Résumé chapitre 1 "La petite fabrique de l'image"
Publié le 15/04/2013
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Chapitre 1 : La petite fabrique de l'image 1ere partie a)Images et icones : Le terme image englobe toutes les représentations avec analogie comme le dessin d'enfant, la carte géographique, la photo, la peinture. En fait l'usage social englobe sous ce terme toutes les représentations qui offrent un rapport d'analogie avec les modèles du monde visible. Les icônes sont la représentation réelle de quelque chose ou de quelqu'un « objet iconique «. b) image, objet, signe : L'image est un signe visuel objet qui renvoie a un autre objet en le représentant, il faut passer des 3 dimensions du réel aux 2 dimensions du support « réalisme figuratif «. Le rapport plus ou moins parfait de l'image avec son modèle, le « réalisme figuratif «, est profondément ancrés dans nos habitudes. Nous copions le monde visible pour le restituer en peinture, en image, cinéma, ... L'évolution technique nous pousse à croire que pour imiter la réalité, les outils modernes sont plus performant que les anciens nécessitaient habileté technique et manuelle. C) OEil et perception : Notre manière de percevoir et de représenter repose sur les données du contexte de civilisation tout entier ; technique, moeurs, croyances, religieux,... C'est donc une perception physiologique venant de notre activité psychique. Nous percevons ce que nous connaissons du monde, cela est propre à chaque individu et à son histoire. 2eme partie Les codes de ressemblances : Toujours un degré de ressemblance plus ou moins grande avec le réel. Degré de ressemblance très variable. Ce sont ttes des images visuels iconiques mais leur degrés d'iconicités varient avec la réalité. L'icône est en rapport avec ce que nous concevons du monde réel. A) La ligne, la forme . La silhouette : c'est quand le dessin ne conserve que les traits minimums permettant la reconnaissance du sujet. C'est quand la forme du sujet est à une faible mais suffisant degré de ressemblance avec le réel. ( ex p15:poissons). .Le schéma : la schématisation ramène les objets et corps à des formes géométriques élémentaires, et traduit leur rapport dans l'espace en stylisant les figures, isolées de tout contexte réaliste ( ex p 16 : l'homme). .La fct indicative de la ligne : On parle de fct indicative de la ligne lorsqu'elle permet d'identifier et de nommer la «forme « de l'homme ; dans son état le plus général. . Fonction expressive de la ligne : la ligne a une fct expressive lorsque le signe iconique prend en charge des aspects variables accessibles à la perception, position, mouvement,... (ex p 17) Il y a 2 types de valeurs : valeur mimétique et valeur expressive. B) La couleur : La ressemblance avec le réel passe aussi par la couleur perception colorée du monde visible Notre rapport à la couleur est culturels et les couleurs ont une histoire. Elles font partie intégrante du rapport que l'homme entretient avec le monde sensible et spirituel. .La couleur et sa perception - Couleur et lumière sont indissociablement liées, chaque corps apparaît colorés parce qu'il absorbe toutes les couleurs de la lumière blanche et ne réfléchit que celle qui lui corresponde. -Stabilité : La perception d'une couleur n'est pas stable, elle dépend de son environnement coloré. ( 7 types de contrastes : le contraste de la couleur en soi, du clair/obscur, chaud/froid, le contraste des complémentaires, le contraste simultané, le contraste de qualité, de quantité. C'est selon « Johonnes Ilter «. -Spatialité c'est la quantité de chaleur, de clarté et d'obscurité et la quantité des couleurs produisent des effets de profondeurs divers. .L'esthétique et la couleur : La couleur est lié à la forme et au dessin, au XXème siècle les couleurs décrivent l'objet principal de leur problématique, on oublie la forme pour se consacrer a l'observation des effets de la lumière sur les couleurs locales des objets et des modifications qu'elles entrainent. .Valeurs expressive et symbolique de la couleur : Chaque couleur possède une valeur expressivet et une symboliques propre. Ex : rouge ( puissante luminosité) invoque le sang, le feu, la matière en fusion, la vitalité et sert d'emblème a de nombreuses révolutions. Le code couleur qui permet à une marque d'être identifiée d'un seul coup d'oeil, met en jeu toute une réflexion sur l'effet psychologique et symbolique des couleurs. Bleu fraicheur dc produit de nettoyage Vert Ecologie (nature) 3eme partie L'icône et la lettre a) de l'image à la lettre : icône et écriture sont liés historiquement. Les formes les plus anciennes de l'écriture sont pictogrammes et les glyphes. - Les pictogrammes ne sont pas vraiment de l' « écrit « au sen moderne du mot, ils sont du textes : ces derniers ou tableaux donne lieu à la parole et transmettent socialement du sens. - Dans les glyphes aztèques se combinent formes, couleurs, associations graphique, répétition spatial des unités dans l'espace symbolique du support, mise en page des <tableaux> ensemble. L'apparition de l'idéogramme, forme plus abstraite et simplifié, marque le passage à l'écriture phonétique, a l'alphabétisation de l'écrit. Le signe idéographique n'a pas de sens en lui-même, mais par rapport aux autres signes, en s'associant et se combinant. I l n'a plus de fonction d'unité représentative, mais « distinctive «, au sein d'un système : c'est sa place dans l'espace qui lui confère sa valeur grammaticale. Ecriture et icônes sont donc liées dans leur fondation même. b) Le calligramme, image du texte : Le procédé du calligramme à pour but d'évoquer des formes au moyen du texte en utilisant tous les artifices calligraphiques et typographiques pour que l'écriture exprime au sens dans une dimension autre que linguistique. Le texte devient objet, l'objet devient texte. Le calligramme se regarde comme une image et se lit comme un texte. C) les formes visuelles du texte : Tout texte se présente d'abord comme un objet : il a poids, volume, format, matières,... Couverture, quatrième de couverture, jaquette, illustrations, graphisme, typographie constituent des éléments visuels qui conditionnent notre rapport a l'objet texte. Il détermine notre rapport à l'écrit à travers le code culturel de lecture.
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