mon role dans l'alimentation de demain
Publié le 12/05/2012
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Mon rôle dans l'alimentation de demain
Parmi les nombreux problèmes qui préoccuperont le monde de demain, celui de l'alimentation en est un majeur. En effet si nous prenons en compte le milliard de personne qui souffre de la faim, et de l'augmentation rapide démographique, notamment dans les pays en voie de développement, qui posera un problème dans quelques décennies, nous pouvons penser qu'une alimentation de 10 milliard de personnes engendrera des problèmes difficiles à aborder. Pour limiter cette croissance démographique et minimiser la faim dans le monde, chacun doit s'investir et a un rôle propre a chacun dans l'alimentation de demain. Je vais présenter mon rôle de l'occidental dans l'alimentation de demain. Dans un premier temps je vais aborder les problèmes alimentaires et leurs causes/conséquences, ensuite je vais, à vous le lecteur, vous présenter les solutions possibles. Pour finir, je définirai mon rôle et ce que je dois entreprendre pour participer à changer le monde.
Entre l'Asie et l'Afrique, nous avons déjà respectivement 500 et 250 millions de personnes qui souffrent de la faim. La pauvreté du tiers monde engendre des problèmes de la faim comme le prouve l'Afrique. Des enfants naissent et sont obligés de manger des galettes de terres séchées pour avoir la sensation d'avoir quelque chose dans le ventre. Cette pratique nourrit pas le corps mais le trompe : la personne en question n'a pas faim mais meurt de non-apport en énergie. Les moultes guerres présentes en Afrique centrale, notamment au Soudan sont la cause de la faim en Afrique noir pour une raison que seul quelques personnes comprennent : la nourriture crées localement est envoyés aux soldats pour les nourrir, et la nourriture envoyés pas les pays riches sont détournés par les chefs de guerre. En effet, les personnes ne reçoivent pas de nourriture.
La pauvreté du tier-état dans ces pays sous développés est une cause majeure de la sous-alimentation : les agriculteurs n'ont pas les moyens de se payer des engrais et autres intrants ce qui a pour cause d'avoir moins de récolte au moment venu et donc moins de nourriture.
Actuellement dans le monde, seulement 10% des terres sont cultivables et 5% cultivées ce qui pose un problème de manque de terres agricoles mais aussi du gaspillage car certains produits ont besoins de plus de place pour se former, je parle notamment de la viande qui a besoin d'environ 100m2 pour 1kg de viande contrairement aux patates qui ont besoin de 100 fois moins de place pour créer la même quantité de matière.
Si nous ajoutons a ceci le problème des terres polluées et le problème des terres exploitables à d’autres fins qu’alimentaires (ex : les agio-carburants). Nous pouvons deviner que les solutions de l’alimentation de demain ne seront pas seulement agricoles. S'ajoutent à cela des difficultés liées à la spéculation sur le riz, le blé, le maïs, mais aussi les problèmes climatiques et le gaspillage de l'eau dans l'irrigation nous prouve un grand désordre dans l'agriculture et donc de grandes menaces dans l'équilibre alimentaire d'aujourd'hui.
L'agriculture rentre en concurrence avec la biodiversité naturelle pour les sols cultivables et pour l'eau qui sont deux ressources fragiles, inégalement réparties et disponibles en faible quantité.
A présent, je vais analyser les solutions possibles pour résoudre ces quelques problèmes majeurs parmi tant d'autres et mon rôle dans ce changement imminent.
Le monde doit tout d'abord assouvir aux besoins des personnes souffrants de la faim. Pour ceci nous allons mettre en valeurs les OGM qui accroissent les récoltes, ensuite nous devons limiter la quantité de viande et la taxer. Les scientifiques devront ensuite être capables de sélectionner les espèces capables de résister aux conditions extrêmes. Je prends en exemple ces grains de riz « scuba » capables de rester immergés pendant prés de 20 jours. Il faudrait aussi limiter la spéculation pour garder des prix abordables a la population mondiale.
La première chose que je dois faire est prendre conscience de l'immensité du problème et d'en saisir une dimension concrète à portée de main. Actuellement ma place dans la société ne me permet pas de créer des changements mais seulement à militer et à participer à des actions humanitaires visant à aider les plus démunis. Manger local est une solution active, il est vrai qu'avoir seulement des produits de saison est un problème pour autrui mais pas pour moi. L'instauration de la contraception dans les pays sous-développes est une approche qui pourrait déjà limiter l'accroissement démographique d'aujourd'hui.
Pour conclure, nos comportements alimentaires vont nécessités des solutions qui vont changer la société d'aujourd'hui pour y laisser place un monde sain ou alors le monde d'aujourd'hui avance a grands pas vers des situations de grandes violences.
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