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Ndjamena

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1 PRÉSENTATION Ndjamena, capitale du Tchad, située dans le sud-ouest du pays, sur la rive droite du Chari, à sa confluence avec le Logone, au sud du lac Tchad, près de la frontière camerounaise. 2 ÉCONOMIE Chef-lieu de la préfecture du Chari, établie dans une large plaine alluviale, Ndjamena est le centre économique, administratif et culturel du pays. La ville commercialise les produits agricoles de sa région (coton, cacao, huile). Port fluvial, elle est également un carrefour routier et aérien doté d’un aéroport international. 3 PATRIMOINE Dominée par sa Grande Mosquée (1974-1978), la ville, à population majoritairement musulmane, abrite aussi une cathédrale élevée au temps de la colonisation française. Elle accueille l’université du Tchad (1971) et l’École nationale d’administration (1963). 4 HISTOIRE Fondée par les Français en 1900 sous le nom de Fort-Lamy, la ville est un poste militaire et un centre de l’administration coloniale en Afrique-Occidentale française. Elle devient la capitale du Tchad lors de l’indépendance du pays en 1960 et adopte son nom actuel en 1973. En 1980-1981, au cours de la guerre civile qui a débuté au milieu des 1960, Ndjamena est occupée par les forces libanaises. La ville a beaucoup souffert des conflits nationaux. Population (2003) : 797 000 habitants.

« Pholo Tall / Sipa-lc ono Les Rêveries consa­ c rent une nouvelle f o is après Les Confessions la pla ce novatri ce accord ée au moi dans une œ uvre littéraire.

C 'est toute une no u­ velle se nsibilité qui s e lib è re et do nt se réclam eront le s succes seurs de Rousseau.

Pholo Exp lorer Le livre Harmonies E n 1778, quand Jean-Jacques Rousse·au rédige Les Rêveries du promeneur solitaire, il est au crépuscu le de sa vie.

Il mourra subitement quelques semaines plus tard.

Celui qui fut à la fois philosophe, théoricien de la politique et de la pédagogie, mais surtout auteur d'œuvres radicalement novatrices, renonce à se défendre contre ses ennemis pour laisser son esprit vaga­ bonder parmi les souvenirs.

Rousseau, dont l'œuvre autobio­ graphique répond à une exigence de transparence abso lue, consacre ses derniers jours à l'évocation des moments révolus dans lesquels il décèle sa vérité.

Les dix "Promenades" qui constituent le volum e ne suivent d'autre ordre que celui dicté par sa mémoire affective et le rythme de 1 'écriture .

La douceur de converser avec son âme C' est dans la fere Promenade que Jean-Jacques Rousseau décrit le dessein de 1 'ouvrage : consacrer ses derniers jours à s'étudier.

Dans la deuxième, il relate comment un inci­ dent (la chu te que provoqua la course d'un chien danois tandis qu'il se promenait à Ménilmontant) lui fait entrevoir ce que doit être la mort.

La fife Promenade est une réflexion sur la vieillesse comme préparation sereine à la mort, moment de paix intérieure.

Puis, dans la quatrième, ressurgit un souvenir déjà mentionné dans Les Confessions : l'épisode du ruban volé, associé à une torturante cu lpabilité.

Les trois Promenades sui­ vantes (Ve, Vfe, Vlf e ) sont un hymne à la nature.

Rousseau, qui collabora à l'Enc yclopédie , botaniste averti autant que pas­ sionné, y exprime son sentiment de communion heureuse avec l es paysages suisses.

La Vflfe Promenade rompt brutalement avec le lyrisme des précédentes.

L'auteur, en effet, évoque le complot dont il fut victime .

Mais l'aigreur des Confessions laisse place ici à un détachement que lui autorise son actuelle quiétude.

Avant de rendre un dernier hommage à Mme de Warens , celle qu'il aura toujours aimée tendrement, il témoigne de son affection pour les enfants et de la joie que lui procurent les plaisirs les plus simples .

Rousseau, brutalement emporté par la mort, livrera la Xe Promenade inachevée.

Avec Les R êveries , il lègue un de ses textes les plus émouvants.. »

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