lecture analytique manon lescaut

Lecture Analythique n°7: Manon Lescaut, L'abbé PrévostIntro:La question du bonheur est au centre de toute préocupations, litt, phil, pol et soc au XVIII eme siècle. La vie aventureuse d'Antoine François Prévost semble l'expression même de cette quête. Tour à tour étudiant fugueur, bénidiction et historien érudit, soldat ou journaliste, amant passioné en frivole, c'est surtout dans son oeuvre de traducteur de Richardson et de romancier qu'il cherche à appréhender ce qu'est le bonheur. Il est proche du mouvement libertin car son thême de prédilection est la rencontre amoureuse. C'est le sujet de Manon lescaut en 1731 dans le 7 eme tome des Mémoires et Aventures d'un homme de qualité. Ce n'est qui lorsqu'il retrouve le héros, 2 ans plus tard à Calais, qu'il apprend le récit de leurs infortunes. Des Grieux devient alors narr. Il relate ici sa rencontre amoureuse avec la jeune fille.I/Un coup de foudre:a)Innatendu:-Rencontre qui a lieu par hasard;-Tout fait pour que les personnages soit seul, même le viel Augure qui a 1000 yeux dans la M;b)Rapide:-L'espace temps est extremement réduit, temps de décharger les bagages;-Les actions s'enchainent à un rythme particulièrement rapide,et se termine par un mensonge;c)Intense:-Le lexique est celui de la passion,D-G utilise une série d'hyperball, et des périphrases;-D-G fait alors songer aux preux chevaliers des romans courtois, D-G est un chevaliers, chps lexical du combat, idéalisation total de l'amour;II/Le poids de la fatalité:a)Une force qui dépasse le héros:-Le récit multiplie les allusions au destion, à la fatalité;-Ici cette force est celle de la passion amoureuse, D-G devient Cod sous l'emprise de l'amour;b)Une force contre laquelle il ne peut lutter:-D-G est littéralement sous le charme de M, il semble dépossedé de ses actes;-C'est ainsi que s'explique sa surprenante métamorphose, départ timide et sage,et après prend des initiatives;c)Une force qui le conduit vers sa chute:-En effet, dès sa rencontre, tout est grave, le registre est trajique, elle rentre du couvent contre son grès, même la détermination du jeune homme;-Cela est renforcé par le regard très lucide et forcément pathétique que le narrateur expérimenté porte sur la scène, une exclamation pathétique des le début, le narrateur à du recul et comprendre la rencontre est dramatique, la précocité de manon, ironie trajique