(SA). En 1832, Balzac écrit colonel Chabert. Balzac est né

(SA). En 1832, Balzac écrit colonel Chabert. Balzac est né en 1799 à Tours, et décède en 1850 à l’âge de 51 ans, à Paris. Au tout départ, ses écrits n’étaient pas populaires pour ne pas dire un échec. Son histoire le plus connu, le colonel Chabert raconte l’histoire d’un homme haut gradé pensé mort à la bataille d’Eylau lors de l’empire de Napoléon et qui revient quelques années après alors que le régime à changer, c’est désormais la Restauration. Il eut un énorme choc entre son passé héroïque et son présent triste sans un sou où il apprendra que sa femme s’est remariée et détient toute sa fortune. Il se sent impuissant devant les difficultés de sa nouvelle vie et se sent exclu de ce régime nouveau. La scène étudiée se déroule lorsque Derville et le colonel Chabert parlent de l’affaire avec la comtesse Ferraud et de la solution proposée par Derville. La société bourgeoise de ce siècle est un milieu où il faut avoir pour être. (SP) En lisant cet extrait, on remarque que le personnage Chabert présente les caractérise du héros romantique, et ce, à partir de plusieurs aspects distincts. SD En effet, Chabert est montré comme un être qui rêve d’évasion, il rêve d’un monde d’héroïsme et de gloire, il rêve d’un ailleurs nouveaux de plus, il est un aussi malheureux, il souffre et désarmé devant ses difficultés. (IP1) Premièrement, dans l’extrait à l’étude, Chabert est présenté comme un homme qui rêve d’un monde d’héroïsme et de gloire et qui rêve d’un ailleurs nouveau, ce qui est le propre même d’un héros romantique. (EX1) De prime abord, ces caractérisés d’héros romantique est illustrés lorsque durant sa conversation avec Derville, le personnage dit (C1) : « J’irai, s’écria-t-il, au pied de la colonne de la place Vendôme, je crierai là : « Je suis le colonel Chabert qui a enfoncé le grand carré des Russes à Eylau ! » Le bronze, lui ! me reconnaîtra. (L.4-5). (E1) Dans cet extrait, les point d’exclamations servent de moyen d’expression du sentiment d’excitation qu’il sentit en le disant en espérant qu’au moment venue quelqu’un voudrait bien le croire. Ici, le fait de crier son nom au pied de la colonne de la place Vendôme montre qu’il rêve d’avoir à nouveau sa gloire son moment d’héroïque perdue. Aussi, le fait de ce nommé lui-même ‘’ le colonel Chabert qui a enfoncé le grand carré des russes a Eylau’’ et de même faire part du bronze, le monument qui a été créée avec le bonze fondu lors d’une de ces bailles, montre à quel point il a soif d’être reconnu, d’être glorifié et comment il rêve d’évader ce qu’il est devenu, triste, pauvre et sans intérêt. (IS2) Par ailleurs, Chabert rêve d’un ailleurs nouveau, (EX2) il ne se voyait plaindre il demande alors à Deville (C2): « N’y aurait-il donc pas pour moi quelques chances favorables au ministère de la guerre ? » (L.8). (E2) Le point d’interrogation ici présent exprime certes l’intensité de son sentiment, mais il camouffle enfaite une phrase déclarative, une fausse question pour faire comprendre son supplice. Il cherchait donc tous les moyens possibles de fuir son cas, il était prêt à tout faire mais, il ne voulait rien savoir du fait de vivre en plaidant. Il veut s’échapper de ce quotidien trop triste et insupportable pour lui. (PC1) En somme tout au long de l’extrait, l’accent mis sur le caractère montre que Chabert est un héros romantique de par pas ses rêves d’évasions, d’un ailleurs nouveau et d’un monde d’héroïsme et de gloire. (IP2) Deuxièmement, dans l’extrait étudié Chabert est présenté comme un homme qui souffre et qui est désarmé devant ses difficultés.