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?Insécurité, problèmes liés au foulard, tournantes, voitures brûlées? quelle part

Publié le 11/12/2019

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?Insécurité, problèmes liés au foulard, tournantes, voitures brûlées? quelle part ont les médias aujourd?hui dans la représentation des cités ? Au cours de la seconde moitié du vingtième siècle, il y?a eu une importante modification de la topologie urbaine dans les villes. Dû à une période après-guerre ou a eu lieu une migration des populations rurales vers les villes. Cela à induit une forte demande de logement, en conséquence les politiques de la ville, en particulier celle des logements, ont dû trouver des solutions, parmi celle-ci des bâtiments comme les grattes ciel, pouvant accueillir une population importante sur un espace restreint. Au début ouvert à tous, il y?a eu une fuite des personnes de classes moyennes à cause de tout un tas de facteurs. Aujourd?hui ces quartiers habités par les classes populaires, sont renommés « quartiers sensible » car foyer de nombreux fait divers. En parallèle à cela, les nombreuses évolutions technologiques ont permis à tout citoyen de pouvoir avoir accès à l?information en un temps restreint. En effet en passant du journal, puis la radio, la télévision et enfin internet. Permettant dans un temps minime de pouvoir répondre à n?importe quelle question, être au courant de tous ce qu?il se passe dans le monde, du moindre fait divers. Souvent adepte du sensationnalisme, les médias traitants de l?informations traitent souvent les sujets d?un certain point de vue pouvant être incomplet, prenant partie d?un choix de traitement de cette information. Nous savons qu?aujourd?hui les quartiers dit sensibles pâtissent d?une réputation plus qu?affligeante. Comme un lieu où les violences sont quotidiennes, ou la drogue circule Et nous pouvons nous demander quelle est la part de responsabilité des médias dans ces représentations. Pour cela nous allons d?abord aborder la méthode communication des médias et si leur rôle est avéré sur un potentiel impact sur les représentations des personnes. Puis nous allons examiner le traitement médiatique des cités. Finalement nous allons essayer de constater les effets de ce traitement sur les quartiers et si la réalité est celle donnée par les médias. Premièrement nous allons essayer, avec l?appuis d?études scientifiques, si les médias ont un réel impact sur la représentation au sujet d?un sujet (ici les quartiers « sensibles ») des personnes set la transmission des préjugés. La psychologie sociale à étudie depuis un bon nombre d?années l?influence des médias sur ce qui est appelé les jugements et comportements sociaux, en somme sur l?opinion publique. Partant d?une théorie de l?emprise des médias avec un « effet de masse » dans les années 30 ou les médias était vu comme un outil de propagande pourvu du pouvoir de faire gober n?importe quel message à la population. Les mouvements de pensées ont évolué jusque dans les années 90 ou finalement, au fil des recherches, l?emprise des médias sur ...

« En effet, un article de Marie-pierre FOURQUET « UN SIÈCLE DE THÉORIES DE L'INFLUENCE : HISTOIRE DU PROCÈS DES MEDIAS », retrace cette évolution et en vient à la conclusion que cette influence allouée aux médias doit être nuancé car les études tendent à montrer que la personne visée par les informations, le « récepteur ».

Ce récepteur est finalement décris comme « complexe » qui « selon les contextes et les enjeux communicationnels, un même récepteur peut, soit être influencé sans en avoir conscience, soit développer une activité cognitive lui permettant de résister à toute tentative de persuasion.

» Cet article nous apprend alors que oui les médias peuvent influer sur les modèles de pensées, transmettre certaines idées, opinions mais à un degré moindre que ce que l’on peut s’imaginer.

Mais la méthode des médias pour traiter l’informations est basé un sensationnalisme, des titres choques.

Cette méthode connue de tous afin de faire vendre, de marqué les lecteurs ou autres récepteurs tend à installer une homogénéisation des traitements médiatiques de tel ou tel sujets.

Les banlieues en sont particulièrement touchées, qui n’a jamais lu ou entendu un journaliste lié les mots « violences », « crimes », « drogues » et « cités » ou « banlieues ».

Personnellement quand on me dit médias et cités, c’est ce à quoi je pense en premier et je me suis alors posé la question du traitement médiatiques des cités, est-il homogène ? est ce qu’il y’a des invariants ? c’est ce à quoi nous allons tenter de répondre par la suite.

En me posant la question des clichés sur les cités j’ai tout simplement écrit « clichés banlieues » sur internet et je me suis retrouvé avec une liste contenante :  Violences récurrentes dans la rue ou dans les familles  Espace avec ses propres lois et codes  Drogues qui circulent  Manifestations permanentes contre les autorités (voitures brulées, caillassage), etc.

Tout naturellement, nous pouvons nous demander si dans les médias ces thèmes sont repris. Un article de Mathieu RIGOUSTE « le langage des médias sur les cités » traite formidablement le sujet.

Il en résulte que les médias, quand il s’agit de traiter les banlieues, utilise des « répertoires spécifiques de signes et de codes, des registres de symboles qui produisent du sens, au-delà du texte et des images » On y retrouve quatre grands thèmes. La banlieue comme un espace qu’il faut soigner.

C’est-à-dire que pour désigner la banlieue le champ lexical médicale est utilisé, l’objet devient un « problème à régler » à « soigner ».

Les années 90, l’auteur nous explique qu’il y’a trois formes principale à cet espace « l’antigène à assimiler » sous-entendu les personnes issues de l’immigration qu’il faut insérer dans la société.

« Le membre fracturé » qu’il faut ressouder en parlant d’une séparation entre les cités et le reste de la société et enfin « la tumeur à détruire » quand il s’agis d’éradiquer les violences urbaines.

L’auteur nous parle de la « gestion traumatologique de l’espace » et. »

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