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Parmi l’ensemble du corpus proposé et celui du bac blanc, le texte qui m’a semblé être le plus efficace par rapport aux autres textes, reste celui de Louis Ferdinand Céline qui expose grâce à un style d’écriture très proche de la pensée et à la fois extrêmement bien formulé, une image de la guerre critique et affreusement réel.

Publié le 04/04/2011

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Parmi l’ensemble du corpus proposé et celui du bac blanc, le texte qui m’a semblé être le plus efficace par rapport aux autres textes, reste celui de Louis Ferdinand Céline qui expose grâce à un style d’écriture très proche de la pensée et à la fois extrêmement bien formulé, une image de la guerre critique et affreusement réel.  En comparaison aux autres textes du corpus, celui-ci me semble le plus approprié, pour amener à réfléchir sur le phénomène de la guerre, car :  Le texte de Stendhal exprimé à la troisième personne, n’est pas assez proche du personnage qui représente un protagoniste parfois ridicule, ce qui décrédibilise l’aspect horrifiant de la guerre. Contrairement au récit de Céline exprimé à la première personne, et ainsi très proche des pensées et critiques du personnage principal, qui lui se focalise sur l’horreur du conflit.  Le texte d’Hugo rapporte des évènements d’un point de vue extérieur, relatant le récit de combats épiques. Cet aspect épique et ce recul du à la vision externe, implique une exagération des faits, une constatation des évènements mais en aucun cas une réflexion sur les réactions de chaque belligérant. Ainsi l’image de la guerre n’amène pas les humains à réfléchir sur la guerre représentée.  Ensuite pour des raisons plus personnel, je pense que ce texte est le plus approprié car la manière d’écrire de l’auteur semble tellement proche du réel, que la guerre le devient et semble nous arriver tout comme à Bardamu. Celui-ci est un personnage qui contribue a mon choix car il représente parfaitement le soldat en rébellion de la fin de la grande guerre, détestant chaque jour de plus en plus la guerre. Enfin ce texte offre une bonne description d’un champ de bataille, et des viandes saignantes l’accompagnant.    Mais ce texte peut ne pas être efficace pour amener à réfléchir car il prend position par rapport à la guerre et peut donc ainsi persuader le lecteur au lieu de lui ouvrir la voix vers une réflexion objective, Mais je pense que cette prise de position permet également d’avoir sa propre opinion car on peut avec une connaissance des évènements être d’accord sur l’horreur ayant existé mais diverger sur la nécessité ou non de celle-ci.    Page 1 04/04/2011L’extrait de voyage au bout de la nuit n’est pas non plus forcément très efficace pour amener à réfléchir sur la guerre en général car il ne traite que d’une seule qui n’est pas représentative de toute (Waterloo). Mais on peut considérer qu’une réflexion sur l’une des guerres les plus violente (La grande guerre), représente une réflexion sur l’aboutissement de toutes les précédentes et ainsi une réflexion sur chacune d’entre elles ayant amené l’homme à cette dernière.   

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