Les travailleurs de la mer Victor Hugo

LIVRE PREMIER Chapitre un L’histoire se passe en hiver en Angleterre (XIX ème siècle) dans les îles de la Manche, le jour de Noël, « Christmas «. Trois personnages sont présentés : un enfant d’une huitaine d’années étonné de voir la neige, une jeune fille élégante qui s’appelle Déruchette et Gilliat un homme habillé très simplement avec des habits de tous les jours. La jeune femme écrit le prénom de l’homme dans la neige. Chapitre deux On nous décrit le village et la maison de Guilliat « Le bu de la rue «. C’est une maison très mal entretenue, on dirait qu’elle est abandonnée. Sa maison avait été visionnée, c’est à dire qu’on avait observé des apparitions, des phénomènes bizarres qui venaient du diable. On nous apprend aussi que les habitants de ce village sont des gens très superstitieux qui ont toujours eu peur du diable et que beaucoup de sorciers ont été brûlés pendant des siècles d’avant. Chapitre trois On apprend qu’une fille est arrivée un jour dans ce village avec un enfant : Guiliat. Elle acheta des biens dont la maison du « bu de la rue « qui était hantée. Comme elle était pauvre et la maison pas chère, donc elle l’acheta. Des qu’elle habita la maison, elle ne fut plus hantée. Elle vivait des vergers et des récoltes. Les deux vivaient isolés des autres habitants. Un jour, la mère mourut et l’homme resta seul. Il hérita de tous ses biens plus d’un coffre avec des vêtements magnifiques pour la future femme de Guilliat. Il devint solitaire et n’avait que la nature avec lui. Chapitre quatre Guiiliat n’etait pas aimé des habitants du village car il y a eu trop de mystères autour de lui, les livres qu’il lisait, sa solitude, son habillement et sa façon de vivre. Il y avait aussi un grand mystère : on croyait que c’était un sorcier. On pensait qu’il avait une des coquilles du roi des mers. Il parlait souvent aux jardiniers avec des proverbes pour leur donner des messages sur la récolte, la nature. Les gens s’apercevaient qu’il avait toujours raison. Toutes ses bonnes actions, même logiques et bonnes (comme l’eau, l’égout et l’étable) l’accusaient d’être un sorcier. Il était gentil avec les animaux et cela dérangeait les gens qui étaient eux, méchants, sans connaissance et sans culture. Chapitre cinq En général, on trouvait des qualités à Grilliat. Les gens se demandaient s’il était marcou ou cambion. En tout cas, il aidait les gens et guérissait les malades. Cependant, un jour il refusa de soigner les gens le soir du vendredi saint. A partir de ce moment-là, tous les gens le trouvèrent méchant. Chapitre six Guilliatt n’était pas laid du tout. C’était un homme de taille moyenne, fort mais très adroit. C’était un homme qui était passionné par la mer. Il pêchait mais ne chassait pas. Il était devenu un marin unique, capable de diriger le plus difficile des bateaux. Un jour, il acheta la panse, un bateau que personne ne pouvait conduire. Il avait tellement de qualités et si adroit qu’il était menuisier, ferron, calfat et mécanicien. Chapitre sept Guilliatt avait des idées bien précises sur beaucoup de sujets : la nature, l’eau, l’air….. On le trouvait bizarre car il analysait la vie, le sommeil, la nature… C’était un penseur et Guiliatt était considéré comme une personne qui entrait en communication avec l’infini. Chapitre huit On apprend que la maison de Guiliat a disparu. Elle a été démolie. Dans ce chapitre, on nous décrit les alentours de la maison. Il y avait une corne appelée la chaise Gild-Holm-Ur. Beaucoup de personnes sont mortes à cet endroit car ils étaient trop dans la beauté du paysage et quand la marée haute arrivait, ils mouraient noyés. Guilliatt adorait y aller mais lui ne s’est jamais fait prendre par la marée haute. Les gens trouvaient cela bizarre.