?Insécurité, problèmes liés au foulard, tournantes, voitures brûlées? quelle part
Publié le 11/12/2019
Extrait du document
«
En effet, un article de Marie-pierre FOURQUET « UN SIÈCLE DE THÉORIES DE
L'INFLUENCE : HISTOIRE DU PROCÈS DES MEDIAS », retrace cette évolution et en
vient à la conclusion que cette influence allouée aux médias doit être nuancé car
les études tendent à montrer que la personne visée par les informations, le
« récepteur ».
Ce récepteur est finalement décris comme « complexe » qui
« selon les contextes et les enjeux communicationnels, un même récepteur peut,
soit être influencé sans en avoir conscience, soit développer une activité
cognitive lui permettant de résister à toute tentative de persuasion.
»
Cet article nous apprend alors que oui les médias peuvent influer sur les modèles
de pensées, transmettre certaines idées, opinions mais à un degré moindre que
ce que l’on peut s’imaginer.
Mais la méthode des médias pour traiter l’informations est basé un
sensationnalisme, des titres choques.
Cette méthode connue de tous afin de faire
vendre, de marqué les lecteurs ou autres récepteurs tend à installer une
homogénéisation des traitements médiatiques de tel ou tel sujets.
Les banlieues
en sont particulièrement touchées, qui n’a jamais lu ou entendu un journaliste lié
les mots « violences », « crimes », « drogues » et « cités » ou « banlieues ».
Personnellement quand on me dit médias et cités, c’est ce à quoi je pense en
premier et je me suis alors posé la question du traitement médiatiques des cités,
est-il homogène ? est ce qu’il y’a des invariants ? c’est ce à quoi nous allons
tenter de répondre par la suite.
En me posant la question des clichés sur les cités j’ai tout simplement écrit
« clichés banlieues » sur internet et je me suis retrouvé avec une liste
contenante :
Violences récurrentes dans la rue ou dans les familles
Espace avec ses propres lois et codes
Drogues qui circulent
Manifestations permanentes contre les autorités (voitures brulées,
caillassage), etc.
Tout naturellement, nous pouvons nous demander si dans les médias ces thèmes
sont repris.
Un article de Mathieu RIGOUSTE « le langage des médias sur les cités » traite
formidablement le sujet.
Il en résulte que les médias, quand il s’agit de traiter les
banlieues, utilise des « répertoires spécifiques de signes et de codes, des
registres de symboles qui produisent du sens, au-delà du texte et des images »
On y retrouve quatre grands thèmes.
La banlieue comme un espace qu’il faut soigner.
C’est-à-dire que pour désigner la
banlieue le champ lexical médicale est utilisé, l’objet devient un « problème à
régler » à « soigner ».
Les années 90, l’auteur nous explique qu’il y’a trois formes
principale à cet espace « l’antigène à assimiler » sous-entendu les personnes
issues de l’immigration qu’il faut insérer dans la société.
« Le membre fracturé »
qu’il faut ressouder en parlant d’une séparation entre les cités et le reste de la
société et enfin « la tumeur à détruire » quand il s’agis d’éradiquer les violences
urbaines.
L’auteur nous parle de la « gestion traumatologique de l’espace » et.
»
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