Pétra, et les villes mortes de Syrie
Publié le 30/06/2012
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En 1812, un voyageur suisse part à la recherche de ruines mystérieuses dans le désert jordanien. Bravant les interdits locaux, il découvre au sein d'un chaos rocheux les restes d'une magnifique cité que le désert avait préservée. Bâtie à l'ombre des falaises, la ville était un important relais de caravanes ; la prospérité qui en découlait permit à ses habitants de sculpter de remarquables monuments. Taillés dans la pierre des falaises, théâtres, citernes, palais constituent un étrange ensemble urbain. L'abandon de la cité permet de visiter aujourd'hui un site intact, préservé des hommes et des éléments. Mais Pétra n'est pas la seule ville morte de la région. Plus au nord, en Syrie, Palmyre fut aussi un important centre urbain avant d'être détruite par l'empereur Aurélien en 273. Il reste néanmoins de très importants monuments, dont le temple de Bêl, les bains de Dioclétien et un grand nombre de constructions funéraires. Ici, comme à Pétra, le sable du désert a arrêté la roue de l'histoire.
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