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Le "street Art" - phénomene

Publié le 28/03/2015

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  Le « Street Art » : L'Art de demain ?   Depuis toujours, les murs ont eu droit à la parole. Après avoir été mit de coté pendant de nombreuse année, le « Street Art » connu sous le nom « d'art urbain » ou « writing », revendique cette façon de s'exprimer de manière évolutif, aujourd’hui comme un mouvement artistique.     LES ORIGINES DU STREET ART:   A l'origine, le « Street Art », connu sous le nom « d'art urbain » ou « writing », cet art qui est né vers la fin des années 1960 aux États-Unis sous différents formes comme le graffitis, le tags, les collages etc. , dans le métro New-yorkais. A la base, un art considéré comme un vandalisme, cette façon de s'exprimer principalement intéresse la jeunesse et se revendique de manière évolutif comme un art qui a du mal à s’intégrer dans la société mais prend de plus en plus d'ampleur depuis la fin des années 2000. Dans les années 80, le graffiti se met en place en Europe,grâce notamment à un artiste aux œuvres démarquées qui dépassent les frontières, son identité reste inconnu , il se prénomme « Banksy ». Cet artiste britannique à permit à l'art urbain de s’élargir dans le monde et de s'imposer, en commençant par l'Allemagne de L'Ouest, dont certainement à inspirer les films Wild Style et Style Wars, deux films sortis au débuts des années 90. Berlin connu comme la « capitale du style » de l'art et de la liberté à joué un rôle important notamment au mur de Berlin qui à servit de mur d'expression de liberté et qui a été classé historique par ses nombreux artistes qui on été attiré par cet endroit. En 1981,  le centre Pompidou à Paris consacre la première exposition « Graffiti & Société », entièrement dédiée au « Street art » . A ce moment là, cet art commence à être apprécié pour ce qu’il est réellement. Des 1982, l'arrivée à Paris de l'américain « Bando », permet d'expérimenter « l'art des métros New-yorkais » UN ART QUI FAIT PARLER DE LUI : Dans un monde ou l'image envahie nos vies, elle est présente dans la vie privée mais aussi dans l'espace public. Effectivement, la ville est le lieu d'installation des images. La publicité est l'image la plus présente, mais elle n'est pas la seule, de plus en plus de formes ont prit place. Au détour d'une rue qui est à la base un espace de passage, les artistes de rues prennent possession des lieux de vie commun en manifestant une réel diversité de formes d'art urbains spontanées ou organisées : graffitis, happenings, stikers,distribution d'imprimés.. Le plus souvent qui est non autorisées ou illégales, ces créations urbaines suscitent pas mal de critiques mais ne restent pas inaperçu car il provoque le sourire ou une opposition, l'art urbain amène un jugement ou une certaine perception. Le « street art » provoque chez chacun des passeurs une interpellation et représente une prise de pouvoir des lieux. Comme des manifestants qui descendent dans les rues pour s'exprimer, les artistes de rues s'approprient les murs pour exprimer leur liberté d'expression à travers le dessin. Aujourd'hui le « street art » n'a plus les mêmes buts qu'auparavant , même si le principal reste le même : le refus du système. On voit d'autres nouvelles motivations prendre place sur les murs. Le « street Art » avec des nouvelles techniques et de nouvelles motivations transforme la ville en véritable musées à ciel ouvert aux yeux de tous. « J'ai découvert l'art urbain en prenant le RER, petit. Ce fut ma première approche. Pour moi le « Street Art» c'est l'art de rue. Ce que j'aime bien, c'est qu'il ya vraiment un message véhiculé et ce qui est intéressant, c'est qu'il ya maintenant une dimension politique et engagée. Mon histoire à démarré quand je suis passé dans un « skate shop » , j'ai eu un coup de foudre pour un gros tube; quand j'ai ouvert le bouchon, il y'avait une mèche et c'est parti ! J'ai commencé à tout taguer pour m'exprimer » Déclare John 25ans, un amateur d'art urbain.   « Je ne comprend pas quel est le but de dégradé la rue, ce n'est pas un art, l'art se trouve dans les musées et les galeries et non pas dans la rue. » S'exclame Christine 50ans, une passante qui donne son avis sur le sujet.   OUVERTURE VERS UN ART ENCORE DANS L'OMBRE: Aujourd'hui, on peut remarqué que dans le but de préserver le fait que cette pratique soit inégal certaines mairies s'ouvrent aux artistes urbains en mettant à dispositions des murs aux artistes inconnus, dédiés à cet art de rue. Le public est particulièrement accueillant face à ces projets qui ne font plus face au vandalisme. Des festivals sont également organisées tel que le festival « Cosmopolite » qui se déroule à Bagnolet à Paris depuis 2002 . La réalisation de la Tour Paris 13, action dans le milieu du « Street Art » créer récemment par Ben Medhi Cheick, galeriste de « Street art », avec l'aide de la mairie du 13éme, prend l'initiative de prendre en charge une tour voué à la destruction en faisant appel à plusieurs artistes du monde entier pour offrir à cette tour un dernier souffle. Et en ce moment même, du 5 octobre au 1er mars 2015, la fondation EDF consacre une exposition dédié au « Street Art », en réunissant l'histoire de cet art, les techniques et les artistes de demain. C'est finalement une manière d'intégrer le « Street Art » dans la société, de le mettre en avant en le faisant sortir de l'ombre et de le faire sortir de l'illégalité. L'art urbain cherche à s'intégrer dans la société. Malgré de nombreuses barrières qui bloquent encore l’évolution de cet art. On estime que ce qui se trouve dans les musées et dans les galeries caractérisent ce qu’est l'art. De plus, le fait que les inscriptions urbaines soit sanctionné par les autorités judiciaires et politiques ralentit le procédure d'insertion. Les avis sur ce phénomène sont partagé. l'intégration du « Street Art » à commencé, depuis déjà plusieurs années, et elle continuera à se développer grâce à une nouvelle génération.  

« exposition « Graffiti & Société », entièrement dédiée au « Street art » . A ce moment là, cet art commence à être apprécié pour ce qu'il est réellement.

Des 1982, l'arrivée à Paris de l'américain « Bando », permet d'expérimenter « l'art des métros New-yorkais » UN ART QUI FAIT PARLER DE LUI : Dans un monde ou l'image envahie nos vies, elle est présente dans la vie privée mais aussi dans l'espace public.

Effectivement, la ville est le lieu d'installation des images.

La publicité est l'image la plus présente, mais elle n'est pas la seule, de plus en plus de formes ont prit place.

Au détour d'une rue qui est à la base un espace de passage, les artistes de rues prennent possession des lieux de vie commun en manifestant une réel diversité de formes d'art urbains spontanées ou organisées : graffitis, happenings, stikers,distribution d'imprimés..

Le plus souvent qui est non autorisées ou illégales, ces créations urbaines suscitent pas mal de critiques mais ne restent pas inaperçu car il provoque le sourire ou une opposition, l'art urbain amène un jugement ou une certaine perception.

Le « street art » provoque chez chacun des passeurs une interpellation et représente une prise de pouvoir des lieux.

Comme des manifestants qui descendent dans les rues pour s'exprimer, les artistes de rues s'approprient les murs pour exprimer leur liberté d'expression à travers le dessin.

Aujourd'hui le « street art » n'a plus les mêmes buts qu'auparavant , même si le principal reste le même : le refus du système.

On voit d'autres nouvelles motivations prendre place sur les murs.

Le « street Art » avec des nouvelles techniques et de nouvelles motivations transforme la ville en véritable musées à ciel ouvert aux yeux de tous.

« J'ai découvert l'art urbain en prenant le RER, petit.

Ce fut ma première approche.

Pour moi le « Street Art» c'est l'art de rue.

Ce que j'aime bien, c'est qu'il ya vraiment un message véhiculé et ce qui est intéressant, c'est qu'il ya maintenant une dimension politique et engagée.

Mon histoire à démarré quand je suis passé dans un « skate shop » , j'ai eu un coup de foudre pour un gros tube; quand j'ai ouvert le bouchon, il y'avait une mèche et c'est parti ! J'ai commencé à tout taguer pour m'exprimer » Déclare John 25ans, un amateur d'art urbain.. »

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