Histoire social du système éducatif

Histoire social du système éducatif La seconde moitié du 19e s : les reformes de l'enseignement secondaire en France. Histoire des systèmes modernes d'enseignement en Europe a connu une phase industrielle. En France la forme dominante de l'enseignement est concentrée sur les langues et les littératures classiques. L'enseignement secondaire avait un fort prestige puisqu'il était associé à la culture à la fois cléricales et bourgeoise. Les diplômes en lettres classique étaient indispensables pour pouvoir rentée à l'université, pour accéder aux métiers de la fonction publique. Il existait aussi des établissements au programme non classique, mais ceux-ci n'avaient pas bonne réputation et ne proposait pas les même qualifications que dans les établissements classiques. Forte période d'industrialisation dans les années 1860-1870 et il y a une élévation très sensible du taux de scolarisation qui concerne davantage les établissements non classiques (les moins prestigieux) où les formations étaient dites appliquées/ techniques/pratiques. On parle ici de segmentation de l'enseignement secondaire (Il s'agit de la séparation des écoles où l'on retrouve des cursus et des origines différentes). Cet essor non classique à permis une frange de la population d'être diplômée. Et cette partis de population diplômée était caractérisée par les élites social qui fréquentaient les écoles classiques de prolétariat diplômé (classe ouvrière). Les réformateurs prônaient (avaient la volonté de) les formes non traditionnelles d'éducations, c'est-à-dire les établissements non classiques. Les réformateurs sont considérés comme des libéraux puisqu'ils offraient la possibilité d'une mobilité sociale : solidarisme avec comme ambition politique d'éviter les conflits sociaux. Pour autant à aucun moment les réformateurs n'envisageais le passage des élèves des classes sociales plus modestes vers les établissements classiques = Forme de reproduction naturelle indiscutée. Les conservateurs tentaient aussi de rendre les études classiques plus ouverte sur le monde économique. En réponse à ce surmenage, dans les années 1890, le nombre d'heure allouer aux disciplines techniques fut réduit considérablement, et parallèlement les médecins déclarèrent l'importance des activités sportives pour la jeunesse. Les inégalités d'accès : Jusqu'au début du 20e, les études longues sont réservées aux enfants des classes supérieurs. C'est donc les conditions sociales qui déterminent le type d'établissement que l'on fréquente. L'enseignement secondaire payant réservé à l'élite social, collèges et lycées perdurent aux Lois Ferry. Cette distinctions n'est pas vraiment remise en cause notamment par le fait les enfants issus des classes populaires et moyennes doivent rapidement travailler et donc s'auto-exclu du système d'enseignement. Le 20e est un siècle de transformation économique et ce développe des établissements dit post-primaire (écoles primaires supérieures, cours supplémentaire...) toutes ces transformations soulèvent un point dans l'éducation des enfants. Au fur et a mesure que ce développe ces établissements, ce développe aussi le mérite (méritocratie). 1950-1960 : Démocratisation de l'enseignement supérieure. Construction de milliers de collèges (1975 : collège unique). Il s'agit homogénéiser l'offre scolaire sur l'ensemble du territoire français, attribuer des bourses aux élèves les plus méritant. (Idée de méritocratie). Il existe des disparités sociales dans le milieu scolaire. Bourdieu et Passeron «  les héritiers » en 1964. Dans la réussite scolaire ce n'est pas l'argent qui est important mais le niveau du diplôme. « L'école renforce les inégalités sociales » Elles se produisent pendant tout le cursus scolaire et s'explique par l'appartenance sociale. Les probabilités d'accès aux études supérieures selon l'origine sociale des étudiants. L'école n'est pas libératrice puisqu'elle continu aux maintiens des inégalités sociales et donc la conservation de l'ordre social.