La mondialisation, un monde de flux ?

L’évolution importante des échanges caractérisés par un « trend « exprime bien la progression continue du phénomène de mondialisation.

Plus le temps avance, plus il est possible de remarquer que les échanges internationaux ont crû de façon spectaculaire ; ceux ci sont d’ailleurs caractérisés par des flux. On peut alors classer ces flux ; en effet, certains sont invisibles tandis que d’autres sont pour autant bien visibles.

On  distingue alors les personnes et les marchandises qui sont présents au sein des flux migratoire et commerciaux. Ceux-ci ce caractérise par l’essore de transport maritime (pour les marchandise) et de trafic aérien (pour les hommes). Des réseaux de transport sont alors mis en place pour faciliter les déplacements sur la surface du globe. On remarque alors des plates formes portuaires tel que Shanghai en Asie. Puis des plateformes aériennes comme Londres.

Face à cela, il existe des flux aussi importants qui permettent de maintenir les capitaux et de transmettre des informations par le biet d’internet. Ce sont donc des flux financiers et informatifs. Ils ont la particularité d’être eux invisible et donc fictif d’une certaine manière. Le réseau internet est le plus important entre les pays du Nord. Cela implique alors la notion de pole émetteurs et récepteurs. De même, les manipulations de capitaux se font majoritairement dans des pays développés.

Malgré l’importance que joue tous ces flux à travers le monde il est important de signaler que ceux ci se font et ne sont dirigés que  dans un petit nombre de lieux très restreint. Pour exemples, quinze états réalisent 70% des transports mondiaux à eux seuls.

A l’échelle mondial, on peut présenter deux pôles étant à la tête des flux : les pôles majeurs représentés par des pays du Nord composant la triade. Et quelques pôles secondaires composés de pays du Sud en développement tel que l’Amérique latine. Cependant les écarts entre le Nord et le Sud se font de plus en plus et de nombreux pays du Sud se restreignent encore à la simple exportation de matière première.

Au niveau des états, on peut remarquer la naissance de hub sur tous les niveaux de transport. Ces plates formes favorisent alors les échanges entre les grandes métropoles permettant l’évolution du processus de mondialisation grâce a ces multiples flux comme ci dessus.

Les échanges sont donc bien le principe même de la mondialisation. Mais cela implique que des espaces soient inclus dans le processus tandis que d’autres s’en trouve exclut. Révélant alors de forts contrâtes et inégalités au sein d’un projet dit  « mondial «.