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Peut-On Aimer Une Oeuvre D'art Sans La Comprendre ?

Publié le 17/01/2011

Extrait du document

Peut-on aimer une oeuvre d’art sans la comprendre ? Nous pouvons apprécier un tableau ou un monument sans rien savoir de son auteur ni de ses intentions. Il paraît étrange d’associer amour et compréhension, sentiment et intellect : le goût relève d’abord de la sensibilité. Qu’on me donne autant d’explications qu’on voudra, si l’oeuvre me déplaît, on ne me la fera pas aimer en me la faisant connaître. 

 I b Pour autant, être sensible à la beauté ou à la réussite d’une oeuvre d’art n’est pas seulement affaire de sensation. On ne goûte pas un poème, un concerto, un dessin comme on goûte un melon ou une viande. Les oeuvres sollicitent également notre imagination ; souvent elles donnent à penser. L’art s’adresse à l’esprit autant qu’aux sens. Ce n’est pas simplement une couleur qui plaît, une sonorité qui charme, c’est un ensemble qui émeut, d’une émotion nous saisissant tout entier, corps et âme. L’oeuvre d’art satisfait notre intelligence, comme si le plaisir esthétique était d’un autre ordre que les plaisirs strictement sensuels. 

 Mais il ne s’agit pas d’en faire un plaisir réservé aux plus savants et cultivés. Au contraire, la connaissance de l’histoire, du contexte et de l’origine d’une oeuvre d’art ne tient jamais lieu d’émotion. Je peux demeurer indifférent au tableau dont je sais presque tout. Le jugement de goût n’est pas un jugement de connaissance ; sans quoi on pourrait prouver démonstrativement qu’il faut aimer cette toile, et détester cette autre. Inversement, juger qu’une rose est belle ne m’apprend rien sur les propriétés de cette fleur. La beauté n’est pas une propriété objective des oeuvres ; elle suppose pour apparaître le regard d’un sujet. 

 II Comprendre peut renvoyer à un savoir mais aussi à un sentiment partagé. Quand on dit à quelqu’un “je te comprends”, il s’agit d’une compréhension affective plutôt qu’intellectuelle. Il faut bien que je connaisse sa situation ; encore faut-il que j’en sois touché. Ainsi se reconnaît l’amour en général : la joie de l’être aimé me remplit de joie, et sa peine m’accable de tristesse. Dès lors, l’amour pour une oeuvre suppose peut-être une communion de ce genre avec l’auteur, comme si deux esprits se rencontraient par la médiation d’un objet. En ce sens, le plaisir esthétique traduirait une communauté de sentiment entre celui qui contemple et celui qui crée. 

 SUJET : PEUT-ON AIMER UNE ŒUVRE D’ART SANS LA COMPRENDRE ? 

 REFORMULATION : 

 Cette interrogation est formulée de manière totale. En ce sens, nous répondrons soit « oui, nous pouvons aimer une œuvre d’art sans la comprendre «, la compréhension d’une chose n’enlevant pas sa capacité à être aimée, soit « non, nous ne pouvons pas aimer une œuvre d’art que nous ne comprenons pas «, car nous, êtres par essence raisonnables, avons nécessairement besoin de « cerner « les choses pour pouvoir les apprécier. Mais si notre raison nous pousse à essayer de comprendre tout ce qui nous entoure, l’amour d’une chose, ici d’une œuvre d’art peut-elle en dépendre ? Si la compréhension d’une œuvre peut entraîner notre amour pour elle, ne peut-elle pas non plus entraîner sa condamnation? 

 {text:soft-page-break} La question que nous devrons nous poser tout au long de ce travail est : dans quelle mesure la compréhension peut-elle être nécessaire au jugement de goût ? 

 INTRODUCTION : 

 Nous devons d’abord et avant tout nous demander ce que nous pouvons aimer dans une œuvre d’art. En quoi est-elle aimable ? Est-ce, comme le suppose le sujet, parce qu’elle fait sens ? Mais cette compréhension d’une œuvre d’art est nécessairement subjective ! Il ne peut y en avoir de compréhension universelle. Si elle fait sens, c’est pour nous ! Comment dès lors émettre la possibilité que l’amour pour une œuvre dépende de sa compréhension ? 

 Quel sens dès lors donné à cette compréhension ? Elle n’est pas la connaissance, qui elle, a une visée universelle est se veut détentrice de la vérité. Comprendre une chose signifie chercher à en saisir le sens. La compréhension relève d’une quête ; elle ne nous est pas donnée d’emblée ! Encore faut-il vouloir comprendre ! Qu’est-ce qui pourrait nous pousser à vouloir comprendre une œuvre d’art si ce n’est tout au moins une certaine attirance pour elle, sans aller jusque l’amour ? 

 L’amour ne vient-il dès lors que quand l’œuvre d’art fait sens pour nous ? 

 Nous allons ainsi, dans un premier temps nous demander en quoi la compréhension peut-elle être nécessaire à l’amour. Dans un second mouvement, nous nous attacherons à la question de savoir dans quelle mesure l’œuvre d’art peut-elle échapper à ces critères de notre jugement Nous nous demanderons enfin, dans un troisième et dernier mouvement, si ce n’est pas plutôt l’amour que nous 

 pouvons ressentir pour une œuvre qui nous pousse à sa compréhension. 

 PLAN : 

 I : DANS QUELLE MESURE LA COMPREHENSION PEUT-ELLE ÊTRE NECESSAIRE A L’AMOUR ? 

 II : DANS QUELLE MESURE L’ŒUVRE D’ART PEUT-ELLE ECHAPPER A CES CRITERES DE NOTRE JUGEMENT ? 

 III : L’AMOUR N’EST-IL PAS PLUTÔT CE QUI NOUS OUVRE LA VOIE DE LA COMPREHENSION ? 

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 Vous devez traiter ce sujet ? 

 La question que nous pose le sujet nous place d'emblée dans le champ esthétique. L'oeuvre d'art est une création de l'artiste dont il conviendra d'en étudier les modalités. En ce sens, elle est production et se tourne généralement vers le Beau ou au demeurant a une rapport avec la contemplation esthétique ce qui est bien le problème et l'enjeu. En effet, « aimer une oeuvre d'art « c'est ressentir une émotion devant la contemplation de cette oeuvre. Le sujet « peut-on aimer une oeuvre d'art sans la comprendre ? « nous interroge donc la possibilité ou la capacité du spectateur à ressentir un plaisir esthétique durant sa contemplation de l'oeuvre sans la comprendre. La formule « sans la comprendre « constitue alors une clause restrictive à ce plaisir esthétique. La compréhension c'est par intuition coïncider avec la chose, l'oeuvre d'art en l'occurrence. Dans ce cas, il semblerait que le plaisir esthétique soit toujours une compréhension de l'oeuvre, un dialogue intérieur avec elle. Pourtant comprendre une oeuvre d'art suppose un certain degré de culture artistique mais aussi une {text:soft-page-break} interprétation des intentions et volontés de l'artiste. Dès lors, faire dépendre la plaisir esthétique d'une connaissance se serait presque ruiner la possibilité même pour un grand nombre de personne de pouvoir aimer une oeuvre d'art. C'est bien là la première intuition que nous avons face à une telle question. En effet, de par notre expérience, il semble que l'on puisse aimer une oeuvre d'art sans en saisir tout le sens. Mais le regard ne serait-il pas aveugle ? Plaisir esthétique et compréhension peut-il aller de paire ? C'est donc la définition même du plaisir esthétique qui est ici en jeu. Ainsi, s'il apparaît possible de dire que l'on ne peut aimer une oeuvre d'art sans la comprendre en tant que l'on doit faire corps avec celle-ci (1ère partie), il faudra tout de même interroger la valeur de ce regard et de cet amour, de ce plaisir pour peut-être en saisir la limite (2nd partie) pouvant nous amener à une redéfinition du plaisir esthétique (3ème partie). 

 Ce genre de dissertation attend surtout une définition solide des termes aimer et comprendre. Aimer, est ce que cela signifie "cela me plait" ou "je le trouve beau" ? (distinction entre les deux via Kant notamment). Et puis comprendre ... On peut regarder le tableau Les coquelicots (compréhensible !) et ne pas l'aimer, inversement on peut aimer une oeuvre d'art abstraite (genre un monochrome blanc) sans forcément la comprendre, parce que cette dernière nous aura touchés (ouais j'avoue l'exemple en textane de carton, mais vu que l'art contemporain est LE problème de cette notion en philo, autant exploiter le filon). Et puis pour comprendre une oeuvre d'art, faut-il faire partie de l'élite ? 

 Extrait: 

 

Pour aimer ce n'est pas la peine de comprendre : aimer implique une adhésion immédiate, un désir envers l'objet ou la personne. Néanmoins, on n'aime pas une oeuvre d'art comme on aime une glace à la fraise : on ne consomme pas l'oeuvre, et il y a une dimension spirituelle dans l'oeuvre (...) 

 

Plan de la dissertation: 

 

Introduction 

 

I) On peut aimer une oeuvre d'art sans la comprendre 

 

A. Distinction de différents types d'amour 

B. Il n'est pas nécessaire de comprendre pour aimer 

 

II) L'oeuvre d'art doit être comprise pour être aimée 

 

A. Comprendre, c'est ne pas s'en tenir à l'apparence 

B. Comprendre c'est trouver le sens 

C. Il n'y pas un sens assignable 

 

III) La place de la compréhension dans l'art 

 

A. La pure perception est un mythe : percevoir, c'est déjà juger 

B. En quoi le rapport à l'oeuvre d'art est-il différent de tout autre objet du monde ? 

{text:soft-page-break} C. Aimer une oeuvre d'art, c'est la comprendre 

 Analyse et amorce de problématique 

 

 

À première vue, le registre affectif de l'amour est indépendant de celui de la connaissance ou de la compréhension. On peut aimer quelqu'un sans comprendre son caractère ni ses motivations. On peut aimer un plat sans comprendre de quelle manière il a été préparé ou de connaître ses ingrédients. Il est d'ailleurs possible d'affirmer que dans certains cas, moins on comprend et plus on aime. Lorsque Swann, le héros de Proust, comprend qui est Odette dont il était fou amoureux (une cocotte prétentieuse), son amour pour elle s'évapore. 

 

2. Qu'est-ce qui distingue un morceau de musique, un film ou un tableau d'une personne ou d'un plat ? Pas grand chose à première vue : on peut adorer une chanson sans en comprendre les paroles, un portrait sans savoir qui l'a peint, qui est représenté et dans quel style. Là encore, on pourrait dire que le mystère ou l'incertitude permet d'aimer davantage : chantez Love me do des Beatles en français et vous aurez honte des paroles. 

 

3. Mais il y a une grande différence entre l'amour pour une personne ou pour un plat et l'amour d'une oeuvre d'art. L'amour que l'on éprouve pour quelqu'un (nous parlons ici de l'amour-attirance et passion, pas de l'amitié ni des rapports familiaux) vise un résultat : être aimé en retour et en recevoir les fruits. Dans le cas du plat, on l'aime parce qu'il est bon, parce qu'on le mange. 

En revanche, on ne consomme pas une oeuvre d'art. C'est d'ailleurs ce qui la caractérise : un film pornographique est rarement une oeuvre d'art car il vise exclusivement à la satisfaction d'un désir. De même pour certains romans à l'eau de rose, même si le désir (comme le public) n'est pas le même. L'oeuvre d'art est l'objet d'un amour que Kant appelle désintéressé, qui ne vise pas à la satisfaction d'un de mes instincts, à par celui d'être charmé ou ébloui par la beauté de cette oeuvre. 

 

4. Ainsi, si l'on n'aime pas une oeuvre d'art comme on aime sa petite amie ou un steak tartare, la place de la compréhension doit être différente. En effet, si l'on ne consomme pas une oeuvre d'art, si le plaisir qu'on éprouve à son contact n'a rien à voir avec celui de la satisfaction d'un instinct ou d'un manque, alors la compréhension devient un ingrédient absolument nécessaire. 

 

5. Ainsi semble-t-il indispensable de comprendre une oeuvre d'art pour l'aimer. Mais les manières de comprendre sont diverses et libres, et n'ont rien à voir avec la connaissance froide et objective. On peut comprendre par le goût, le plaisir, mais aussi par l'analyse empathique de la manière du peintre, par la comparaison avec d'autres tableaux, par l'étude d'un genre, d'une période. 

Ainsi l'amour d'une oeuvre d'art nous propose également de nouveau modèles pour réfléchir à ce qu'est comprendre quelque chose — et qui n'est pas nécessairement intellectuel. 

 

PLAN POSSIBLE 

 

1. On n'a pas besoin de comprendre une oeuvre d'art pour l'aimer 

Voir la problématique. 

{text:soft-page-break} 

Exemple : l'art abstrait, où rien n'est représenté. 

Transition : mais on cherche toujours à comprendre une oeuvre d'art abstraite, non pas ce qu'elle représente mais l'harmonie des couleurs et des formes, leur symbolisme, l'intention de l'auteur. 

 

2. On a besoin d'étudier une oeuvre d'art pour l'aimer 

Exemple : on ne pourra pas vraiment apprécier un film si l'on ne cherche pas à comprendre ce qu'il y a derrière ce qui est raconté : une écriture cinématographique, des choix de mise en scène, une direction d'acteur, le choix des décors et des costumes, etc. C'est pourquoi les cinéphiles, les amoureux du 7e art, cherchent à le comprendre et à l'analyser. 

Transition : Mais un ignorant du cinéma appréciera aussi bien, si ce n'est mieux, un grand film, parce qu'il sera touché et que cette oeuvre sera comprise par lui dans un sens non analytique, mais esthétique et existentiel. 

 

3. La compréhension d'une oeuvre d'art, nécessaire à l'amour pour elle, n'a rien à voir avec la connaissance objective 

Voir la problématique : on doit comprendre une oeuvre d'art pour l'aimer, mais cette connaissance passe par des moyens divers et non par la simple analyse. 

 

Références 

 

Platon, Phèdre 

Kant, Critique de la faculté de juger 

Hegel, Esthétique 

Kandinsky, Du spirituel dans l'art 

 

Il fallait surtout développer des exemples. 

      Il est possible d'aimer une œuvre d'art sans forcément la comprendre   

 

2. Il est impossible   d'apprécier une œuvre d'art sans la comprendre, sans comprendre   son contexte, les sentiments de l'artiste au moment de sa création...   

 

3. La complexité des   œuvres d'art    Extrait du document: 

 En effet, on peut aimer une œuvre d'art sans la comprendre puisque tout le monde ne s'y connaît pas, n'a pas de notion dans le domaine où se situe l'œuvre d'art que nous observons, que nous aimons. Que se soit dans la sculpture, la peinture... tout le monde n'est pas expert dans ces domaines. Certaines personnes connaissent rien mais regardent pour le plaisir des yeux sans pour autant ne pas se poser des questions sur la manière dont elle a été faite, qui en est l'auteur ou ce qu'elle représente exactement puisque certaines œuvres n'ont aucun sens pour nous. 

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 Résumé 

 

Dissertation de Philosophie niveau Bac sur l'art : "Peut-on aimer une oeuvre d'art sans la comprendre ?". 

 

Extrait: 

 

Pour aimer ce n'est pas la peine de comprendre : aimer implique une adhésion immédiate, un désir envers l'objet ou la personne. Néanmoins, on n'aime pas une oeuvre d'art comme on aime une glace à la fraise : on ne consomme pas l'oeuvre, et il y a une dimension spirituelle dans l'oeuvre (...) 

 

Plan de la dissertation: 

 

Introduction 

 

I) On peut aimer une oeuvre d'art sans la comprendre 

 

A. Distinction de différents types d'amour 

B. Il n'est pas nécessaire de comprendre pour aimer 

 

II) L'oeuvre d'art doit être comprise pour être aimée 

 

A. Comprendre, c'est ne pas s'en tenir à l'apparence 

B. Comprendre c'est trouver le sens 

C. Il n'y pas un sens assignable 

 

III) La place de la compréhension dans l'art 

 

A. La pure perception est un mythe : percevoir, c'est déjà juger 

B. En quoi le rapport à l'oeuvre d'art est-il différent de tout autre objet du monde ? 

C. Aimer une oeuvre d'art, c'est la comprendre 

 

 Certes dans cette dissertation, il faut disserter de l’amour et des sentiments, mais ou son les exemples et leurs auteurs ainsi que les citations ? 

Il ne faut pas non plus oublier l’explication des termes en intro et Ne faut-il pas parler d’impressionnisme d’artiste des temps anciens ou modernes en première partie? 

Ne faut-il pas débattre, en seconde partie, sur les intentions de M. DUCHAMP avec son urinoir ? L’urinoir n’est pas agréable au premier regard, néanmoins ne peut-on pas éprouver une certaine attirance dans sa réflexion ? 

L’artiste en faisant scandale avec son œuvre, a lié la compréhension et les sentiments (l’artiste c’est questionné en se demandant si une technique pouvait faire office d’œuvre d’art et rentré dans la catégorie des beaux arts ?). C’est-à-dire qu’en faisant une réflexion sur cette œuvre 

« grossière « il se pourrait que l’observateur éprouve une curiosité envers l’œuvre (et l’auteur) qui entrainerai une opinion peut-être positive et ainsi pouvoir « aimé « cette œuvre « grossière « non pas par sa beauté mais par sa compréhension… 

Et enfin dans la conclusion peut-être finir avec une citation de H. BERGSON « L’art n’a d’autre {text:soft-page-break} objet que de nous écarter […] tout ce qui nous masque de la réalité, pour nous mettre face à la réalité elle-même « qui laisserai insinué qu’il ne faut pas resté dans l’illusion de la Beauté mais essayer de comprendre l’oeuvre afin de découvrir sa face implicite et enfin ouvrir la fenêtre pour conclure la dissertation… 

Voila mon point de vue 

J’espère avoir une bonne note au bac; 

 "L'art, c'est la plus sublime mission de l'homme, puisque c'est l'exercice de la pensée qui cherche à comprendre le monde et à le faire comprendre." Auguste Rodin 

 "On va au théâtre pour voir et savoir, pour sentir et ressentir. On se met en état d'attente, dans l'espoir d'attendre ou de comprendre quelque chose que l'on n'a pas su comprendre jusqu'alors." Michal Laznovsky 

 "Les hommes déprécient ce qu'ils ne peuvent comprendre." Johann Wolfgang von Goethe 

 "Comprendre est le commencement d'approuver." Baruch Spinoza 

 "Il y a trois choses que j'ai beaucoup aimées sans rien y comprendre : la musique, la peinture et les femmes." Bernard Fontenelle 

 "Aimer, ce n'est pas seulement "aimer bien" ; c'est surtout comprendre." Françoise Sagan 

 "Il est plus facile d'acheter un livre que de le lire, et plus facile de le lire que de le comprendre." William Osler 

 

 "C'est une très méchante manière de raisonner que de rejeter ce qu'on ne peut comprendre." François René de Chateaubriand 

 "Pas besoin de comprendre pour écouter." Michel Audiard 

 "Les plus beaux mots du monde ne sont que des sons inutiles si vous ne pouvez pas les comprendre." Anatole France 

 "L'art d'écrire est avant tout de se faire comprendre." Eugène Delacroix 

 "Comprendre, c'est déjà aimer." Georges Bernanos 

 "Au départ il ne s'agit pas de comprendre mais bien d'aimer." André Breton 

 "Tout art s'adresse aux sens, d'abord, plus qu'à l'esprit." Francis Carco

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