Ronald Desprès

Ronald Desprès est un poète, musicien et traducteur acadien. Il est ne en 1935 au Nouveau-Brunswick mais il vit maintenant au Québec. Il a publié beaucoup des poèmes et un roman qui s’appel Le Scalpel Ininterrompu. Son recueil Silences à nourrir de sang a gagné de deuxième Pris de Littérature de la province de Québec.

Le poème « Les Mains » est en vers libre parce que ca ne suivit pas de rime, il n’y a pas la même nombre des pieds dans chaque vers, et il n’y a pas un ordre que les strophe suivit parce que quel qu’unes sont 4 vers, 3 vers, et 2 vers. Chaque strophe est comme un longue phrase qu’est divisée en vers parce que il y a seulement un point de ponctuation à la fin de chaque strophe. Chaque strophe peut être lu comme une phrase complète. Le champ lexical du poème est les hommes mais ils sont représenté par les mains et aussi ce qu’ils représentent qu’est le rêve du poète pour l’avenir comme l’unité. C’est intéressant a noté que tous les verbes sont au présent pas au futur. Il y a le champ sémantique dans la neuvième strophe parce que le poète utilise le même mot, les mains, plusieurs fois dans la strophe.  Le point fonctionnelle du champ sémantique dans ce poème est l’accentuation de l’idée des mains et ce qu’ils représentent.  Au lieu de utiliser le mot « mains » partout dans le poème, le poète répète le mot « celles » quand il veut fait référence aux mains mais aussi aux hommes.

            La première strophe compare les mains à des palmes qu’est comme la main d’un poison ou d’un baleine et ils sont plats et ouverts alors les mains ne sont pas fermées mais le contraire alors tout le monde peut les voir. Le poète mentionne aussi les mains qui se dérobent au fond des poches qui veulent dire encore les mains qui sont visibles et qui ne sont pas cachées dans les poches. Les jointures du poing refermé peuvent faire référence à la violence ou la frustration parce que le poing ne représente pas la joie mais plutôt quelque chose méchant. Il y a aussi une autre façon de interpréter l’image des jointures du poing refermé comme quelqu’un qui est religieuse et qui prie avec leurs mains fermées. Dans la deuxième strophe il y a une accumulation parce que refléter et miroir sont les synonymes, ils veulent dire la même chose. Le poète compare les gens à l'eau comme un moyen de représenter les gens qui sont bons et qui partager leur bonheur avec les autres. La mention du soleil pourrait représenter des gens religieux qui tentent de faire du bien aux yeux de Dieu. Le troisième strophe il y a le mentionne des doigts de métal qui pourrait signifier que les hommes travaillent de leurs mains comme les mécaniques et les autres métiers. Le métal n'est pas cher, et il ne donne pas l'impression que les hommes ont beaucoup d'argent. Il y a le mentionne de rouille des cassettes et la rouille du tombeau et ce qui pourrait signifier que les hommes ont vécu pauvre et mourut pauvre.

            La quatrième strophe décrit les gens qui sont connus comme des héros ou qui sont fameuse pour leurs contributions au monde. Ils ont des monuments parce qu’ils sont importants est c’est un honneur. Le vers « sur un socle plus large que le monde et plus chaud que le cœur » peut signifie que les hommes sont très bien traités et sont souvent traités et considérés comme meilleurs que les autres. La cinquième strophe décrit les gens qui sont à l'horizon et ça pourrait signifier qu'ils sont entre la vie et la mort. Sont piégés dans leur propre corps comme des prisonniers et ne savent pas comment sortir. La sixième strophe est triste. Le mot « blafards » veut dire pas de couleurs alors les gens qui sont morts n’ont pas de la couleur sur leur peau. Ils disent au revoir à ceux qui ont disparu, et quand les gens meurent ils prennent leurs souvenirs avec eux et ceux qui sont encore vivant oublier lentement. La septième strophe est un résumé des gens que le poète a décrite au début du poème. Il ajoute les femmes qui travaillent dur avec leurs mains pour prendre soin de leurs enfants et la maison. Elles travaillent toujours avec leurs mains pour nettoyer et cuisiner.  La huitième strophe faite référence à quelqu'un qui a été abandonné. Ils pourraient avoir été abandonnés par une personne qu'ils aiment et ils expriment leur perte de l'amour ou tout simplement par quelqu'un qui était près d'eux. La strophe neuvième décrit les différentes situations sociales et économiques que nous voyons dans les différentes parties du monde et même dans notre propre pays. La dixième strophe mentionne les mains du poète, Ronald Després, et je pense que cette strophe signifie qu'il utilise ses mains pour rêver, car avec ses mains, il écrit et fait des poèmes. Il peut utiliser ses mains pour exprimer ses émotions et ses sentiments.

La signifiance du poème est que les mains représentent l’homme. L’idée du poème est vraiment claire dans la dernière strophe du poème. Le poète a écrit, « Pour qu’un jour/Toutes les mains/affranchies des leurs mirages de chair/s’envolent comme l’oiseau/dans un parfaite ferveur de paumes enfin unies.  Les mains affranchies des leurs mirages de chair sont les mains sans peau alors ils n’ont pas un couleur de peau pour leur identifie. Les gens ne seraient pas jugés dépendant de leur couleur de peau, comme blanche, noire, brune, et jaune. Les gens seraient libres des illusions et des hypothèses que nous formulons sur les autres basés sur leur couleur de peau. Le poète compare les mains aux oiseaux, car les oiseaux sont libres. Ils ont le plus de liberté car ils peuvent s'envoler. Il compare les mains, mais plutôt les hommes, aux oiseaux qui volent à l'unisson, car ca donne l'image des oiseaux dans le ciel quand ils sont tous ensemble dans la forme d'un « v ». Les oiseaux volent toujours ensemble et le poète veut que les hommes soient plus comme des oiseaux. L’image que la dernière strophe donne est une image vraiment belle. Les images des oiseaux, les mains et l’idée de la liberté me rappellent des mains qui tiennent une colombe blanche et le remettant en liberté. L’image des mains et l’unité sont vraiment fortes. Ça donne une image vraiment simple des mains embrasser autour du monde et le couleur de peau ne fait pas un différence parce que tout le monde est égale.

            Même si Ronald Després est acadien, son poème ne reflète pas une grande partie de son histoire acadienne. Son poème « Les Mains » est un regard critique sur le monde dans lequel nous vivons. Je pense que le poète a choisi de comparer les hommes aux mains parce que les mains sont une partie très importante de notre corps. Les mains sont une partie importante de nos corps parce que ils sont vraiment visibles. Ils sont particulièrement visibles lorsque nous serrons la main. Les mains sont utilisées beaucoup dans la vie quotidienne comme pour conduire, écrire, et cuisiner. Les mains peuvent en dire beaucoup sur une personne et que nous jugeons souvent les gens en fonction de leurs mains. Les gens présument que quelqu'un avec de belles mains manucurées dans  un emploi bien et respectable et fait probablement un bon salaire. Mais quelqu'un avec des mains impures de travailler dans une profession où ils utilisent souvent les mains comme un mécanicien ne serait pas considéré dans la même manière. Je pense qu'il pourrait y avoir plusieurs interprétations de la poésie et les gens pourrait-il l'analysé d'un point de vue plus sociologique. Je pense que le message sera toujours le même et c'est que nous devons devenir plus unis et se concentre pas sur nos différences et de traiter tout le monde comme une famille.