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Mise en scène de l’acte I, scène 4, Alfred de Musset - Lorenzaccio

Publié le 23/06/2011

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musset

   Alfred de Musset, auteur du XIX ème siècle, joue sur les caractéristiques du drame romantique dans sa pièce Lorenzaccio. Cette pièce se joue à Florence, au XVI ème siècle, époque de la Renaissance Italienne. Lorenzaccio raconte l’histoire d’une vengeance, celle de Lorenzo contre son cousin Le Duc qui n’est autre qu’Alexandre de Médicis. Il va falloir que je mette en scène l’acte 1, scène 4 de cette pièce qui est une scène d’exposition. Cela me laisse le choix sur les différentes possibilités du jeu des comédiens et des indications du lieu scénique, tels que le décor, les costumes, l’éclairage ou encore la musique. Cependant toute ma mise en scène devra être argumentée et expliquée.    Le décor de cette scène reprend le style et l’architecture de l’époque mais aussi l’atmosphère du Palais du Duc. Le palais des Médicis était le Palais Pitti et son revêtement mural était de pierre blanche. Donc le décor de la scène comportera des murs qui rappelleront la façade du palais. Il y aura un mur de chaque côté d’une terrasse, elle sera éclairée par des projecteurs. Il y a sur cette terrasse une ouverture qui sera illuminée de rouge, elle servira pour la fin avec la sortie du Duc et du Cardinal. La terrasse est entourée d’une balustrade en pierre. A droite se situe un escalier de couleur doré, qui montre la richesse des Médicis. Sur le sol, à gauche de la terrasse, ce trouve des lignes fluorescentes qui délimitent une plaque transparente, elle s’illuminera lors du combat.  Les costumes des personnages correspondent eux aussi à l’époque de l’histoire. Le Duc aura une parure de couleur dorée avec des broderies. J’ai choisi cette couleur, car elle va bien avec sa personnalité qui est de toujours montrer sa supériorité et sa richesse. Valori portera une tunique grise, car il est considéré comme un « honnête homme « (l.5). La tenue des cardinaux est entièrement pourpre, couleur qui symbolise leur engagement à servir l’Eglise catholique jusqu’au sacrifice de leur vie. Sire Maurice seras vêtue d’une tunique azur et une épée argent de taille moyen. Lorenzo, pour sa part sera vêtu de noir, pour se distinguer des autres.  Au début, Le Duc est seul sur la terrasse. Il s’appui sur la balustrade et admire le public en face de lui. Le Duc, Le Cardinal et Sire Maurice et Valori commencent à discuter ensemble. Quand Lorenzo arrive sur scène, un projecteur se dirige sur lui. Le Duc remarque la présence de Lorenzo et commence à chuchoter et à faire des messes basses avec ses confrères. Après s’être rhabillé pour être présentable, Lorenzo fait des salutations correctes aux confrères de son cousin, d’un ton gaie et sur jouer. Son double jeu commence. Il ne salut pas chaque personne individuellement mais de façon à préciser que ce son juste des amis à son cousin et non des personnes si importantes pour lui (l.1 et 2).  Quand Le Duc dit « Lorenzo, écoute ici « (l.3), en même temps, il lui fait un signe pour qu’il s’approche et vienne s’installer près de lui. Le Duc et Lorenzo se sont éloignés des trois confrères. Il lui révèle, sans hésitation, que juste avant sa venue ils parlaient de lui. Quand Le Duc lui dit « sais-tu la nouvelle ? «, il le prend par l’épaule d’un geste amical et lui avoue par la suite ce que pensent les trois hommes sur lui. Le Duc ne craint pas son cousin, il l’apprécie (l.3 à 6).  Lorenzo se dirige donc vers le Cardinal et lui parle en le provoquant. On sait qu’il parle qu’au Cardinal car il dit « Pour qui dangereux, Eminence ? « or « éminence « est un titre honorifique destiné au Cardinaux. Quand il aborde « pour les filles de joie «, un sourire sournois lui vient car Lorenzo est connu dans le Palais et ailleurs pour sa débauche. Quand il ajoute « ou pour les saints du paradis «, il devient plus sérieux et son sourire s’efface (l.7 et 8). Le Cardinal se rapproche de Lorenzo comme pour l’affronter. Il le regarde dans les yeux et l’insulte de « Chiens de Cour «, cela montre son mépris envers Lorenzo (l.9 et 10). Lorenzo pousse légèrement Le Cardinal en s’éloignant, et lui renvoie amusé « une insulte de prêtre doit se faire en latin « (l.11).  Sire Maurice qui étais entrain de chuchoter quelque chose au Duc, s’arrête nette sur la colère et se retourne vers Lorenzo. Il lui dit « Il s’en fait en toscan, auxquelles ont peut répondre « d’un ton agressif. Par cette phrase il insinue que Lorenzo ne pourrais comprendre l’insulte en latin. Lorenzo ironise en lui faisant croire qu’il ne l’avait pas vue, il lui montre bien qu’il se moque de ces paroles. Il se rapproche de lui et dit « vous avez un bon visage « en même temps de le lui tapoter. Il passe sa main sur la tunique de Sire Maurice tout en faisant un geste comme s’il essayait d’enlever une poussière, en lui disant « votre habit me parait tout neuf «, puis il recule avec un petit rire. Sire Maurice pince les lèvres signe de colère et répond à la moquerie de Lorenzo (l.12 à 16).  Lorenzo se retourne vers son cousin pour se moquer de Sire Maurice avec lui. Sire Maurice qui commence à en avoir marre des moqueries de Lorenzo et de sa supériorité, décide de le provoquer en duel. La plaque transparente, à gauche du décor, s’allume d’une lumière rouge. Au moment où il dit « à votre place, je prendrais une épée «, il relève sa tunique pour placer sa main sur son épée (l.17 à 21). Lorenzo ne se laisse pas abattre par cette demande de duel et se défend en lui disant qu’il n’est pas un soldat (l.22 et 23). Sire Maurice sort son épée et s’adresse à Lorenzo. Il lui dit « que son esprit est une épée acérée «, En même temps de dire cela il place son épée à côté de sa tête. Il essuie son arme avec un foulard de soie et dit à Lorenzo d’un ton supérieur et sûr de lui que chacun fait usage de ses armes. Pour Lorenzo c’est l’esprit et la parole qui sont ces armes alors que pour Sire Maurice son seul atout est son épée (l.24 et 25).  Valori qui était resté de côté et proche de l’escalier, s’exclame stupéfier par le fait que Sire Maurice ose montrer son arme devant Le Duc. Il s’approche pour lui faire ranger cette arme mais se fait rattrapé à l’épaule par Le Duc qui lui dit d’un air très calme de laisser faire. Il s’adresse à Lorenzo, par la suite, en utilisant un surnom familier qui montre sa sympathie envers son cousin mais cela le dévalorise aussi. Après être d’accord avec la demande de duel, il claque dans ses mains en même temps qu’il demande qu’on lui apporte une épée pour son cousin (l.27 à 29).  Lorenzo panique par le choix et la demande de son cousin. Il se retourne vers celui-ci et ne rigole plus du tout. Ce que remarque Le Duc, car il dit « ta gaieté s’évanouit si vite ? «. Voyant que son cousin commence à se sentir pas bien, il le prend à part par les épaule et lui dit « tu fais honte au nom des Médicis. Je ne suis qu’un bâtard, et je le porterais mieux que toi, qui es légitime. « Puis il le relâche brusquement et crie « Une épée, une épée ! Un Médicis ne se laisse point provoquer ainsi. « (l.30 à 35).  Quelqu’un amène une épée sur un cousin doré. Le Duc la prend et la tend vers son cousin. Lorenzo lui dit « Son Altesse se rit de moi «, il ne croyait pas que son cousin allait vraiment lui donner une arme. Il commence à s’affaiblir à la vue de cette épée si pointue. Lorenzo, à ce moment, aggrave son jeu en jouant la comédie à fond. Il se retourne et se mouille le front de gouttelettes d’eau obtenue grâce à une fiole qu’il avait dans sa poche, pour faire croire qu’il est vraiment apeuré. Il revient en face de ses confrères, qui n’ont rein remarqué de son stratagème, en tremblant de partout. Par cette attitude, Le Duc se moque ouvertement de son cousin, il se dirige vers ses confrères et laisse Lorenzo seul contre eux. Le Duc dit « Je crois qu’il va tomber ! «. A ce moment, Lorenzo fait mine de respirer avec une cadence accéléré et il se dirige vers la balustrade pour s’appuyer contre celle-ci mais il trébuche avant même de l’atteindre. Il reste couché parterre.  La plaque transparente s’éteint. Le Duc éclate de rire face à cette faiblesse et ne lui porte pas d’aide. Sire Maurice et Le Cardinal se mettent à rire avec lui. Le Duc se reprend et en le montrant du doigt il dit « Quand je vous le disais ! Personne ne le sait (…) une épée le fait trouvé mal «. Quand il dit cela, il sort son épée pour jouer avec. Il le considère comme une mauviette car il dit « chère Lorenzetta, fais-toi emporter chez ta mère «. Le Duc utilise un surnom efféminé qui appuie sa moquerie (l.36 à 44).  Des hommes montent l’escalier pour porter Lorenzo et le ramener à l’intérieur du palais. Quand ces hommes tiennent le corps de Lorenzo et qu’ils passent devant Sire Maurice, pour redescendre, celui-ci crie des injures à l’égard de Lorenzo. Le Duc tape Sire Maurice d’une légère claque sur la joue pour le punir de ces paroles à l’égard de son cousin. Par ce geste il le défend. Quand les hommes, qui portent toujours le corps, passent devant Valori, celui-ci ressent de la compassion pour Lorenzo. Les hommes descendent le corps suivit de Valori et de Sire Maurice qui est frustré après avoir reçue cette légère claque. Un projecteur les suit dans cette descente (l. 46 à 50).  Le Duc et Le Cardinal sont seuls sur scène. Le Duc s’appuie sur la balustrade pendant que Le Cardinal s’appuie contre la rampe de l’escalier, leur regard ne se croise pas, Le Duc regarde légèrement son cousin descendre puis il fixe le public. Le Cardinal, quand à lui, ne fixe que Le Duc. Il tousse et s’adresse au Duc « vous croyez à cela, monseigneur ? « dit-il d’un ton suspect. Le Duc par cette question bizarre, tourne sa tête pour lui répondre qu’il voudrait bien savoir comment il n’y croirait pas. Le Cardinal se lève en même de dire ça réplique, il s’installe à côté du Duc et regarde lui aussi le public. Justement seul le public est au courant du stratagème de Lorenzo. Le Duc, pour lui répondre, le regarde dans les yeux et à la fin de « Vous figurez-vous qu’un Médicis se déshonore publiquement, par partie de plaisir ? « un rire moqueur lui-vient. Puis un soupire lui-vient à la fin de « D’ailleurs ce n’est (…) il n’a pu voir une épée «. Le Duc après avoir dit cela se dirige vers l’ouverture rouge, qui se trouve sur la terrasse. Il sort de la scène. Le Cardinal se retrouve seul sur scène, il dit de façon perplexe « c’est bien fort, c’est bien fort ! «. Il regarde une dernière fois le public avec un sourire et se dirige lui aussi à l’intérieur du Palais par l’ouverture. La scène s’éteint, il reste juste se rouge qui renvoie au sang et au côté diabolique de Lorenzo.  La scène est plus dans le noire, certaine partie du décor seront éclairé par moment comme la plaque transparente qui devient rouge quand on aborde le sujet du combat. La terrasse est éclairée grâce à la présence de projecteur qui suit les déplacements des personnages mais aussi grâce à l’ouverture rouge. Le noir et le rouge sont dominants, ils rappellent l’esprit troublé et la haine de Lorenzo. La mise en scène de cet extrait met en avant le double jeu de Lorenzo.   

musset

« se rapproche de Lorenzo comme pour l’affronter.

Il le regarde dans les yeux et l’insulte de « Chiens de Cour », celamontre son mépris envers Lorenzo (l.9 et 10).

Lorenzo pousse légèrement Le Cardinal en s’éloignant, et lui renvoieamusé « une insulte de prêtre doit se faire en latin » (l.11).Sire Maurice qui étais entrain de chuchoter quelque chose au Duc, s’arrête nette sur la colère et se retourne versLorenzo.

Il lui dit « Il s’en fait en toscan, auxquelles ont peut répondre » d’un ton agressif.

Par cette phrase ilinsinue que Lorenzo ne pourrais comprendre l’insulte en latin.

Lorenzo ironise en lui faisant croire qu’il ne l’avait pasvue, il lui montre bien qu’il se moque de ces paroles.

Il se rapproche de lui et dit « vous avez un bon visage » enmême temps de le lui tapoter.

Il passe sa main sur la tunique de Sire Maurice tout en faisant un geste comme s’ilessayait d’enlever une poussière, en lui disant « votre habit me parait tout neuf », puis il recule avec un petit rire.Sire Maurice pince les lèvres signe de colère et répond à la moquerie de Lorenzo (l.12 à 16).Lorenzo se retourne vers son cousin pour se moquer de Sire Maurice avec lui.

Sire Maurice qui commence à en avoirmarre des moqueries de Lorenzo et de sa supériorité, décide de le provoquer en duel.

La plaque transparente, àgauche du décor, s’allume d’une lumière rouge.

Au moment où il dit « à votre place, je prendrais une épée », il relèvesa tunique pour placer sa main sur son épée (l.17 à 21).

Lorenzo ne se laisse pas abattre par cette demande deduel et se défend en lui disant qu’il n’est pas un soldat (l.22 et 23).

Sire Maurice sort son épée et s’adresse àLorenzo.

Il lui dit « que son esprit est une épée acérée », En même temps de dire cela il place son épée à côté desa tête.

Il essuie son arme avec un foulard de soie et dit à Lorenzo d’un ton supérieur et sûr de lui que chacun faitusage de ses armes.

Pour Lorenzo c’est l’esprit et la parole qui sont ces armes alors que pour Sire Maurice son seulatout est son épée (l.24 et 25).Valori qui était resté de côté et proche de l’escalier, s’exclame stupéfier par le fait que Sire Maurice ose montrer sonarme devant Le Duc.

Il s’approche pour lui faire ranger cette arme mais se fait rattrapé à l’épaule par Le Duc qui luidit d’un air très calme de laisser faire.

Il s’adresse à Lorenzo, par la suite, en utilisant un surnom familier qui montresa sympathie envers son cousin mais cela le dévalorise aussi.

Après être d’accord avec la demande de duel, il claquedans ses mains en même temps qu’il demande qu’on lui apporte une épée pour son cousin (l.27 à 29).Lorenzo panique par le choix et la demande de son cousin.

Il se retourne vers celui-ci et ne rigole plus du tout.

Ceque remarque Le Duc, car il dit « ta gaieté s’évanouit si vite ? ».

Voyant que son cousin commence à se sentir pasbien, il le prend à part par les épaule et lui dit « tu fais honte au nom des Médicis.

Je ne suis qu’un bâtard, et je leporterais mieux que toi, qui es légitime.

» Puis il le relâche brusquement et crie « Une épée, une épée ! Un Médicisne se laisse point provoquer ainsi.

» (l.30 à 35).Quelqu’un amène une épée sur un cousin doré.

Le Duc la prend et la tend vers son cousin.

Lorenzo lui dit « SonAltesse se rit de moi », il ne croyait pas que son cousin allait vraiment lui donner une arme.

Il commence à s’affaiblirà la vue de cette épée si pointue.

Lorenzo, à ce moment, aggrave son jeu en jouant la comédie à fond.

Il seretourne et se mouille le front de gouttelettes d’eau obtenue grâce à une fiole qu’il avait dans sa poche, pour fairecroire qu’il est vraiment apeuré.

Il revient en face de ses confrères, qui n’ont rein remarqué de son stratagème, entremblant de partout.

Par cette attitude, Le Duc se moque ouvertement de son cousin, il se dirige vers sesconfrères et laisse Lorenzo seul contre eux.

Le Duc dit « Je crois qu’il va tomber ! ».

A ce moment, Lorenzo fait minede respirer avec une cadence accéléré et il se dirige vers la balustrade pour s’appuyer contre celle-ci mais iltrébuche avant même de l’atteindre.

Il reste couché parterre.La plaque transparente s’éteint.

Le Duc éclate de rire face à cette faiblesse et ne lui porte pas d’aide.

Sire Mauriceet Le Cardinal se mettent à rire avec lui.

Le Duc se reprend et en le montrant du doigt il dit « Quand je vous ledisais ! Personne ne le sait (…) une épée le fait trouvé mal ».

Quand il dit cela, il sort son épée pour jouer avec.

Il leconsidère comme une mauviette car il dit « chère Lorenzetta, fais-toi emporter chez ta mère ».

Le Duc utilise unsurnom efféminé qui appuie sa moquerie (l.36 à 44).Des hommes montent l’escalier pour porter Lorenzo et le ramener à l’intérieur du palais.

Quand ces hommes tiennentle corps de Lorenzo et qu’ils passent devant Sire Maurice, pour redescendre, celui-ci crie des injures à l’égard deLorenzo.

Le Duc tape Sire Maurice d’une légère claque sur la joue pour le punir de ces paroles à l’égard de soncousin.

Par ce geste il le défend.

Quand les hommes, qui portent toujours le corps, passent devant Valori, celui-ciressent de la compassion pour Lorenzo.

Les hommes descendent le corps suivit de Valori et de Sire Maurice qui estfrustré après avoir reçue cette légère claque.

Un projecteur les suit dans cette descente (l.

46 à 50).Le Duc et Le Cardinal sont seuls sur scène.

Le Duc s’appuie sur la balustrade pendant que Le Cardinal s’appuiecontre la rampe de l’escalier, leur regard ne se croise pas, Le Duc regarde légèrement son cousin descendre puis ilfixe le public.

Le Cardinal, quand à lui, ne fixe que Le Duc.

Il tousse et s’adresse au Duc « vous croyez à cela,monseigneur ? » dit-il d’un ton suspect.

Le Duc par cette question bizarre, tourne sa tête pour lui répondre qu’ilvoudrait bien savoir comment il n’y croirait pas.

Le Cardinal se lève en même de dire ça réplique, il s’installe à côtédu Duc et regarde lui aussi le public.

Justement seul le public est au courant du stratagème de Lorenzo.

Le Duc,pour lui répondre, le regarde dans les yeux et à la fin de « Vous figurez-vous qu’un Médicis se déshonorepubliquement, par partie de plaisir ? » un rire moqueur lui-vient.

Puis un soupire lui-vient à la fin de « D’ailleurs cen’est (…) il n’a pu voir une épée ».

Le Duc après avoir dit cela se dirige vers l’ouverture rouge, qui se trouve sur laterrasse.

Il sort de la scène.

Le Cardinal se retrouve seul sur scène, il dit de façon perplexe « c’est bien fort, c’estbien fort ! ».

Il regarde une dernière fois le public avec un sourire et se dirige lui aussi à l’intérieur du Palais parl’ouverture.

La scène s’éteint, il reste juste se rouge qui renvoie au sang et au côté diabolique de Lorenzo.La scène est plus dans le noire, certaine partie du décor seront éclairé par moment comme la plaque transparentequi devient rouge quand on aborde le sujet du combat.

La terrasse est éclairée grâce à la présence de projecteurqui suit les déplacements des personnages mais aussi grâce à l’ouverture rouge.

Le noir et le rouge sont dominants,ils rappellent l’esprit troublé et la haine de Lorenzo.

La mise en scène de cet extrait met en avant le double jeu deLorenzo.. »

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