La Guerre de Troie n'aura pas lieu

La guerre de Troie n’aura pas lieu           Pour Hector la guerre était un moyen pour montrer qu’on est brave, pour montrer la guerre est chevaleresque. Hector dit que son fils sera lâche car il ne fera pas la guerre, ne pas faire la guerre veut dire qu’on est lâche. Tout était fait pour montrer que la guerre est une noble cause : « Le galop nocturne des chevaux, le bruit de la vaisselle à la fois et de soie que fait le régiment d’hoplites se frottent contre votre tente, le cri du faucon au-dessus de la compagnie étendue et aux aguets, tout avait sonné jusque-là si juste, si merveilleusement juste… « Pour Hector, la guerre est impitoyable car à la guerre, il n’a pas le choix de tuer son adversaire ; il dit : « Puis l’adversaire arrive, écumant, terrible. On à pitié de lui, on voit en lui, derrière sa bave et ses yeux blancs, toute l’impuissance et tout le dévouement du pauvre fonctionnaire humain qu’il est, du pauvre mari et gendre, du pauvre cousin germain, du pauvre amateur de raki et d’olives qu’il est. On a de l’amour pour lui. On aime sa verrue sur sa joue, sa tatie dans son œil. On l’aime…Mais il insiste…alors on le tue. La guerre est également montrer comme horrible ; Hector dit : « Mis de cette minute, rien n’est demeuré de la résonnance parfaite. Ma lance qui a glissé contre mon bouclier a soudain sonné faux, et le choc du tué contre la terre, et,  quelques heures plus tard, l’écroulement des palais. Et la guerre d’ailleurs a vu que j’avais compris. Et elle ne se gênait plus…Les cris des mourants sonnaient faux…J’en suis là.12 « Il est également montrer que la guerre est injuste car une guerre est déclenchée entre les Troyens et les Grecs pour une femme. En effet, Pâris à enlever Hélène et refuse de la rendre aux Grecs provoquant ainsi une et mettant en danger la vie de beaucoup de personnes. La ville brûle d’un rouge vif Vous voyez le cadavre de pâris trainé derrière un char ? Je vois en effet un morceau d’aurore qui roule  dans la poussière.. Vousle voyez le groupe  Andromaque pleurant sur le corps d’hector « Il ya un fils entre la mère et le père étendu «  « Oui..Il joue avec les cheveux emmêlés du père.. « Plus rien ! Plus rien que des cendres de tous ces incendies, l’émeraude  et l’or en poudre ! « Hector parlant aux soldats presque mort, qui disposait d’un reste d’ouie et du regard, sur le chant de bataille ; à l’éventré dont les prunelles tournaient déjà il à dit : « Eh bien mon vieux, ça ne vas pas si mal que ça… « ; à celui dont la massue avait ouvert en deux le crâne : « ce que tu peux être laid avec ce nez fendu ! « ; a son petit écuyer dont le bras gauche pendait et dont fuyait le dernier sang : « Tu as de la chance de t’en tirer avec le bras gauche… «