piles électriques et accumulateurs - chimie.
Publié le 25/04/2013
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3.2. 1 Accumulateurs au nickel-cadmium et au nickel-fer
Ils résultent des travaux de l'Américain Thomas Edison et de différents scientifiques français dans les années 1900.
Le principe de fonctionnement de ces accumulateurs est analogue à celui de la batterie au plomb.
Les seules différences : les
électrodes sont des plaques d'hydrate de nickel et de cadmium, ou d'hydrate de nickel et de fer ; l'électrolyte est une solution d'hydroxyde de potassium (potasse), qui sert uniquement à assurer le transfert des ions.
La tension aux bornes de ces
accumulateurs est de 1,25 V.
Ils débitent des courants de grande intensité, mais ont une durée de vie assez courte.
3.2. 2 Accumulateurs à l'argent-zinc
Ils ont été mis au point en 1941, par H.
André.
L'électrolyte est une solution de potasse dans laquelle plongent l'électrode positive, essentiellement en oxyde d'argent, et une électrode négative à base de zinc.
Aux bornes de ces accumulateurs, on
mesure une tension de 1,5 V.
Ils ont une énergie massique de 120 Wh/kg, soit 3 fois celle des accumulateurs précédents.
Cependant, en raison de leur coût élevé, on les utilise pour des applications spécifiques.
3. 3 Applications des accumulateurs
Les accumulateurs se rencontrent dans les principales applications suivantes : ils servent à alimenter électriquement les voitures, les poids lourds, les avions (batteries au plomb) : éclairage, allumage, démarrage, etc.
; on les utilise comme batteries
stationnaires, assurant l'éclairage et le fonctionnement des appareils embarqués.
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