La ville, ce grand rassemblement d'hommes est aussi le lieu où l'homme est le plus isolé.
Publié le 29/07/2010
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La ville, comme on la connait aujourd'hui, est un nouveau concept. On a tout d'abord connut une croissance démographique exponentielle, grâce à la diversité de l'emploi qui s'est accrue avec la mondialisation. C'est celle-ci qui a permise à l'homme de ne plus vivre seulement de l'agriculture. Mais ce n'est pas pour autant que nous sommes moins seul tout au contraire, la ville d'aujourd'hui peut nous donner le sentiment d'isolement et d'une perte de tous repères due à son immense ampleur. Au IIe siècle, quand la superficie de l'Empire romain est à son maximum, Rome qui était la plus grande ville du monde méditerranéen, comptais un million d'habitants(argument: les données chiffrées). Aujourd'hui, une ville comme Paris, Tokyo, Rome, ou encore New York compte plus de deux million d'habitants. On peut donc dire que la ville est un grand rassemblement d'hommes sans cesse en train de croître. On peut expliquer cela par l'exode rural ou par la capacité à accueillir des gens qui augmente continuellement grâce aux progrès technologique. Ces progrès ont aussi permis une évolution fulgurante grâce aux nouvelles machines qui produisent plus, aux transports qui permettent de relier toutes les villes de la planète et à la condition de vie qui s'est amélioré grâce à l'augmentation du pouvoir d'achat et donc de la consommation. La ville a été façonnée par l'homme de a à z, comme William Cowperle dit « Dieu a fait la campagne et l'homme a fait la ville. «(argument d'autorité) Ensuite, si l'homme est plus isolé, cela est du à l'individualisme qui règne à l'heure actuelle. Tout le monde se bat pour son confort personnel au détriment des autres. La solidarité a presque disparue car il ne faut pas en faire une généralité. Mais c'est vrai que la pression et la tension subites au travail comme le travail à la chaîne, une invention du 20eme siècle, ne font qu'enfoncer les choses. De plus aujourd'hui, le divertissement est en grande partie composé de loisirs solitaires comme la TV, l'ordinateur, ... De plus, les jeunes n'ont plus beaucoup d'espaces verts pour s'amuser, donc ils se retournent vers les jeux vidéos qui développent la violence et ne favorise aucunement l'isolement et les vraies valeurs. Pour en revenir aux ordinateurs, certains vont dire qu'ils « chattent « avec. Mais c'est virtuel, cela ne vaut donc pas une vrai discussion d'homme à homme ou l'on ne peut tromper son interlocuteur car on est face à lui et non cacher derrière un écran. Cependant, étant donné que la ville compte un nombre invraisemblable d'habitants, elle permet dès lors la rencontre entre individus et la possibilité de se rassembler. Le fait d'isoler l'homme devient alors contradictoire. L'isolation est alors déterminée par chacun et non par son environnement. Car l'homme est libre de ses choix, de tracer sa route, de s'isoler ou de s'intégrer au sein de la société. Mais pour cela, il faut se socialiser car ce n'est pas la société qui s'adapter à nous mais bien l'inverse. En sachant, qu'en ville la population est immense, il est beaucoup plus aisé de se sociabiliser que dans un environnement plus restreint ou moins densément peuplé. Car au plus il y a de monde au plus il y a de personnes ayant des atomes crochus avec nous. Si aujourd'hui le divertissement peut être solitaire, il en existe plein qui favorise la rencontre comme les concerts, les sports collectifs, les discothèques, ... Il dépend donc à chacun de choisir sa voie, pour s'isoler ou faire des rencontres. Et si il faut commencer par des rencontres sur l'ordinateur, ce n'est pas un problème tant que cela n'en reste pas là. Car aujourd'hui, l'ordinateur est l'un des moyens de communication les plus utilisés et peu permettre a son utilisateur d'apprendre à connaître des gens qui lui serait impossible dans la vie réelle. Aujourd'hui, les villes grandissent de façon exponentielle comparé aux villages qui stagnent. Puisque ce sont-elles qui gèrent l'économie qui régit le monde actuelle, mais aussi la politique, la production, ... C'est donc normal qu'elles aient besoin de mains d'œuvre pour tout faire fonctionner. Mais cette main d'œuvre est libre et protéger grâce à des lois. Donc leur sort est entre leurs mains et c'est à chacun de faire un pas vers les autres pour s'intégrer. Pour cela, il y a pleins d'activités qui le permettent et d'autres qui vont à l'encontre. Donc il faut faire les bons choix et ne pas se renfermer dans son petit confort. Car seul dans son habitation, on a pas beaucoup de chances de rencontrer du monde. En somme, je pense que dans une ville, on peut vite s'y perdre je l'ai moi même vécu il y a deux ans, heureusement j'ai su remonté la pente (argument: le témoignage:. Mais c'est à chacun de faire tout ce qui est en son pouvoir pour ne pas s'écarter et sombrer. Je pense aussi que la ville permet d'avoir le choix car il y a toutes les genres d'individus, et cela facilite donc la tâche mais il faut aller vers les autres, cela ne va pas se faire tout seul. Donc pour moi tout le monde est capable de faire ce qu'il veut en ville grâce à l'immense diversité contrairement aux petits villages où on a pas le choix. Pour conclure, je dirais que oui, la ville est un rassemblement d'hommes mais que ce n'est pas spécialement là que l'homme est le plus isoler. C'est l'homme qui décide de son isolation ou de son ouverture aux autres et peu importe ou l'on est cela ne changera pas. Mais c'est vrai quand ville on ne vous aidera pas forcément et c'est vous qui devrez vous prendre en mains contrairement aux petits villages ou il n'y a pas le choix on fait comme les autres puisqu'il n'y a pas autant de différentes possibilités d'agir.
Liens utiles
- Yellowknife (« Couteau jaune », en anglais), ville du Canada, chef-lieu des Territoires du Nord-Ouest, sur la rive septentrionale du Grand Lac des Esclaves.
- « Non, brigadier, répondit cet homme ; mais, ce matin, une heure après avoir quitté la ville, j'ai aperçu deux hommes qui venaient de prendre pied sur la pointe du canal de Lème.
- parente à elle qui, étonnamment, était assez âgée pour avoir connu mon grand-père quand il vivait encore dans la ville ; un homme qui avait été le voisin de Shmiel.
- Un critique contemporain écrit : « ... la cité où Ton erre est devenue le décor où l'homme inscrit sa démarche questionnante. La rue, les parcs et les circuits que la ville propose à la conscience en quête sont le lieu privilégié de cette quête-erreur, perdition ou trouvaille. » L. Janvier, Pour Samuel Beckett.
- Paul Valéry écrit dans le Préambule pour le Catalogue