philosopher c'est secouer le joug de l'autorité
Publié le 07/04/2011
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« Philosophé, c’est secouer le joug de l’autorité », en quoi cette définition éclaire elle la littérature des lumières. Pour répondre à cette question, nous devrons tout d’abord définir ce qu’est philosophé, ainsi que ce qu’est le joug de l’autorité, puis enfin caractérisé les idée des lumières mis en valeur par cette définition.Philosopher, verbe qui désigne l’action de faire de la philosophie, vient du grec philosophia, philos signifiant ami et sophia le savoir signifiant ainsi amour de la sagesse. Le fait de philosopher, pourrait donc se rapporter a une action de sagesse, de réfléchir par soit même sur des sujet très divers.Être sous le joug de quelqu’un/quelque chose, signifie être soumit a son autorité. Le joug de l’autorité « voudrait » donc caractérisé une certaine dominance sociopolitique qui serait remit en cause par le fait de philosopher.En dernier lieu, les philosophes des lumières était une congrégation de penseur, remettant fréquemment en cause la société et la politique de leur époque. Ce qui est parfaitement illustré par la définition étudié ci-dessus.Pour répondre a cette question, nous pourrons donc étudier dans un premier temps en quoi les philosophes des lumières remettaient t’ils en cause l’autorité en particulier la monarchie absolue et l’obscurantisme religieux, et dans un deuxième temps, en quoi les philosophes des lumière revendiquaient une société et des valeurs nouvelles comme par exemple une société déiste ou encore un model de pouvoir égalitaire. DEV Les philosophes des lumières, grands penseurs du 18ème siècle, avaient pour principale idée une remise en cause totale de la société de leur époque. Le régime politique en application étant la monarchie absolue, nous pouvons très aisément admettre que les grands penseur y voyaient un obstacle à leur idéologie. Pour appuyer cette affirmation, nous pourrons en premier lieux cité un texte de Montesquieu, ‘’Lettres persannes’’, qui nous montre bien que les lumières dénonçait ouvertement ce régime, qui pour eux n’était basé que sur la manipulation du roi sur le peuple: « s’il n’a qu’un million d’écu dans son trésor et qu’il en a besoin de deux, il n’aura qu’à leur persuader qu’un écu en vaut deux et ils le croient. ». Cette phrase illustre parfaitement l’idée que se faisaient les philosophes de ce régime politique.Les philosophes des lumières étaient également de grands intellectuels, ceci nous est montré entre autre avec l’encyclopédie écrite par Diderot et Dalambert. L’église quand a elle, était plutôt traditionnaliste, ne voulant surtout pas que certaines découvertes puissent remettre en cause un quelconque écrit de la bible. C’est pourquoi une pression était faite sur les intellectuels afin qu’ils ne diffusent pas leur savoir. Par conséquent, les lumières étant de ceux-ci, nous pouvons facilement en conclure qu’ils étaient totalement contre ce genre de pratique car défendant l’idée de la diffusion du savoir. Mais, contrairement a ce que la plupart des personnes pensaient, les Lumières étaient pour la plupart des déiste. Il prônaient un régime politique égalitaire, là ou tout les hommes seraient égaux devant Dieux, et non un régime ou toute les disparités seraient prises en compte. Cette idée est illustré par un texte de Voltaire appelé traité sur la tolérance, dans lequel il y est noté: « que les petites différences entre les vêtements […] égale devant toi ». Nous voyons donc de part cet extrait que les Lumière était totalement pour l’égalité entre tout mes hommes, ce qui va donc a l’encontre de la monarchie absolu ou un homme est au dessus de tous. Mais également a l’obscurantisme religieux, qui, ne laissait pas les personnes moins cultivées accéder aux savoirs.Pour en revenir au régime politique, ce qui était le plus mit en avant par les Lumière afin de parvenir a un régime égalitaire était la séparation des pouvoirs. En effet, dans une monarchie absolue, tout les pouvoirs était entre les mains d’un seul homme. Tandis que les Lumières voyaient un régime ou les pouvoirs seraient partagés également entre les hommes, afin que tout le monde soit acteur de la politique de l’Etat (début des idées démocratiques). Ce qui nous montre également que les Lumières étaient grandement en avance sur leur temps, de part leur connaissances mais aussi de part leurs idées.
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