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Le mot "digne" dans l'oeuvre de DESCARTES

Publié le 07/08/2010

Extrait du document

descartes

Règles pour la direction de l’esprit, #2#Règle première.

 mais si au milieu de nos travaux nous venons à y penser, il se peut faire qu’un peu de précipitation nous fasse négliger beaucoup de choses qui seraient nécessaires à la connaissance des autres, parce qu’au premier abord elles nous paraîtront ou peu utiles ou peu dignes de notre curiosité.

  Règles pour la direction de l’esprit, Règle quatrième.

 Mais, avant d’en sortir, je chercherai à rassembler et à mettre en ordre ce que j’ai recueilli de plus digne de remarque dans mes études précédentes, tant pour pouvoir les retrouver au besoin dans ce livre, à l’âge où la mémoire s’affaiblit, que pour en décharger ma mémoire elle-même, et porter dans d’autres études un esprit plus libre.

  DISCOURS DE LA METHODE, Première partie.

 et que même les histoires les plus fidèles, si elles ne changent ni n’augmentent la valeur des choses pour les rendre plus dignes d’être lues, au moins en omettent-elles presque toujours les plus basses et moins illustres circonstances, d’où vient que le reste ne paraît pas tel qu’il est, et que ceux qui règlent leurs moeurs par les exemples qu’ils en tirent sont sujets à tomber dans les extravagances des paladins de nos romans, et à concevoir des desseins qui passent leurs forces.

  DISCOURS DE LA METHODE, Troisième partie.

 Mais ayant le coeur assez bon pour ne vouloir point qu’on me prît pour autre que je étais, je pensai qu’il fallait que je tachasse par tous moyens à me rendre digne de la réputation qu’on me donnait ;

  LES METEORES, DISCOURS QUATRIEME, Des vents.

 Et je ne sache plus rien ici digne de remarque, sinon que presque tous les subits changements d’air, comme de ce qu’il devient plus chaud, ou plus rare, ou plus humide que la saison ne le requiert, dépendent des vents :

  LES METEORES, DISCOURS HUITIEME, DE L’ARC-EN-CIEL.

 Ce qui est digne d’être remarqué, parce que, par là, on peut démontrer que la réfraction de l’eau ne peut être moindre, ni plus grande que je la suppose ;

  L’HOMME.

Mais l’effet de la mémoire qui me semble ici le plus digne d’être considéré consiste en ce que, sans qu’il y ait aucune âme dans cette machine, elle peut naturellement être disposée à imiter tous les mouvements que de vrais hommes, ou bien d’autres semblables machines, feront en sa présence.

  MEDITATIONS METAPHYSIQUES, REPONSES DE L’AUTEUR AUX SECONDES OBJECTIONS.

 et je ne puis que je me réjouisse non seulement de ce que vous avez jugé mes raisons dignes de votre censure, mais aussi de ce que vous n’avancez rien contre elles à quoi il ne me semble que je pourrai répondre assez commodément.

Au reste, j’ai beaucoup à vous remercier de ce que vous avez daigné si officieusement, et avec tant de franchise, m’avertir non seulement des choses qui vous ont semblé dignes d’explication, mais aussi des difficultés qui pouvaient m’être faites par les athées, ou par quelques envieux et médisants.

  MEDITATIONS METAPHYSIQUES, RÉPONSES AUX CINQUIEMES OBJECTIONS, DES CHOSES QUI ONT ÉTÉ OBJECTÉES CONTRE LA SECONDE MÉDITATION.

 Ce qui certes est digne de vous, ô chair, et de tous ceux qui, ne concevant rien que fort confusément, ne savent pas ce que l’on doit rechercher de chaque chose.

  MEDITATIONS METAPHYSIQUES, RÉPONSES AUX CINQUIEMES OBJECTIONS, DES CHOSES QUI ONT ÉTÉ OBJECTÉES CONTRE LA TROISIEME MÉDITATION.

 Certes, il semble que vous seriez alors plus digne de risée que de réponse.

  MEDITATIONS METAPHYSIQUES, RÉPONSES AUX CINQUIEMES OBJECTIONS, DES CHOSES QUI ONT ÉTÉ OBJECTÉES CONTRE LA SIXIEME MÉDITATION.

 et enfin cela ne peut être digne que de vous, ô chair, de penser que “   les idées de Dieu, de l’ange et de l’âme de l’homme soient corporelles ou quasi corporelles, ayant été tirées de la forme du corps humain et de quelques autres choses fort simples, fort légères et fort imperceptibles “  , Car quiconque se représente Dieu de la sorte ou même l’esprit humain, tâche d’imaginer une chose qui n’est point du tout imaginable, et ne se figure autre chose qu’une idée corporelle à qui il attribue faussement le nom de Dieu ou d’esprit ;

  LES PRINCIPES DE LA PHILOSOPHIE, PREMIERE PARTIE, Art. 37.

 en sorte que nous soyons tellement les maîtres de nos actions, que nous sommes dignes de louange lorsque nous les conduisons bien :

  LES PASSIONS DE L’AME, SECONDE PARTIE, ARTICLE 62.

Mais lorsqu’il nous est représenté comme appartenant à d’autres hommes, nous pouvons les en estimer dignes ou indignes ;

 et lorsque nous les en estimons dignes, cela n’excite point en nous d’autre passion que la joie, en tant que c’est pour nous quelque bien de voir que les choses arrivent comme elles doivent.

  LES PASSIONS DE L’AME, SECONDE PARTIE, ARTICLE 70.

 Ainsi elle est causée premièrement par l’impression qu’on a dans le cerveau, qui représente l’objet comme rare et par conséquent digne d’être fort considéré ;

  LES PASSIONS DE L’AME, TROISIEME PARTIE, ARTICLE 164.

 Au contraire, ceux qui ont l’esprit bas et faible sont sujets à pécher par excès, quelquefois en ce qu’ils révèrent et craignent des choses qui ne sont dignes que de mépris, et quelque fois en ce qu’ils dédaignent insolemment celles qui.

  LES PASSIONS DE L’AME, TROISIEME PARTIE, ARTICLE 178.

La dérision ou moquerie est une espèce de joie mêlée de haine, qui vient de ce qu’on aperçoit quelque petit mal en une personne qu’on pense en être digne.

 On a de la haine pour ce mal, et on a de la joie de le voir en celui qui en est digne.

 car, s’il est grand, on ne peut croire que celui qui l’a en soit digne si ce n’est qu’on soit de fort mauvais naturel ou qu’on lui porte beaucoup de haine.

  LES PASSIONS DE L’AME, TROISIEME PARTIE, ARTICLE 179.

 Car, désirant voir tous les autres aussi disgraciés qu’eux, ils sont bien aises des maux qui leur arrivent, et ils les en estiment dignes.

  LES PASSIONS DE L’AME, TROISIEME PARTIE, ARTICLE 182.

 Car pour ceux de l’âme ou même du corps, en tant qu’on les a de naissance, c’est assez en être digne que de les avoir reçus de Dieu avant qu’on fût capable de commettre aucun mal.

  LES PASSIONS DE L’AME, TROISIEME PARTIE, ARTICLE 183.

 Même lorsqu’on désire pour soi le même bien et qu’on est empêché de l’avoir, parce que d’autres qui en sont moins dignes le possèdent, cela rend cette passion plus violente, et elle ne laisse pas d’être excusable, pourvu que la haine qu’elle contient se rapporte seulement à la mauvaise distribution du bien qu’on envie, et non point aux personnes qui le possèdent ou le distribuent.

 Mais il y en a peu qui soient si justes et si généreux que de n’avoir point de haine pour ceux qui les préviennent en l’acquisition d’un bien qui n’est pas communicable à plusieurs, et qu’ils avaient désiré pour eux-mêmes, bien que ceux qui l’ont acquis en soient autant ou plus dignes.

  LES PASSIONS DE L’AME, TROISIEME PARTIE, ARTICLE 191.

 ce qui est en eux une imperfection digne de pitié.

  LES PASSIONS DE L’AME, TROISIEME PARTIE, ARTICLE 195.

 Car on n’est indigné que contre ceux qui font du bien ou du mal aux personnes qui n’en - sont pas dignes, mais on porte envie à ceux qui reçoivent ce bien, et on a pitié de ceux qui reçoivent ce mal.

 Il est vrai que c’est en quelque façon faire du mal que de posséder un bien dont on n’est pas digne.

  LES PASSIONS DE L’AME, TROISIEME PARTIE, ARTICLE 206.

 Il est seulement besoin d’instruire son jugement touchant ce qui est véritablement digne de blâme ou de louange, afin de n’être pas honteux de bien faire, et ne tirer point de vanité de ses vices, ainsi qu’il arrive à plusieurs.

  LES PASSIONS DE L’AME, TROISIEME PARTIE, ARTICLE 210.

 mais il me semble que ce dénombrement a été utile pour faire voir que nous n’en omettions aucune qui fût digne de quelque particulière considération.

  Correspondance, année 1630, A Monsieur *** (ISAAC BEECKMAN), 17 octobre 163O.

 car si, par exemple, un misérable gueux, pour avoir amassé quelques écus en quémandant de porte en porte, s’imaginait qu’on lui dût rendre pour cela de grands honneurs, certainement il serait digne de la risée de tout le monde.

 Mais tant s’en faut que ces choses-là soient dignes de quelque louange, qu’au contraire plus leurs possesseurs les estiment, et plus ils prennent de soin à les conserver, plus aussi ils s’exposent à la risée, et attirent la commisération de tout le monde.

 Que si, après cela, vous le voyiez continuellement attaché à cette cassette, appréhender les voleurs, et être en souci et chagrin de peur de perdre ses richesses qui lui sont inutiles, pour lors, mettant la raillerie à part, ne le jugeriez-vous pas tout à fait digne de compassion ?

 C’est pourquoi je me contenterai ici de vous avertir que si vous aimez les louanges, vous fassiez des choses dignes d’être louées, et qui soient telles que vos ennemis mêmes soient contraints de les approuver.

  Correspondance, année 1634, Au R. P. MERSENNE, 10 janvier 1634. (Les éditions contemporaines datent cette lettre d’avril 1634.).

 ce qui peut sembler fort incroyable à plusieurs, mais je ne le juge pas impossible, et je crois que c’est une chose très digne d’être examinée.

  Correspondance, année 1638, REPONSE DE Monsieur DESCARTES, 12 janvier 1638 (Les éditions contemporaines datent cette lettre de mars, avril ou mai 1638).

 Mais il n’y a point, ce me semble, de plus digne occupation pour un philosophe, que de s’accoutumer à croire ce que lui dicte la vraie raison, et à se garder des fausses opinions que ses appétits naturels lui persuadent.

  Correspondance, année 1638, Au R. P. MERSENNE, 8 octobre 1638. (Les éditions contemporaines retiennent comme date le 11 octobre 1638).

 outre qu’étant joints ensemble, ils ne feraient qu’un livre digne d’être couvert de papier bleu.

 a fait le semblable, sinon qu’il est encore plus médisant, et plus digne de ce à quoi Monsieur d’Igby condamnait l’autre :

  Correspondance, année 1638, AU R. P. MERSENNE, 24 février 1638. (Les éditions contemporaines datent cette lettre du 1er mars 1638).

 mais s’ils avaient changé quelque c ose dans le mien (de quoi je ne veux pas les accuser) ils seraient faussaires, et dignes d’infamie et de risée J’envoie ma réponse à Monsieur Mydorge, et je l’ai enfermée avec la lettre que je lui écris, afin que, si vous craignez qu’ils trouvassent mauvais que vous lui eussiez fait voir plutôt qu’à eux, vous puissiez par ce moyen vous en excuser.

  Correspondance, année 1638, A Monsieur *** (POLLOT), 26 février 1638. (Les éditions contemporaines datent cette lettre du 12 février 1638).

Ayant vu plusieurs marques de votre bienveillance, tant dans la lettre que Monsieur R a reçue ici de votre part, que dans une autre que vous m’avez fait l’honneur de m’écrire l’été dernier, avant le siège de Bréda je pense être obligé de vous en remercier par celle-ci, et de vous dire que j’estime si fort les personnes de votre mérite, qu’il n’y a rien en mon pouvoir que je ne fasse très volontiers, pour tâcher à me rendre digne de votre affection.

  Correspondance, année 1641, Au R. P. MERSENNE, 5 août 1641 ( Les éditions contemporaines datent cette lettre de septembre 1641.).

J’admire que vous vous soyez avisé de m’envoyer une des lettres de feu Monsieur N après sa mort, vu que vous ne les aviez pas jugées dignes que je les visse pendant sa vie.

  Correspondance, année 1642, A Monsieur REGIUS, 8 avril 1642. ( Les éditions contemporaines datent cette lettre d’avril 1642 sans préciser de jour.).

 Tant que vous vous comporterez de la sorte, si les choses que vous avez enseignées jusqu’ici sont dignes d’être apprises, et que vous trouviez des disciples dignes de les apprendre, je suis sûr qu’en peu de temps vous aurez toute permission de les enseigner publiquement à Utrecht ou ailleurs avec plus d’honneur que vous n’avez eu encore ;

  Correspondance, année 1644, AU R. P. CHARLET, JESUITE, 18 décembre 1644. (Les éditions contemporaines datent cette lettre du 9 février 1645.).

 et, outre cela, le chemin que j’ai pris, en publiant une nouvelle philosophie, fait que je puis recevoir tant d’avantage de leur bienveillance, et, au contraire, tant de désavantage de leur froideur, que je crois qu’il suffit de connaître que je ne suis pas tout à fait hors de sens, pour assurer que je ferai toujours tout mon possible, pour me rendre digne de leur faveur.

  Correspondance, année 1646, A Monsieur CHANUT, 6 mars 1646.

 Je ne sais si vous en trouvez beaucoup aux lieux où vous êtes, qui soient dignes de la vôtre ;

  Correspondance, année 1647, A Monsieur CHANUT, 1er février 1647.

 et même il arrive quelquefois que ce sentiment d’amour se trouve en nous, sans que notre volonté se porte à rien aimer, à cause que nous ne rencontrons point d’objet que nous pensions en être digne.

 car il y a une telle liaison entre l’une et l’autre, que, lorsque l’âme juge qu’un objet est digne d’elle, cela dispose incontinent le coeur aux mouvements qui excitent la passion d’amour, et lorsque le coeur se trouve ainsi disposé par d’autres causes, cela fait que l’âme imagine des qualités aimables en des objets, où elle ne verrait que des défauts en un autre temps.

 Mais je dirai seulement que ce sont ces sentiments confus de notre enfance, qui, demeurant joints avec les pensées raisonnables par lesquelles nous aimons ce que nous en jugeons digne, sont cause que la nature de l’amour nous est difficile à connaître.

  Correspondance, année 1647, A MADAME ÉLISABETH, PRINCESSE PALATINE, etc, 6 juin 1647.

 Et la façon dont il décrit cette reine, avec les discours qu’il rapporte d’elle, me la font tellement estimer, qu’il me semble que vous seriez dignes de la conversation l’une de l’autre ;

 et qu’il y en a si peu au reste du monde qui en soient dignes, qu’il ne serait pas malaisé à votre altesse de lier une fort étroite amitié avec elle, et qu’outre le contentement d’esprit que vous en auriez, cela pourrait être à désirer pour diverses considérations.

  Correspondance, année 1648, MADAME ÉLISABETH, PRINCESSE PALATINE, etc, 1er octobre 1648.

 Je n’y ai vu personne dont il m’ait semblé que la condition fût digne d’envie, et ceux qui y paraissent avec le plus d’éclat m’ont semblé être les plus dignes de pitié.

  Correspondance, année 1649, A LA REINE DE SUÈDE, Les éditions contemporaines datent cette lettre du 26 février 1649.

 Mais je me reconnais si peu digne des remerciements qu’elle contient, que je ne les puis accepter que comme une faveur et une grâce, dont je demeure tellement redevable que je ne m’en saurais jamais dégager.

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« doit rechercher de chaque chose. MEDITATIONS METAPHYSIQUES, RÉPONSES AUX CINQUIEMES OBJECTIONS, DES CHOSES QUI ONT ÉTÉ OBJECTÉES CONTRE LA TROISIEME MÉDITATION. Certes, il semble que vous seriez alors plus digne de risée que de réponse. MEDITATIONS METAPHYSIQUES, RÉPONSES AUX CINQUIEMES OBJECTIONS, DES CHOSES QUI ONT ÉTÉ OBJECTÉES CONTRE LA SIXIEME MÉDITATION. et enfin cela ne peut être digne que de vous, ô chair, de penser que “ les idées de Dieu, de l'ange et de l'âme de l'homme soientcorporelles ou quasi corporelles, ayant été tirées de la forme du corps humain et de quelques autres choses fort simples, fortlégères et fort imperceptibles “ , Car quiconque se représente Dieu de la sorte ou même l'esprit humain, tâche d'imaginer unechose qui n'est point du tout imaginable, et ne se figure autre chose qu'une idée corporelle à qui il attribue faussement le nom deDieu ou d'esprit ; LES PRINCIPES DE LA PHILOSOPHIE, PREMIERE PARTIE, Art.

37. en sorte que nous soyons tellement les maîtres de nos actions, que nous sommes dignes de louange lorsque nous les conduisonsbien : LES PASSIONS DE L'AME, SECONDE PARTIE, ARTICLE 62. Mais lorsqu'il nous est représenté comme appartenant à d'autres hommes, nous pouvons les en estimer dignes ou indignes ; et lorsque nous les en estimons dignes, cela n'excite point en nous d'autre passion que la joie, en tant que c'est pour nous quelquebien de voir que les choses arrivent comme elles doivent. LES PASSIONS DE L'AME, SECONDE PARTIE, ARTICLE 70. Ainsi elle est causée premièrement par l'impression qu'on a dans le cerveau, qui représente l'objet comme rare et par conséquentdigne d'être fort considéré ; LES PASSIONS DE L'AME, TROISIEME PARTIE, ARTICLE 164. Au contraire, ceux qui ont l'esprit bas et faible sont sujets à pécher par excès, quelquefois en ce qu'ils révèrent et craignent deschoses qui ne sont dignes que de mépris, et quelque fois en ce qu'ils dédaignent insolemment celles qui. LES PASSIONS DE L'AME, TROISIEME PARTIE, ARTICLE 178. La dérision ou moquerie est une espèce de joie mêlée de haine, qui vient de ce qu'on aperçoit quelque petit mal en une personnequ'on pense en être digne. On a de la haine pour ce mal, et on a de la joie de le voir en celui qui en est digne. car, s'il est grand, on ne peut croire que celui qui l'a en soit digne si ce n'est qu'on soit de fort mauvais naturel ou qu'on lui portebeaucoup de haine. LES PASSIONS DE L'AME, TROISIEME PARTIE, ARTICLE 179. Car, désirant voir tous les autres aussi disgraciés qu'eux, ils sont bien aises des maux qui leur arrivent, et ils les en estimentdignes. LES PASSIONS DE L'AME, TROISIEME PARTIE, ARTICLE 182. Car pour ceux de l'âme ou même du corps, en tant qu'on les a de naissance, c'est assez en être digne que de les avoir reçus de. »

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