n’évolue pas pareil certain même régresse dans certaine circonstance ou non put devenir humain mais sont des hommes sans humanité.
II. Antithèse
A. La perte d’humanité
Tout d’abord pour perdre son humanité cela se fait en trois étapes : la perte de l’identité (traité comme n’importe qui d’autre, plus d’identité à part entière), perte de ces principes pour survivre (prendre de la nourriture au plus faible…) et une impuissance physique (le corps ne nous soutiens plus assez). Quand l’humanisation disparait c’est l’hominisation qui réapparait plus forte puis jusqu'à l’animalisation, on peut le voir dans les camps d’Auschwitz ou les prisonniers devaient survivre et ils ont dût pour sa éliminer tout leurs principes ; surmonté la douleur, la faim, la fatigue…
B. L’absence d’humanité
Des personne non jamais eu d’humanité, ils n’ont pas été élevé, ont toujours vécu seul, ont ne leur à pas transmit de culture comme l’enfant sauvage. Car si la nature est héréditaire biologiquement la culture s’apprend, se transmet. L’absence d’humanité fait de nous de simple homme, comme le dit Jean Itard dans « Mémoire sur Victor de l’Aveyron « sans la civilisation nous somme l’un des plus faibles et des moins intelligents des animaux. Un homme jamais humanisé a perdu l’humanité de ces géniteurs et ne pourras pas la transmettre, mais étant dans notre nature de se créé une culture, si il est en groupe une nouvelle culture naîtra et l’humanisation se transmettra.
C. Qu’es ce qu’un homme inhumain ?
Plus de culture, nous n’avons pas de repère, comportement animal, ne plus pensé cas survivre ; nous redevenons nature, un état de rudesse, de violence, d’injustice comme le dit Friedrich Hegel dans « propédeutique philosophique «, nous devenons tout ce que l’humanisation combat. L’instinct naturel revient, comme l’élimination des moins aptes, des faibles comme le dit Patrick Tort dans « introduction à l’anthropologie darwinienne « en contradiction avec l’altruisme, que nous a apporté l’humanisation.
Un homme inhumain est un homme qui ne laisseras humaniser, qui ne demande qu’apprendre une culture comme on le voie avec l’enfant sauvage que Jean Itard éduqueras et réussiras à faire parler. Apprendre est dans nôtre nature un homme involontairement inhumain voudras sans même le savoir être humanisé.
III. Synthèse
A. Hominisation / humanisation
Pour répondre à la question « es ce que l’homme peut perdre son humanité ? « il faut prendre en compte le principe d’humanisation bien sur mais aussi d’hominisation, car avant d’être des humains nous n’étions que des hommes, donc inhumain, mais ces nôtre nature d’homme qui nous fait devenir naturellement des humains. Alors si un homme redevient inhumain c’est qu’il régresse dans l’évolution, et ce n’est pas naturel. Oui un homme peut perdre son humanité dans certaines circonstances, comme nous le prouve les camps de concentration.
L’homme est donc synonyme de nature qui est un état de rudesse, de violence, d’injustice alors que l’humain est synonyme de culture qui elle contredit la violence, l’injustice… Si nature et culture son contradictoire alors homme et humanité le son aussi, mais nous somme aussi bien des hommes que des humains, alors nous nous contredisons. L’homme étant notre nature nous ne pouvons ne pas l’être alors que l’humanisation c’est rajouté au fils du temps ; même si aujourd’hui elle fait partie à part entière de nous elle peut, toujours dans certaines circonstances, se perdre.
B. Différentes cultures
Pour comprendre la dites inhumanisation il faut tout de même prendre en compte le caractère sacrée qu’elle a pour nous. Ce qui fait que nous sommes humains c’est notre culture. La culture c’est l’ensemble des éléments qui définissent l’identité d’un groupe humain, elle comprend : la langue, les traditions, les arts, la religion, un code moral… autant de chose qui change en fonction des civilisations. Pour certaine culture un acte est inhumain alors qu’il est traditionnel pour d’autre. Une certaine vie pour une culture est considéré comme inhumaine pour d’autres. Les esclaves noirs à une époque était considéré par leurs maître blanc non pas comme des humains mais comme des animaux et d’ailleurs ils étaient traités comme tels, alors qu’ils étaient tous aussi humains les un que les autres et sa ne choquait pas.
Donc ici on démontre que les hommes peuvent être considérer comme inhumains alors qu’ils ont l’humanité de leur culture en eux, donc les différentes cultures ne font pas de certains hommes des inhumain comme nous l’explique Jean Itard dans « Mémoire sur Victor de l’Aveyron «.
C. Conclusion
Oui un homme peut donc perdre son humanité mais se n’est pas toujours ceux que l’ont crois. Un acte inhumain n’est pas forcément fait par un homme inhumain mais par un homme en pleine rébellion qui refuse sa culture, il est en contradiction avec l’humanité qui réside en lui. On au contraire des personne qui on besoin d’attachement fort avec leur culture et qui sont près à tout pour la défendre, comme Al qaïda qui on tué énormément d’homme pour des raisons religieuse ou encore des hommes qui cherche des excuses humaines pour expliquer des actes inhumains avec des raisons tel que l’amour, les principes religieux, la peur…
Il faut aussi voir que malgré nous, certain d’entre nous avons toujours besoin de se savoir humain, avec des codes et des règles de vie ; ont peut penser que les personne ayant perdu leurs culture initial malgré eux, sens sois créé une nouvelle car l’humanité est la culture et nous ne pouvons vivre sans. Car même si la culture est différente de la nature elle est en nous depuis des siècles et a évolué jusqu'à ce que nous ne soyons non plus que des hommes mais aussi des humains.
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