Devoir de Philosophie

Quelle image le roman de Laclos donne t-il de la condition féminine ?

Publié le 23/09/2010

Extrait du document

 

 Dans Les Liaisons Dangereuses de Laclos, les femmes sont omniprésente. En effet, rassemblées, ce sont-elles qui écrivent le plus de lettre. La condition féminine, est représenté par plusieurs femmes tel que Cécile, Madame de Tourvel ou Madame de Volange. Toutes sont différentes: Cécile est la jeune prude, Tourvel est la jeune femme naïve, et Madame de Volange ainsi que Madame de Rosemonde représentent la sagesse de la femme expérimenté. La gente féminine est mise à mal par les libertins (Valmont et Merteuil) dans le roman. 

Comment, la vision qu’on se fait de la condition féminine est-elle perturbé?

Dans un premier temps nous étudirons la place de la femme dans cette société, par la suite nous verons les différents regard que porte les hommes sur les femmes, et enfin comment la condition féminine est mise à mal dans le roman de Laclos.

 

   La présence importante de la femme dans le roman, nous pousse a étudier sa place dans la société, et ainsi comprendre les différents types de personnages qu’elles représentent.

Tout d’abord on découvre lors de la lettre 1, que Cécile entre dans un nouveau monde dont elle ne comprend pas encore son fonctionnement lorsqu’elle nous conte son histoire avec le coordonier. On découvre un personnage naïf, prude, insouciante façe au monde qui l’entoure. 

De l’autre côté nous avons, les femmes expérimentées telles que Madame de Rosemonde ou Madame de Volange. Elles représentent la sagesse, connaissant le monde où elles évoluent. Ce sont des femmes avertis comme nous le montre Madame de Volange qui met en garde sa fille de la réputation libertine qu’a Valmont.

Puis, il y a Madame de Merteuil, symbole de libertinage. Dans la lettre 81, elle fait une autobiographie où elle raconte qu’elle s’est auto-éduquer, profitant des faiblesses de chacun pour se construire et dominer autrui. C’est-ce sui fait d’elle une libertine confirmée. 

Cependant, les hommes sont en interaction avec celles-ci, alors comment les perçoivent-elles? Quel sont les regard qu’ils portent?

 

   Parmis la place qu’occupe les femmes dans le roman, les hommes représentés par Danceny, et Valmont, porte un regard double sur celles-ci.

Danceny, porte un regard sicère sur Cécile: il est véritablement amoureux de Cécile. Valmont va proposer (pour son intetêt personnel) de l’aider dans sa conquête. Cependant, il va succomber à la tentation libertine avec Madame de Merteuil pour arriver à rendre Cécile jalouse afin de la conquérir. 

Valmont, lui, est un libertin confirmé: il prend plésir avec des courtisanes, et il entreprend des conquêtes, nottament Madame de tourvel qui en fait sa principale.

Les femmes ici, sont partagées entre différents regard. Ceux de l’amoure véritable, mais aussi elles sont considérées comme objets de conquètes et de satisfaction personnelles.

 

 

 

   La condition féminine est évidément mise à mal, de part leur caractére, et d’autre part par la préssion libertine. 

Cécile, dans la lettre 1, est présenté comme un personnage naïf, et dans le reste du roman, c’est un personnage qui n’est pas respécté: elle est trompé et manipulé.

Tourvel est religieuse, est en parrallèle de Cécile, elle sera mal mené durant tout le roman.

Les libertins vont mettre à mal la condition féminine. Merteuil, qui est pourtant une femme, va pervertir Cécile, et troubler le couple avec Danceny, et cela pour son propre interêt personnel. Cécile va également être victime d’un viol par Valmont. Tourvel va succomber à Valmont, le libertin confirmé. La fin montre également, que la condition féminine est mise à mal, Tourvel meurt par amoure, Cécile retourne au couvent, et la libertine Merteuil va être éxécuté socialement. 

 

 

   Durant tout le roman, l’image de la condition féminine est sérieusement ternie, par une fin tragique, et par les différents regard que porte les hommes sur elles. Même la libertine aguérie que représente Merteuil, est touché. Malgré quelques images positives de la femme, Laclos nous montre, globalement, que dans cette société du XVIIIème siècle, la place de la femme est inférieur à l’homme, et n’occupe qu’une place de dominée.

 

Liens utiles