Le signe instinctif est un signe adhérent, le signe intelligent est un signe mobile

THESE DE L’AUTEUR :

L’auteur du texte présente sa thèse à la dernière phrase de l’extrait. :

Le signe instinctif est un signe adhérent, le signe intelligent est un signe mobile. Où le signe instinctif fait référence au langage animal et le signe mobile ou intelligent au langage humain

L’auteur nous oppose deux idée . Il nous aborde en premier lieu, le langage animal et ses restriction pour ensuite nous étaler le mouvement du langage humain et ses capacité illimités. L’auteur utilise le connecteur (au contaire) …Au contraire, dans une société humaine… . pour nous montré les avantages du langage humain.

Dans la première partie du texte l’auteur fait référence au langage animal qui est un langage bien déterminé et fixe. Il utilise l’exemple du langage des fourmis qui est composé de dix à vingt « mots » et « phrases ¹ ce qui ne leurs permet pas de faire un changement dans leur sociétés ou les rôles et les taches sont bien déterminés.  Donc ce système de communication c’est l’instinct animal qui est médiateur de mouvement mais puisque il se restreint seulement à la survie et la recherche de nourritures,  il ne pourra pas évoluer et de se développer d’avantage

1-    Le mode de communication des fourmis est strictement mobiliser par l’instinct de survie  donc pas vraiment varié il ne possède que seulement 10 à 20  mots et phrases. http://delphiki.free.fr/fourmis/langage.htm

C’est le critère du langage animal dont l’auteur caractérise de « signe instinctif  est un signe adhérent »qui signifie que le signe ne peut se rattache qu’a une chose et ne peut t’être utilisé autrement.

Donc l’animal n’as aucune liberté face à ses agissements. Retournons aux fourmis dont l’auteur fait référence a leur organisation social dans laquelle existe que  trois classe sociale; les reines, les ouvrières et les mâles. L’auteur  dit dans le texte que chacun d’eux reste attaché a une certaine opération. Cela démontre que le langage animal se limite qu’aux tâches et aux rôles.  L’auteur nous oppose les limites du langage animal à ceux du langage humain ce dernier a un langage qui lui est propre

Dans la deuxième partie du texte l’auteur mentionne que le langage humain ne se restreint pas des choses tangible. Il fait référence à la multitude de rôle qu’on peut exercer cela ne dépend que de notre volonté. Si nous prenons les classes sociales et les rôles qu’elle renferme cela est beaucoup plus large que les classes des fourmis. Puisque le champ d’action est beaucoup plus vaste chez les humains, ils devront être dotés d’un langage plus diversifié et complexe afin d’attribuer une connotation a chaque chose. Les champs lexicale du langage humain ne doit pas être à l’ infini mais doit être capable de s’étalé au nombre de situation possible.  Ensuite l’auteur présent un exemple d’un petit qui apprend à parler. C’est l’intelligence des humains qui permet cette  mobilité du signe. Prenons l’exemple ou une maman montre un chat (animal a quatre pattes) et le lui nomme ensuite le petit aperçoit un chien et se met à prononcer le mot chat.

Cela montre que la nature humaine fait allusion au mouvement. La nature humaine est sans cesse en évolution, elle est  capable grâce à son intelligence de donner et de détacher une signification à un signe ou un objet et de lui attribuer une nouvelle définition. Le langage humain permet de faire d’un mot plusieurs significations comme le mot peinture qui peut à la fois faire référence au matériau pour peinturer et au résultat de l’action. Le langage humain s’adapte par ses tournures au différent signification donc un signe intelligent est un signe mobile. Le langage humain est un outil indispensable a l’évolution de l’homme.

Je pense que le langage est le propre de l’homme parce qu’il est entre autre un des critères de l’évolution et renferme les même caractères de la nature humaine qui est toujours en développement et prône le changement. Nous pouvons même toute au cours de l’évolution humaine suivre l’évolution du langage qui est passe du protolangage, le langage de nos ancêtres au langage d’aujourd’hui qui est riche et toujours ouvert a la mobilité.