Malabo

« Puis alors que Du Roy arrivait a la vie française il reçu un télégramme de Virginie Walter qui lui demandait de venir rue de Constantinople a deux heures car ellepouvait lui rendre un grand service.

Mais il en avait marre de cette « vielle » comme il disait, il ne l'aimait plus et quand il allait c'est avec Suzanne une des filles de lapatronne qu'il s'amusait.Cependant il se rendit au rendez-vous et elle lui dit qu'il pourrait gagner cinquante mille franc voir plus car la banque Walter avait racheter tout l'empreint du Maroc.Alors Mme Walter s'en alla, Du Roy fit de même et alla chercher des pâtisseries pour Mme De Marelle qui arrivait rue de Constantinople une heure plus tard.

Quandcelle-ci eu fini « ses bonbons » elle s'aperçu qu'il y avait des cheveux blancs dans les boutons, de la chemise de Georges.

Alors, fâchée elle partit.

Mais Du Roy nes'inquiétait guère car il savait qu'elle pardonnait vite.Plus tard il partit prendre des nouvelles de Vaudrec et il apprit que celui-ci était mourant et que l'on ne savait pas si il allait tenir la nuit.

Quand Georges annonça celaà sa femme elle se mit à pleurer puis elle s'en alla.

Quand elle revint vers minuit elle dit à Georges que le Comte de Vaudrec était mort.

Georges apprit que la fortunede Vaudrec s'élevait a un ou deux millions de francs.Le jour suivant les Du Roy allèrent à l'enterrement de leur ami puis quand ils arrivèrent chez eux le domestique présenta une lettre du notaire qui les invitaient apasser au sujet du testament de Vaudrec ce dernier léguait toute sa fortunes qui s'élevait a plus d'un million de francs à Madelaine .

Georges demanda quelques jourspour y réfléchir.

Et décida finalement de partager la fortune entre eux deux et d'en donner cent mille franc au neveux du compte.Comme il faisait beau à la sortie de l'étude Georges acheta un bracelet a sa femme et fit graver ses initiales sur un chronomètre qu'il convoitai depuis un certainmoment.Ultérieurement les Du Roy se rendirent dans la nouvelle demeure des Walter, qu'ils avait payés trois millions de francs, pour voir un tableau qu'ils avait payés cinqcents mille francs.

En effet les patrons, grâce au Maroc, avait gagner un peu plus de cinquante millions de francs.

Le tableau en question était : « Jésus marchant surles flots » de Karl Marcowitch.Durant la soirée Mme Walter lui donna sa part de bénéfice concernant l'affaire du Maroc et redevinrent juste ami, rien de plus.

Et quand Georges et sa femmerentrèrent chez eux elle lui remit la croix de la légion d'honneurs d la part de Laroche-Mathieu.Plus tard Du Roy fit surprendre le ministre des affaires étrangères en adultère avec sa femme par un commissaire.

Maintenant libre Georges et Suzanne s'avouèrentqu'ils s'aimaient, alors ils élaborèrent un plan qui consistait a enlever la fille des patrons jusqu'à ce qu'ils accepte d'accorder la main de celle-ci à Du Roy.

Et ils lefirent alors le protagoniste ramena la jeune fille à ces parents.Quand Mme de Marelle apprit que Georges et Suzanne allaient se marier elle fut prise d'une crise de folie alors son amant la frappa puis s'en alla la laissant seulallonger par terre.Après les échos et les article politiques Du Roy devînt rédacteur en chef tandis que Walter gardait son poste de directeur.Le mariage se déroula à l'église devant plus de deux mille personne. Personnages Georges Duroy, Protagoniste, fils d'aubergistes, l'amour lui fera connaître l'argent et la gloire.

Il changera son nom et deviendra donc Baron Du Roy de Cantel. Mme de Marelle ou Clotilde de Marelle, maîtresse de Georges tout au long du roman. Charles Forestier, ancien camarade de Duroy.

Journaliste. Mme Forestier ou Madeleine Forestier, deviendra la femme de Du Roy qu'elle trompera. M.

Walter, directeur du journal, puissant financier. Mme Walter ou Virginie Walter, sera maitresse de George pendent une partie du recit Laroche-Mathieu, ministre des Affaires étrangères, amant de Mme Du Roy. Norbert de Varenne, pessimiste, solitaire, hanté par la mort. Suzanne Walter, fille de M.

et Mme Walter, elle est décrite comme une « frêle poupée blonde, trop petite mais fine, avec la taille mince ».

Bel-Ami l'épouse à la findu roman. Laurine, fille de Mme de Marelle, qui donne à Georges Duroy le surnom de Bel-Ami.. »