introduction d'une dissertation " le spectacle théâtral renvoie t'il le spectateur à sa propre image ou est-il un miroir déformant dans lequel il ne peut se reconnaître ?"
Publié le 12/04/2011
Extrait du document
On joue encore aujourd'hui des pièces anthiques et certains théâtres n'hésitent pas à programmer des pièces aussi éloignées les unes des autres. Serait-ce à dire que le théätre ne connait nule frontière spatiale ou temporelle et qu'il interpelle tous les spectateurs ? Dans qu'elle mesure peut-on affrimer comme E. Ionesco que le théâtre \"rejoignant une vérité universell\", \"me renvoie mon image\" et qu'il est \"miroir\" ? Le spectacke théatral renvoie t'il le spectateur à sa propre image ou est-il un miroir déformant dans lequel il ne peut se reconnaitre ? Nous verrons dans un premier temps que le théâtre peut bien être un miroir dans lequel le spectateur se reconnait puis nous verrons dans un deuxième temps qu'il s'agit toute fois d'un miroir déformant .
Liens utiles
- DISSERTATION SUR PHEDRE: Racine a donc respecté les trois grandes règles de la tragédie classique mais pouvons nous pour autant croire et se reconnaître en certains des personnages de la tragédie ? La tragédie apporte t-elle vraiment une vision différente au spectateur ?
- Dissertation En quoi le genre théâtral, dans toutes ses spécificités, vous paraît-il propre à dénoncer les préjugés et travers d’une société et d’un individu ?
- sujet: «il est impossible que vous ne conveniez pas que les spectateurs savent bien qu'ils sont au théâtre, et qu'ils assistent a la représentation d'un ouvrage d'art, et non pas d'un fait réel», déclare le Romantique. Partager-vous ce point de vue sur le fonctionnement du spectacle théâtral? Vous répondrez a cette question en vous appuyant sur les textes du corpus, les oeuvres étudiées en classe, vos lectures personnelles et votre expérience de spectateur.
- Jean-Claude Renard, rendant compte de son expérience de poète, analyse dans les lignes qui suivent la relation qu'il entretient avec son propre langage : « Il a ses racines en moi comme j'ai mes racines en lui. Il est un miroir à double réflexion où je reconnais ce que je suis et ce que je ne suis pas. Par suite, c'est un miroir qui me trahit- aux deux sens de ce verbe. Car il donne de moi une image à la fois plus vraie et plus fausse que celle que je puis, consciemment ou inconscie
- Les contemplations dissertation: « Le propre de la mémoire est qu’à chaque pas l’on s’y blesse. » Olivier Barbarant