La Chanson du Mal-Aimé - Cinq dernières strophes

Problématique : de la douleur à la renaissance

I L’espace et le temps dans un poème narratif

1La ville, Paris, lieu de la douleur et de la vie

-         Mon beau Paris, un lieu de la nostalgie et de l’errance ; La ville du désespoir sentimental comme Londres

-         Une ville de la modernité et de la transe

-         Juin, d’avril à juin : de l’hiver du passé, au printemps, vers le début de l’été, le mitan de l’année

-         Un mois de douleur : la brûlure

Voir l’image du phénix et du feu purificateur et le titre

II  Un lyrisme qui fonde une modernité poétique

-         Le poète nouvel Orphée

-         Une romance moderne, une chanson, le pouvoir du chant : le refrain qui clôt

-         Poésie et musique

Au terme d’un périple qui le ramène au présent, réapparaît celle qui a inspiré le poème. Tout le Paris retrouvé dans les quatre dernières strophes se soulève, comme offert à celle qui est bien perdue. Le Toi auquel il s’adresse est répété avec insistance, mais le Moi du dernier quintil y fait contrepoint. Apollinaire ressaisit l’ampleur de son pouvoir poétique en face de son échec amoureux. Comme Du Bellay, motif bien connu de la poésie, il enchante sa peine en la chantant.