Poème en prose de ''La ville c'est comme...'', durant la modernisation des villes.

   La ville ? C'est une multitude de plaisir, de loisir et de rencontre. C'est un rassemblement d'idée, d'où toutes les inventions les plus prodigieuses naissent, ces idées qui forment, regroupées, un immense coeur remplit de bonté et d'honnêté. C'est la foule dans les couloirs des marchés du monde entier, à la recherche de trésors inestimable. C'est un échange de saveur entre l'orient et l'occidient. C'est les cafés, restaurants,  où camaderies et solidarité règne entre les bourgeois et les plus démunis. C'est des buildings défiant les dieux, et des pont défiant Poséidon. C'est la force de la jeunesse travaillant, donnant honneur a sa famille, qui peut dire avec le sourire \"c'est mon fils\", ou encore \"Mon gamin travaille dans l'industrie!\" peut on dire fiérement. C'est la jeunesse et ses folies, ayant deux vie, les jours de travaille et les nuits de folies. C'est le droit de s'exprimer et de se révolter contre les titans, d'avoir des soins à volonté. C'est l'expression de plus deux mille habitants vivants en harmonie la plus totale, se disant \"Bonjour, mon cher\" en se croisant dans les sompteuses rues et ruelles serpentante jusqu'au coeur même de la cité, où l'on peut, dans les journées de fête, palper le pouls de cette ville.

   La ville c'est... des lois fantaisistes, n'approbant que le respect de l'autre. C'est des milliers de bras fougueux lever n'attendant qu'un \"merci\" pour aider le prochain. c'est le sentiment de bonheur que dégage une famille à l'arrivé d'un nouveau née. c'est des constructions ingénieuse et grandiose, fait de métaux manié avec autant de précision que l'or... C'est l'utopie incarnée.