La philosophie doit-elle être un objet de crainte pour les pouvoirs en place ?
Publié le 24/06/2009
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• Il n'y a que « la vérité qui blesse «. Cet adage bien connu peut tout à fait s'appliquer à la philosophie. Sa volonté de vérité, son soucis de justice vont souvent à rencontre de l'intérêt des pouvoirs en place, que ces pouvoirs soient religieux, politiques, économiques, et maintenant médiatiques. La vérité est dangereuse parce qu'elle va bien souvent à rencontre de convictions que personne ne souhaite remettre en cause. • Socrate est la première victime de cette lutte de la vérité contre les dogmes établis. Il a payé de sa vie le fait de ne pas croire que les planètes sont des divinités. Voltaire a passé six mois de sa vie en prison, Rousseau, Marx, Freud, pour ne citer que quelques noms, ont dû s'exiler pour échapper à des représailles politiques.
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- Ferdinand Alquié vous semble-t-il avoir bien défini l'amour surréaliste quand il écrit : « L'amour, entendons l'amour passion, prend d'emblée, dans les préoccupations surréalistes, la première place. En lui se retrouvent tous les prestiges de l'Univers, tous les pouvoirs de la conscience, toute l'agitation du sentiment: par lui s'effectue la synthèse suprême du subjectif et de l'objectif, et nous est restitué le ravissement que les déchirements surréalistes semblaient rendre impossible
- Ferdinand Alquié vous semble-t-il avoir bien défini l'amour surréaliste quand il écrit : «L'amour, entendons l amour passion, prend d'emblée, dans les préoccupations surréalistes, la première place. En lui se retrouvent tous les prestiges de l'Univers, tous les pouvoirs de la conscience, toute l'agitation du sentiment ; par lui s'effectue la synthèse suprême du subjectif et de l'objectif, et nous est restitué le ravissement que les déchirements surréalistes semblaient rendre impossible
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